Le septennat Geluckien marquât sans conteste le paysage audiovisuel dominical. Dommage que ce fut sur le service public français et non sur la RTBF. Si l'on perçoit bien dans ces épîtres des traces de l'humour caustique bien belge de
Philippe Geluck, on ressent surtout qu'il retient les chevaux pour ne pas se faire tirer les cheveux par l'esprit du maître des lieux (les Studios Gabriel).
Geluck devait-il se conformer au moule de l'émission : le brossage dans le sens du poil?
Une phrase résume à elle seule ce recueil : "on travaille pour un patron dont on est chargé de communiquer les grandes idées. Vous, c'est Chirac, moi, c'est
Drucker."
Tout un concept. Une retenue préjudiciable dans la plupart des lettres. Mais quand
Geluck se lâche ... Il excelle.
J'adore le
Geluck sans chaperon et dans la subtilité.
Retour donc au Chat et au
Docteur G.
Sans modération ceux-là et pas que les dimanches.
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