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EAN : 9791028121280
416 pages
Bragelonne (10/04/2024)
3.21/5   33 notes
Résumé :
Le choc de deux mondes : entre les deux ne restent que des miettes après la collision.

Tous les ans, l'Appologium réunit les meilleurs guerriers et guerrières de tout le continent pour rejouer sans fin l'affrontement des deux colosses : Mantris, la cité ultratechnologique et Arkhante, le royaume des 7 magies. Mais dans le bruit qui fait rage, Solis, la jeune Malkah Arkhante, et l'Ordonnateur, le représentant des citacs mantri, entendront-ils le vérita... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
3,21

sur 33 notes
Intéressant et agréable à suivre.

Un nouvel univers mélangeant le post apo, la fantasy et la SF version cyberpunk. Arkhante et Mantris sont en compétition, à défaut d'être en guerre, trop coûteuse, avec le rift, le parent pauvre pour arbitre.

Ce premier tome nous fait découvrir les trois peuples se partageant la planète (?) à travers des combats (aux effets spéciaux, superpouvoirs magiques et techno, divers et variés), manigances et jeux de pouvoir de part et d'autre. On évolue dans les hautes sphères, au plus proche du pouvoir, là où ça compte.
L'univers est riche et annonce clairement une série de livre dont le nombre reste indéterminé. Un jeu sur internet a été développé en parallèle ( www.crosstheages.com) qui semble, d'après la présentation visuelle, être un jeu de combat et de cartes façon Yu-Gi-Oh! Et cet opus en est la vitrine. Après, n'étant pas particulièrement fan de jeux vidéo, je n'ai pas testé. Je vous pose donc ça là et vous laisse découvrir le jeux si le coeur vous en dit.

Même s'il nous permet de découvrir, effleurer dira-t-on ce nouveau monde, ce premier roman est surtout centré sur la Malkah Solis, la reine d'Arkhante, le monde fantasy. Une jeune femme très attachante qui illumine le récit.

L'auteur pose les bases très rapidement et la lecture est donc assez facile à suivre, un peu plus la partie fantasy que la partie cyberpunk d'ailleurs, mais rien de rédhibitoire. Les personnages, variés, sont bien identifiés. Un agréable divertissement qui aurait mérité d'être un poil plus complexe et soutenu, finalement, maintenant que j'y pense, (jamais content moi). Mince il y a du Damasio au casting quand même.

Bref un sympathique entrée en matière, qui ne révolutionnera pas le monde des jeux, de la SF ou de la Fantasy, mais qui mérite d'être suivie.
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Un monde, l'Artellium. Deux civilisations on ne peut plus opposées. D'un côté, il y a Arkhante, un univers qui se base sur la magie, une magie sur le déclin car reposant sur le pranah, indispensable à tout sortilège. de l'autre, Mantris, où les technologies les plus folles et une IA démentielle permettent d'augmenter les êtres « humains ». Tout petit problème : pour que cette civilisation puisse subsister, elle doit se délivrer de sa dépendance à une roche qui leur fournit l'indispensable énergie, le trisel. Or, du trisel, ils n'en ont presque plus. Cependant, une source abondante se trouve dans le Rift à portée de main. Problème, le gisement est adossé à la limite avec Arkhante, et les habitants de cette civilisation détestent qu'on martyrise la terre, qu'on y pratique des entailles, tout cela pour gaspiller l'énergie en inventions qu'ils jugent inutiles et débiles.
Après un conflit ô combien destructeur, les deux civilisations ont opté pour un affrontement moins sanguinolant, dans une atmosphère de guerre froide, où il suffirait de peu pour qu'une vraie conflagration sans merci reprenne pour de bon.
Le principe ? Chaque civilisation envoie sept champions, des gladiateurs en somme, s'affronter dans une arène située en territoire neutre : le Rift ! « Mais qu'est-ce que le Rift ? », vous demandez-vous. Pour résumer, un endroit désertique, malsain, où vous n'aimeriez surtout pas vivre. Enfin, quand je dis « vivre », vous me comprenez, n'est-ce pas ? « Mais pourquoi ce lieu est-il aussi malsain ? », m'interrogez-vous, bande de petits curieux insatiables ! Eh bien, je vais vous répondre. le Rift, suite à la guerre qui a opposé les deux civilisations, a été vibradié. Vous comprenez bien que toute vie y a été rendue impossible… Eh bien, non ! Pas tant que ça ! Là vivent des laissés pour compte, complètement négligés par les deux superpuissances. Ces individus sans aucun intérêt ne disposent ni de pouvoirs magiques ni de brillantes technologies, des moins que rien, vous dis-je !
Mais je m'éloigne du sujet. Si chaque civilisation, digne de ce nom, envoie sept combattants, sept glasiateurs, vous vous attendez à ce qu'ils s'affrontent, Arkhantes contre Mantre (nom invariable désignant un habitant de Mantris) ? Ah, comme c'est regrettable que vous n'ayez point l'esprit aussi tortueux que les inventeurs de ce jeu mortel, suivi par tous les habitants des deux camps, et objet de nombreux paris ! En fait, chaque Arkhante est relié par une sorte de chaîne/fouet magique/technologique à un Mantre. Ils forment équipe afin d'éliminer les autres binômes. A la fin, le lien, ou la chaîne si vous préférez, se brise et ils doivent s'éliminer l'un l'autre car il ne saurait y avoir plus d'un vainqueur. Il apporte ainsi la victoire à son camp qui est en droit de demander une faveur au perdant.
Tout est prêt. le coup d'envoi est lancé… Mais se pourrait-il qu'un grain de sable (du Rift) vienne gripper la belle machinerie imaginée par les deux puissances ?

Critique :

Attention, il vous faudra une bonne dose de courage en début de lecture tant il y a une profusion de mots inventés par les auteurs. Heureusement, il y a, en fin d'ouvrage, un lexique indispensable pour comprendre ce jargon. Personnellement, je n'aime pas ce principe qui consiste à créer totalement un univers en lui appliquant un vocabulaire très spécifique pour tout et pour rien, cela fait perdre un temps de lecture et peut décourager des personnes peu habituées à ces genres littéraires.
Passé ce cap, et une fois familiarisés avec ce jargon, vous voilà plongés dans deux mondes ô combien opposés, au point que vous ne savez plus à quel saint vous vouer : fantasy ou science-fiction ?
Les deux, mon capitaine ! Ceux qui aiment la magie pure vont tiquer avec l'intervention perpétuelle de la high-tech très teintée d'IA. Ceux qui détestent la fantasy verseront bien des larmes de métal en constatant l'omniprésence de la magie.
Quant aux autres, ils profiteront d'un récit palpitant où la diplomatie, les coups tordus, les combats, les complots se succèdent à un rythme effréné. « Et l'amour ? », me demandent les indécrottables amateurs de romance. Eh bien… Heu…
Ce roman rappellera à d'aucuns l'excellente série Hunger Games à cause des combats dans l'arène, mais là s'arrête la comparaison. D'ailleurs, on a ici affaire à des combats plus proches de ceux des jeux du cirque romain que de l'univers plein d'illusions de Panem.
Le récit est d'autant plus captivant que le lecteur passe de l'esprit d'un personnage à l'autre et se trouve confronté à des points de vue d'autant plus intéressants que les paroles des interlocuteurs dissimulent leurs vraies pensées et les préoccupations qui les tracassent le plus. Loin d'être manichéen, ce récit révèle la complexité des personnages principaux qui poursuivent souvent des objectifs nobles, dans l'intérêt exclusif de leurs peuples, sans oublier les ambitions personnelles. Cette complexité de sentiments est-elle due au fait que c'est un ouvrage collectif auquel six auteurs ont pris part ?
Bon, ben, à quand la suite ?

Merci aux éditions Bragelonne et à Babelio pour cette « Masse critique spéciale » qui m'a permis de jouir de ce 1er tome qui semble annoncer une série très prometteuse.
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Comment a-t-on pu en arriver là ?

La Rune et le Code, premier tome d'une saga projetée, la branche littéraire du jeu d'échanges de cartes NFT, Cross the Ages, m'a initialement intrigué avant de doucher mes espoirs. L'auteur, Arnaud Dollen, s'est entouré d'un collectif d'écriture pour l'élaboration des personnages, des émotions, de l'univers... J'ai trouvé le livre aussi original dans son univers, dans son équipe de rédaction qu'incompréhensiblement et bizarrement mal écrit.

J'admire le travail d'élaboration du lore, l'inventivité derrière les concepts et les personnages mais je trouve navrant l'absence d'âme du livre. Je n'ai rien reçu en lisant le livre. On ne s'attache qu'à Solis et l'Ordonnateur, les autres personnages ne laissent ni chaud ni froid. Ils montent en scène, déclament quelques paroles creuses et s'en vont et aucune saveur ne parvient à nos papilles. Pourtant, leurs styles devraient intriguer : des ninjas ultra-équipés, des mages élémentaires, des politicards de haut niveau de politicien.

Mais beaucoup des personnages devant être importants ne sont guère bien écrits. Aurèle, le jeune gladiateur mais décrit comme un vieux loup de mère de l'arène, on ne sait pas qui il est mais on ne veut pas forcément le savoir. Il amène avec lui un mystère pas mystérieux et pas intéressant, il n'est ni attachant ni détestable. L'antagoniste principale est cachée mais réserve elle-même une salle de réunion au vu et au su de tous. Même moi suis capable de mettre une réunion en privé. Un complot se trame contre la reine, tout le monde prend le risque de perdre la tête, mais ils se rendent tous aux réunions de complot pépouze, sans que ça n'attire l'attention de personne alors que les registres sont tenus au cordeau par l'administration Arkhante.
Les personnages secondaires n'inspirent rien. le garde du corps principal est un rocher physique et psychologique mais fait sa crise de nerfs à n'importe quel occasion. La nourrice est fidèle mais pas fidèle mais fidèle, bof.

On n'a que peu de bons personnages : Solis est particulièrement intéressante. Elle dégage un sentiment puissant, une sincérité à toute épreuve doublée d'un fort caractère. Elle est parfois décrite de manière contradictoire mais Solis a avec beaucoup de potentiel.

Côté scénario, c'est non seulement inégal mais relativement peu intéressant. A aucun moment, je n'ai senti de tensions, d'horreur, de pulsions, de ferveur. Les conflits sont sans saveur, le tumulte est tiède, les interactions entre personnages sont bizarrement écrits, les échanges sont habités par la grandeur mais n'ont aucune âme. le combat à l'arène est sans enjeu tant on ne comprend pas d'où sort Aurèle, d'où et de qui il tient. le système politique et l'univers de Mantrix m'a particulièrement plu et j'y ai trouvé un certain soulagement. Au contraire, le monde d'Arkhante est terriblement stéréotypé, vu et revu calqué sur tant d'autres mondes et construit comme un univers de jeu vidéo. Un pays, une magie, des personnages Légendaires, des boosts qui donnent des pouvoir supplémentaires. J'étais à deux doigts d'envoyer un SMS pour encourager mes personnages préférés. le Rift n'est qu'un macguffin pour faire avancer l'histoire. La traque de l'égorgeur de Mantrix aurait pu tirer une ou deux larmes mais le moment émotionnel est tellement mal amené que ça ne fonctionne pas. Je pense que trop avoir accès aux pensées des personnes est contreproductif. Quelques moments tirent leur épingle du jeu : le retour de la Malkah et du héros de l'Appologium, c'est assez extraordinaire et ça me fait dire que Solis est effectivement le personnage le mieux écrit, avec un vrai intériorité, les balades de l'Ordonnateur ou le combat final qui est quasiment cinématographique. Une chose m'a particulièrement rebuté : durant la première partie du livre, j'ai compris la moitié des mots écrits. Quel est donc le motif qui a présidé le choix d'assommer aussi rapidement le lecteur de concepts évasifs et de mots-valises ?

Bref, vous aurez compris mon avis. La Rune et le Code a des atouts indéniables : quelques personnages forts, intéressants, un univers à double avers et quelques scènes clés. Il est pourtant vérolé par une écriture erratique, des anticlimax sur des anticlimax et des personnages sans âme. Sans connaître l'environnement du livre avant la fin de ma lecture, j'ai régulièrement eu l'impression d'être dans un MMORPG avec ses factions, ses quelques rares fils scénaristiques, ses personnages stéréotypés. Il faut certainement lier ce livre à l'univers dont il est originaire, avec ses qualités comme ses défauts. Je ne suis pas bien sûr de comprendre pourquoi Bragelonne s'est lancé dans cette aventure. Vous allez me trouver étrange comme type, mais je suis même triste, incroyablement triste.

Merci tout de même à Bragelonne et à Babelio pour ce livre.
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Un monde « L'Artellium », deux nations Arkhante et Mantris, la magie contre l'intelligence artificielle, la fantasy et la science-fiction. Au milieu, le Rift, un monde post-apocalyptique, irradié, malsain et invivable pour ses habitants.
Le Rift a vu le jour lors de l'affrontement des deux autres nations pour le pouvoir. Un statu-quo s'est installé depuis, plutôt une guerre froide qui se règle à travers un jeu annuel, l'abbalition qui se déroule dans l'Appologium, arène où s'affrontent diverses équipes de chaque nation.
Lorsque l'histoire commence, la dirigeante d'Arkhante, Solis vient de succéder à son père. le trône est incertain et en butte aux intrigues. La jeune femme est inexpérimentée et son pouvoir magique pas vraiment défini.
Du côté de Mantrix, l'Ordonnateur est un vieux briscard rompu aux intrigues et manipulations.
Le vainqueur des jeux pourra demander à l'autre une « faveur diplomatique ».
Seule ombre au tableau, le Rift fait irruption dans le jeu grâce à Aurèle qui n'a qu'une idée en tête, capturer Solis et faire pression pour libérer son peuple.
Fantasy contre Sf. J'aime beaucoup les deux, ma préférence allant plutôt vers la fantasy. Deux mondes qui s'affrontent et s'entre-déchirent surtout sur le dos des Riftiens.
La magie contre l'hyper-technologie, les deux ont leurs points faibles, Arkhante voit sa magie le Pranah s'étioler et Mantris a besoin d'étendre la production de Trisel, l'énergie nécessaire à sa technologie, au sein du Rift.
Ce roman m'a laissé mitigée, surtout au début, l'emploi de mots fabriqués pour l'histoire casse un peu l'ambiance et le rythme de lecture, ceci dit j'ai préféré les moments avec les personnages d'Arkhante, favori oblige. La complexité de lecture avec les personnages de Mantrix colle bien avec l'ambiance de la technologie, des énumérations, des rapports d'ensemble. L'auteur a su ainsi retranscrire les deux mondes.
1er tome donc d'une série que je découvre totalement, étant donné que je ne connais absolument pas le monde du jeu de cartes dont est tiré le roman.
Les amateurs du jeu Cross the ages y trouveront j'en suis sûre un très grand plaisir de lecture.
Un petit mot sur la qualité de l'ouvrage, l'objet livre est magnifique, j'ai beaucoup aimé sa couverture et sa mise en page.
Merci à Babelio et aux Éditions Bragelonne pour cette masse critique privilégiée.
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Plusieurs choses sont attirantes dans la présentation de ce livre. Tout d'abord, le fait qu'il soit écrit par 6 auteurs, dont Alain Damasio. Ensuite, l'histoire. Ce mélange Science-Fiction et Fantasy, science d'un côté et magie de l'autre qui s'opposent dans une intrigue, il n'en fallait pas beaucoup plus pour que je me laisse tenter. Et puis pour les connaisseurs, il y a l'univers qui existe déjà pour un jeu (et qui m'est totalement inconnu). Donc, en ce qui me concerne, je découvre totalement cet univers avec le premier tome de cette série.
L'ouverture se fait en fanfare, sur un combat qui oppose les scientifiques au magiciens. Combat à mort, bien sûr. Célébrant un autre combat s'étant dérouler bien des années auparavant, et destiné à établir qui, des deux univers, est le plus fort. On retrouve dans ce début, un petit côté Hunger Games. Ce combat permet donc de mettre en avant le personnage d'Aurèle : mystérieux, qui ne vient ni d'un côté ni de l'autre et qui mène sa petite mission personnelle. Puis on plonge au coeur de ces 2 pays si différents, mais qui cohabitent.
Je ne dirais pas que j'ai totalement plongé dans cette lecture, mais ça n'a pas été inintéressant. Je l'ai pris surtout pour un tome d'ouverture. Il met en place l'univers et permet au lecteur de se familiariser avec tout ce petit monde. Moi qui d'habitude suis plutôt Fantasy que SF, j'ai eu une petite préférence pour Mantis et ses humains augmentés. Peut-être parce qu'on y côtoie plus la vie au quotidien. Alors que du côté d'Arkhante, on est tout de suite beaucoup plus dans les hautes sphères du pouvoir. Mais des 2 côtés, on a bien notre dose de manigances et d'intrigues, ce qui fut pour mon grand plaisir.
Malgré tout, je trouve qu'il manque tout de même d'un petit truc en plus, une cohésion de cet ensemble qui paraissait prometteur. Ce sont 2 univers difficiles à faire coexister dans une seule intrigue et pour l'instant, je reste un peu sur ma faim. J'espère que la suite donnera un souffle à tout ça.
Je remercie les éditions Bragelonne via la Masse Critique Babelio pour cette découverte.
Lien : https://www.facebook.com/Les..
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critiques presse (1)
Syfantasy
12 avril 2024
Des idéalistes, des conservateurs, des survivants ou encore des ambitieux, ce roman choral nous dresse le portrait d’un univers où les genres s’affrontent et s’entremêlent avec force. Les combats sont sanglants et cruels, les personnages sont complexes et les enjeux vitaux à chaque échelle de ces sociétés.
Lire la critique sur le site : Syfantasy
Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Pouvoir n’est pas le plus difficile. C’est vouloir qui est vertigineux. Savoir vouloir. Savoir ce qu’on veut.
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L’intelligence résout le problème que la sagesse aurait évité.
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Voilà pourquoi on arrive pas à convaincre les gens (…) Il suffit de dix secondes pour dire une connerie, mais il faut trois minutes pour expliquer pourquoi c’en est une. Tout le monde a dix secondes, mais personne n’a trois minutes.
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Le ver ne choisit jamais de vivre dans une pomme pourrie, il choisit toujours de faire pourrir une pomme saine.
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« Voilà pourquoi on n’arrive pas à convaincre les gens, de lamente-t-il sans vraiment s’adresser à Salomé. Il suffit de dix secondes pour dire une connerie, mais il faut trois minutes pour expliquer pourquoi c’en est une. Tout le monde a dix secondes,  mais personne n’a trois minutes… »
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