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Encore un sans faute pour la queen du thriller Johana Gustawsson ! Une fois de plus, le lecteur est complètement manipulé et quand on pense avoir découvert le fin mot de l’histoire, ce n’est que le fil qui va dérouler toute la pelote de laine. Comme dans Block 46 (que je vous recommande de lire d’abord), on remonte jusqu’à une période historique marquante. Il s’agit cette fois de la fin du XIXe siècle à Londres, où sévit Jack l’Eventreur. Cette mécanique passé / présent fonctionne très bien, elle apporte une originalité au récit. Outre le rythme haletant de l’histoire, j’ai adoré retrouver le duo formé par Emily et Alexis. Petit warning en revanche : certains passages sont assez insoutenables, il faut avoir le coeur bien accroché.

🗝️ thriller, serial killer, perversion
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j’ai bien aimé ce livre car il était intéressant, les images étaient très jolies mais en revanche je trouve que les mangas ne sont pas faciles à lire car le sens de lecture m’a un peu dérangé. Mais cela ne m’a pas empêché de finir le livre.
Je recommanderai ce livre à des filles, particulièrement en 6ème car ce livre parle de la puberté.
Les personnages principaux sont Chihiro (le père) et Shima (la fille).
J’ai aussi aimé le père car il doit élever sa fille seule mais j’ai trouvé qu’il se débrouillait plutôt bien. Tessa

"C'est sans doute mon livre le plus cruel." Le Livre s'achève sur ces mots de Michael McDowell.

Effectivement, ce nouvel opus de la bibliothèque McDowell est plus trash que les précédents. Ça saigne ! Si le rythme des Aiguilles d'Or était plus lent, celui-ci condense l'action, et il est du coup bien plus difficile à lâcher.

New Jersey, 1871. Le grand-père de Philomena lance un appel au secours à sa fille, la mère de Philo, au travers d'une lettre qui leur apprend qu'une belle fille sans scrupule et sa nouvelle famille le retient prisonnier pour lui extorquer sa fortune. Philo part le retrouver, et se heurte à la cruauté et à la perfidie des Slape.
S'ensuit les tribulations des protagonistes, et, au centre de tout, Katie Slape, jeune femme dont les dons de voyance servent la noirceur de son âme.

Il se lit très vite, c'est un bon moment de lecture, même s'il ne détrône pas Blackwater. C'est très manichéen, un peu gore, on n'y retrouve pas la même profondeur. Ça marche sans problème, mais j'ai un faible pour la saga qui cachait sous ses monstres une vraie réflexion sur la différence.

Club N°56 : Manga sélectionné
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Manga fantastique.

Un jeune homme part venger sa soeur morte huit ans plus tôt.

pour punir les auteurs déjà libérés de prison, il décide de les attaquer directement dans leurs rêves.

histoire très prenante, on se laisse prendre au jeu.

Très bien ficelé, on a hâte de savoir la suite.

Mel
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Manga fantastique originale.

On suit le héros qui se découvre la capacité d'interagir avec les autres lors de ses rêves.

Il décide de profiter de ce pouvoir pour venger la mort de sa soeur.

On a hâte de lire la suite.

Sam
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Pas mal du tout.

On retrouve un soupçon de Death Note dans le principe.

Avantage : peu de tomes.

Anthony
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Le septennat Geluckien marquât sans conteste le paysage audiovisuel dominical. Dommage que ce fut sur le service public français et non sur la RTBF. Si l'on perçoit bien dans ces épîtres des traces de l'humour caustique bien belge de Philippe Geluck, on ressent surtout qu'il retient les chevaux pour ne pas se faire tirer les cheveux par l'esprit du maître des lieux (les Studios Gabriel). Geluck devait-il se conformer au moule de l'émission : le brossage dans le sens du poil?
Une phrase résume à elle seule ce recueil : "on travaille pour un patron dont on est chargé de communiquer les grandes idées. Vous, c'est Chirac, moi, c'est Drucker."
Tout un concept. Une retenue préjudiciable dans la plupart des lettres. Mais quand Geluck se lâche ... Il excelle.
J'adore le Geluck sans chaperon et dans la subtilité.
Retour donc au Chat et au Docteur G.
Sans modération ceux-là et pas que les dimanches.

J'avais lu ces nouvelles alors que j'avais 20 ans. Aujourd'hui , au détour des rayonnages de la bibliothèque, je tombe sur l'édition de la Pléiade, et décide de me replonger dans"premier mai", la seule nouvelle du recueil dont le titre m'évoque quelque chose. Hélas, sa lecture ne réveille rien, et la magie n'opère pas. Je n'ai pas accroché a cette histoire vieille d'un siècle. Ni aux tourments de ces jeunes privilégiés d'une époque où les riches restent entre riches, ni aux références à l'actualité de ce temps perdu. Rien. Je referme ce beau livre de 1500 pages et retourne à des romans plus actuels, à des polars plus sordides, à des écrits qui me prennent aux tripes.

Ce roman me fait envie depuis sa sortie et il se trouve qu’il fait partie de la sélection pour le prix poche HarperCollins, pour lequel je suis jurée ! J’ai été immédiatement embarquée dans l’histoire d’Antoine, dit « Tony », et surtout révoltée par le système. Claire Favan se sert de son récit pour mettre en lumière une réalité plutôt laide, celle de ces enfants ballotés de foyers en familles d’accueil, pas toujours bienveillantes. Les inégalités creusent un fossé quasi impossible à combler une fois arrivé à l’âge adulte. C’est un thème que l’on aborde finalement assez peu dans la littérature. On est plongés dans le quotidien chaotique de Tony, jusqu’à sa rencontre avec son frère, qui ne sera peut-être pas aussi providentielle qu’il ne le pensait. Cette histoire m’a rendue profondément triste. L’autrice m’a fait vivre un tourbillon d’émotions durant ma lecture, suffisamment pour en faire un coup de coeur 🖤

🗝️ jumeaux, frères, adoption, thriller psychologique
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Vous aimez le suspense, la violence, le kidnapping et l’argent ? Alors la nuit des requins est fait pour vous ! Léo, le personnage principal, a 17 ans, il est amoureux de Lisa mais elle est restée à Paris, alors que Léo lui, est parti sur l’île privée de son beau-père avec sa sœur Camille et sa mère. Dans ce livre, on peut avoir peur mais à la fin c’est un happy end, alors c’est agréable.
Ce livre est facile à lire car il est écrit en gros caractères. Donc on peut recommander ce texte pour les enfants mais les grands aussi peuvent le lire bien sûr. Léo est courageux en arrêtant les malfaiteurs.
J’aime bien ce livre car à chaque chapitre c’est une heure différente qui s’affiche, cela commence vers 20h le samedi et se termine vers 10h le dimanche. Alexandre

Vous aimez les ascenseurs émotionnels ? Je vous recommande la lecture de ce livre lors de laquelle j’ai ressenti de la joie : quand Léo, le personnage principal, sauve sa sœur Camille avec courage mais aussi de la peur, quand les braqueurs viennent enlever Camille, que Léo aime énormément. Ce qui m’a déplu c’est que le livre fait parfois peur car les deux braqueurs sont venus cambrioler la famille au moment de la fête d’anniversaire de Camille. Je recommande donc de lire ce texte aux personnes qui aiment le suspens, entre autres…Slimane

"J'écris la chronique d'une vie qui a tourné court."
Fredrik, chirurgien à la retraite, vit seul sur une île, sa chienne et sa chatte comme seules compagnes. Tous les jours, il casse la glace et se plonge dans l'eau pour s'assurer qu'il est toujours en vie.
Un jour, il aperçoit une silhouette sur la glace : c'est Harriet, son amour de jeunesse, venue le trouver pour qu'il honore une promesse. Des mois durant, il va replonger dans le grand bain de la vie, et en sortira changé. Et transi.

"Peut-être pendant toutes ces années étais-tu en route sans le savoir ? Il est aussi facile de se perdre à l'intérieur de soi que sur les chemins des bois ou dans les rues des villes."

J'ai souvent du mal avec les romans nordiques, le rythme trop lent, les sentiments trop froids... Cette fois ce ne fut pas le cas. Il y a, bien sûr, beaucoup de silences qui donnent envie de crier, mais j'ai aimé ce séjour au bord du monde.
C'est un peu facile parfois, un peu prévisible, mais peu importe. J'ai aimé ce monologue d'une année, cet homme pétri de remords, ce facteur en manque d'amitié et ces personnages atypiques.

La fête d'été est le passage qui m'a le plus touchée. C'était un peu l'auberge espagnole des écorchés.

Un guide de voyage bien pratique pour les fans d'Agatha Christie. Tous les sites anglais mentionnés dans ses romans y sont répertoriés et commentés, ainsi que les lieux où la romancière a vécu.
Bien sûr, St Mary Mead, le village de Miss Marple ne peut être localisé, étant donné qu'il sort purement et simplement de l'imagination d'Agatha Christie. Mais un court séjour à Londres peut déjà vous permettre de remonter le temps et le cours de vos lectures de cet auteur si prolifique.

« Elliot au collège » est une BD que je recommande vivement. L’histoire est drôle et réelle ( Je suis bien placée pour le savoir !). L’auteur nous tient en haleine tout le long tout en gardant l’émotion des personnages. Elliot (Le personnage principal) a des angoisses normales tellement exagérées qu’elles en deviennent hilarantes. Les autres personnages le sont aussi. L’auteur alterne entre l’histoire et les gags avec Elliot et Hari (son meilleur ami). Les angoisses sont représentées par une boule sur pattes assez agaçante. Elliot et Hari, étant un peu des trouillards, vont demander de l’aide à Aya, une fille très forte, mais tout ne va pas se passer comme prévu. Je le conseil à tous les 6°. Jehanne

Je comprends bien que le récit de la passion torride était nécessaire, mais je me suis aussi demandé si autant de détails étaient indispensables ? Surtout dans la lettre d'un père à son fils. Malgré cela, j'ai pu ressentir la force des sentiments dans ce trio mère-père-amant.
Sans doute qu'on grandit d'un seul coup quand on découvre la profondeur et la complexité de ses parents. Il m'a manqué l'amorce du nouvel Étienne après cette nuit où il est censé avoir vu le jour ...

Dans la famille Barroco, il y a Antoine, le père, qui dirige une entreprise de terrassement démolition dans le nord de la France. Il y a également sa fille, Muriel, triple championne olympique de natation.
Antoine a toujours utilisé les exploits sportifs de sa fille pour augmenter la prospérité de son entreprise.

Quant à 23 ans, la jeune femme décide de faire une pause, Antoine panique et décide d'en faire son associée dans l'entreprise familiale.

Rêvant de conquérir le marché parisien, l'entreprise Barroco "Père et Fille" va faire face à de nombreuses embûches et à la condescendance de la bourgeoisie parisienne. Parviendront-ils à abattre le mur érigé par les grandes entreprises de la capitale ?

Ce roman choral est un pur délice. Il met en scène des personnages cocasses provenant de classes sociales différentes. Cette comédie se joue de tous les clichés et met à mal les idées reçues.

L’auteur a une plume piquante et un humour corrosif. Avec ses personnages hauts en couleur, il écorche tous les pans de notre société. Même s'il n'épargne personne, ce roman met en avant la soif d'apprendre et de progresser.

J'ai beaucoup ri en lisant cette pépite. C'est un énorme coup de cœur !

C'est la vie de trois compagnons de chambrée qui se morfondent jusqu'à 4 ans après moult opérations pour devenir les fameuses « gueules cassées » de la Grande Guerre. La BD est largement inspirée de l'inoubliable roman de Marc Dugain, mais avec des nuances, tout en délicatesse de par le texte et tout en finesse de par le graphisme. Réussir un faciès rafistolé après le passage de l'éclat d'obus est une performance. Les trois martyrs, entourés de centaines d'autres, mourant d'épuisement ou par suicide, s'accrochent à l'avenir en rigolant (ceux qui ont encore des zygomatiques) grâce aux réflexions d'humour noir, forcément. Si dans son œuvre, Marc Dugain a été inspiré en découvrant au grenier, une photo de son grand-père, beau jeune homme gardant après cette guerre une certaine beauté intérieure, les 2 auteurs ont fait fort à leur tour. Pour expliquer : a) P. Charlot, scénariste et musicien, exprime toute la sensibilité utile pour se détendre des scènes pathétiques ; b) A. Grand, qui a obtenu une thèse de doctorat en chirurgie dentaire, rajoute, lui, les détails graphiques, dans le souci d'alléger les souffrances des patients. Exemple d'humour : l'aviateur juif, grand brûlé de la face, annonce à son auditoire :  « je suis en procès avec l'hôpital, à cause de ce nez (greffé depuis la peau du biceps) … on fait de moi un juif avec un nez droit comme celui d'une bonne sœur... ». Et les autres (enfin ceux qui le peuvent) de se taper sur les cuisses ! Et la chambrée prend une atmosphère théâtrale. Même dans le dramatique quand Adrien évoque le souvenir de Clémence, son amour perdu. Cet album est une vraie thérapie pour les convalescents, sinon un message d'espoir, et dans ce cas, œuvre d'utilité publique !

C'est avec cet album que j'ai découvert Astérix. Je devais avoir 8 ans (il y a quelques décennies). C'est donc un doudou que je relis toujours avec plaisir.

Et c'est en toute objectivité 😊 que j'affirme que c'est un des meilleurs albums de la série. Comme tous les vrais, les authentiques, ceux qui ont été écrits par Goscinny et Uderzo.

J'adore l'esprit de l'époque, gentiment moqueur envers nos compatriotes.
Je me suis encore régalée de chaque case, chaque gag, chaque jeu de mots. Je ne résiste pas aux noms romains, Encorutilfaluquejelesus ou Faimoiducuscus, ni aux clichés sur les Normands évasifs, les Parisiens excités, les Marseillais joviaux.

Il y a un gag que je n'avais encore jamais remarqué : le conducteur d'un petit char qui fait un créneau avec flegme. Et la case d'après, le moment que le monde attendait avec impatience : l'apparition d'IIIIDEFIIIIX, tout-mignon-tout-sage, assis à l'entrée d'une charcuterie (on ne sait jamais).

Cela a été une plongée renouvelée et délicieuse dans l'univers de nos amis, astucieux, grognons, costauds, comme on les aime.

Merci Goscinny et Uderzo, vous continuez à nous apporter un bonheur léger comme une bulle.

Aussitôt le tome 1 fini, aussitôt j’ai commencé le deux. Il fallait que je sache! Le comment, le pourquoi, les secrets, les révélations. Et j’en ai eu pour mon grade. L’histoire m’a plongé et retenue dans ses filets! J’ai nagé au cœur de l’ouragan. L'intrigue est juste géniale, riche en suspens et en émotions. Keanu et Leona ont continué de me captiver. Ce second tome validé mon coup de coeur pour cette duologie.

j’ai beaucoup aimé ce livre, il était intéressant et avait une belle histoire. Cette histoire je la conseillerais à des adolescents car elle raconte une histoire d'amour et d'enquête. Quand je l'ai lu, j’ai ressenti de la joie et de la surprise. Cette histoire se passe dans un collège où se trouve plusieurs adolescents. Deux jeunes amies se retrouvent pour enquêter sur l’amour. Jade

Anzu et le royaume des ténèbres, c'est l'histoire de la jeune Anzu qui se sent mal dans sa peau. Harcelée à l'école, jugée pour ses origines japonaises et rejetée pour ses goûts en général, elle souhaite disparaître... En s'égarant loin de sa maison, elle tombe nez à nez avec un chien qui lui vole son collier. En courant après lui, voilà qu'elle bascule dans un autre monde, celui des enfers, Yomi...

J'ai découvert Mai K. Nguyen avec Pilu des bois il n'y a pas si longtemps et je suis heureuse de la redécouvrir à nouveau à travers ce titre plus sombre et en même temps toujours emprunt de mythologie et traditions japonaises.
Les dessins sont très beaux avec une prédominance du violet et des détails féériques un peu partout. L'intrigue permet de mettre en avant le poids du racisme que subit Anzu, la difficulté qu'elle a à prendre confiance en elle et sa volonté de s'isoler pour oublier tout ses problèmes. La rencontre qu'elle fait montre une amitié solide, mettant en avant l'entraide dans les situations difficiles.

J'ai vraiment aimé et j'espère que vous découvrirez cette bd avec autant d'émerveillement que moi !

Lasse d'attendre la traduction en français de ce roman paru en 2022 (traduction qui sort en librairie aujourd'hui), je me suis offert l'édition en anglais. Un bon service que j'ai rendu à mon cerveau, lire en anglais me demande nettement plus de concentration qu'en français.

Que dire de ce roman? L'autrice base son intrigue en grande partie sur le harcèlement en ligne, sujet dont elle a fait les frais elle-même. L'intrigue est fort bien menée, l'autrice a du métier, c'est incontestable, et j'ai passé de fort bons moments de lecture. Toutefois, quelques points ont un peu diminué mon plaisir de lectrice : le roman est long, très long, trop long (1221 pages !), 200 ou 300 pages auraient pu disparaître sans, je crois, nuire à l'intrigue ; les chapitres reprenant des pages de chat en ligne sont assez difficiles à lire ; et finalement, les complications sentimentales incessantes des vies de nos deux héros, cela commence à être lassant.
Une lecture agréable, donc, mais pas un sans fautes...

On retrouve vite le style féerique et poétique d’Holly Black dans ce livre.
Les créatures fantastiques côtoient les humains avec plus ou moins de tolérance.
Vengeance mais aussi acceptation de soi, amitié sont les thèmes principaux de ce livre.
Trouver sa place, trouver sa voie dans sa famille ou dans son lycée n’est jamais simple.
Holly Black nous livre une leçon de tolérance et d’acceptation de la différence sans jamais jugement ni leçon de morale.
Une belle histoire !