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Magnifique voyage dans le temps et nos rêves d ailleurs ! La route de la soie , les villes de Samarcande , Ispahan , l histoire de la secte des assassins la haut sur la montagne, la poésie Perse , un monde d Asie si différent de la pensée occidentale !
L ambiance et le rythme de la vie restent magiques, envoûtants car la poésie, les horoscopes sont les guides du destin.
Le fil rouge de ce roman , la recherche de l unique livre de ce grand poète nous entraîne dans les rues et les caravansérail avec nonchalance malgré les guerres et émeutes.

"Changer l'eau des fleurs" de Valérie Perrin est un roman qui m'a profondément touché.

L'héroïne, Violette, est une gardienne de cimetière qui mène une vie simple mais profondément marquée par le deuil et la perte. Pourtant, malgré son passé douloureux, elle rayonne de compassion et de gentillesse envers ceux qu'elle rencontre.

J’ai adoré la manière dont le passé et le présent s'entremêlent, révélant peu à peu les secrets qui ont façonné la vie de Violette. Les personnages qui gravitent autour de Violette sont tout aussi attachants et chacun apporte sa propre histoire et ses propres émotions.

Changer l’eau des fleurs est une ode à la vie, aux secondes chances et à la capacité des êtres humains à guérir, même après les pertes les plus profondes. Un véritable coup de cœur.

Ce livre est un panorama complet de la recherche en physique des particules et en astrophysique sur ces 40 dernières années.
L'auteure synthétise, dans un langage clair, pédagogique, les recherches en cours, les résultats obtenus, les énigmes (nombreuses) à résoudre et les constructions et outils (LHC,...), tous impressionnants, pour y parvenir. Le livre accompagne le propos de belles illustrations.
Avec un minimum de connaissances en physique et un peu de recherches sur Wikipedia, c'est très lisible et j'ai appris beaucoup de choses.
Un excellent bilan qui, on l'espère, vieillira vite !!

Mlle Gold a trouvée une bague qui est soudée après son doigt. Il se passe plein de choses bizarre à l'école et un moment donné c'est Beth qui la après elle. Elle change de personnalité. La fin était prévoyante malgré qu'on ignore où elles l'ont trouvée

Je ne mets que 4 étoiles car j'ai trouvé ce récit un peu baclé sur la fin. C'est dommage, et en même temps je me demande s'il n'y a pas une suite... Je voyais la fin du livre arriver alors que pas mal de choses restaient en suspens. J'ai aimé cette histoire, sordide à souhait, du Thilliez pur jus !

Original, déconcertant mais prenant ! Auďur Ava Olafsdottir joue avec notre patience et nous attire vers un dénouement inattendu et tellement vraisemblable. Cette écrivaine maîtrise parfaitement ce récit à la première personne et se coule dans la psychologie masculine avec justesse.
Vraiment, Rosa candida mérite les éloges qu'il a reçus.

"Il était une lettre" de Kathryn Hughes est un roman captivant qui allie intrigue et émotions. Le récit suit Tina, une femme qui découvre une lettre non envoyée dans la poche d'un vieux costume. Sa quête pour découvrir son origine la mène à travers différentes époques et à révéler des secrets de famille.

J'ai adoré la construction de l'intrigue, avec ses allers-retours entre le passé et le présent. Les personnages sont attachants, même si Tina peut parfois frustrer par son incapacité à s'opposer à son mari abusif.

Malgré cela, le livre reste passionnant grâce aux révélations et aux émotions qu'il évoque. C'est une histoire de résilience et de découverte de soi. Si vous aimez les romans avec des mystères à élucider et des personnages complexes, ce livre devrait vous plaire.

Je ne vais pas passer par quatre chemins, j’ai adoré ce livre 🖤

À base de secte, de mariage forcé, de romance sombre et de harem inversé, on se dirigeait à première vue vers quelque chose que je n’étais pas sûre d’apprécier. Mais je dois bien avouer qu’il m’a fallu très peu de temps pour accrocher !

On est immergé dès les premières pages dans cet univers de secte où les femmes ont très peu de libertés, où elles arrivent à l’âge adulte sans rien connaître de la vie et sont projetées dans la réalité du jour au lendemain, lorsqu’Anex, le chef de Serendee, les ordonnent à leur futur mari.

Alors qu’Imogène voue un culte inébranlable à “la Voie” et croit sur parole chaque mot que prononce Anex, Rex, son fils, rejette tout ce qui s’apparente à la communauté. La Voie, l’illumination, les règles…tout ça pour lui, c’est n’importe quoi. Son père est juste devenu un homme orgueilleux et manipulateur, qui profite de son pouvoir pour commettre des atrocités. Il en est convaincu et veut s’enfuir de là au plus vite.

Mais cette année-là, ils se retrouvent ordonnés l’un à l’autre. Comment vont-ils cohabiter alors que l’une est fan de la communauté et l’autre la déteste ? Va-t-elle accepter d’enfreindre les règles pour devenir la femme qui lui convient ? Ou va-t-il rejoindre le droit chemin pour rendre fier son père et devenir le prochain leader ? Mais surtout, vont-ils réellement se marier, comme Anex l’avait prévu ?

Ce sont quelques-unes des nombreuses questions que l’on se pose au fur et à mesure qu’on avance dans cette lecture captivante. Les sujets abordés sont durs, mais la plume de l’autrice est si réaliste qu’on s’y croirait presque, il est impossible de fermer le livre une fois embarqués dans l’histoire.

J’ai trouvé le récit vraiment original, prenant, et les personnages recherchés et intéressants. J’ai particulièrement aimé le trio Elon, Silas et Levi, et profondément détester Rex (mais ça vous saurez pourquoi uniquement si vous le lisez !)

Bref, pour moi c’est une réussite. J’ai maintenant hâte de lire la suite ! 🔥

Un grand merci à @literary.queens_fr et @lawsonwrites de m'avoir permis de découvrir ce livre.

Âmes sensibles s’abstenir, le titre du roman n’a pas été choisi au hasard, la moindre lueur d’espoir sera aussitôt salie ou étouffée, et nous resterons dans un noir complet. Au fil des pages, le destin d’hommes et de femmes, tous ravagés par la dureté de leur vie, se mêlent et s’emmêlent, jamais pour de bonnes raisons. Une intrigue bien menée, avec une plume crue et percutante, ainsi qu’une bonne dose de suspens.

Le premiee livre dont la liste de trigger warning est plus longue que le livre lui même !! Bravo !

Voila j'ai fais ma blague et je dois remplir les caractères, c'est chiant et me donne envie de retourner sur letterboxd

blabliblablublablaulbubeubbajb

Je suis ravie de reprendre enfin cette saga dont j'avais lu les deux tomes il y a déjà longtemps...

J'étais contente de retrouver tous les personnages même si j'ai eu plus de mal avec le comportement d'Hannah dans ce tome. Je n'aime pas sa façon de jouer avec les sentiments des deux hommes qui lui tournent autour, ça me dérange énormément !
J'ai beaucoup plus apprécié sa sœur : Andrea.

Toujours des recettes qui sont proposées par-ci par-là dans le roman et je trouve l'idée très sympa.

J'ai beaucoup aimé cette nouvelle enquête et je n'avais pas deviné l'identité du coupable.

J’ai été captivé dès les premières pages. L'histoire suit le parcours de trois amis d'enfance – Étienne, Nina et Adrien – qui partagent un lien indéfectible malgré le temps et les épreuves qui les séparent. L’autrice tisse une intrigue complexe qui alterne entre le passé et le présent, révélant peu à peu les secrets et les conflits qui ont marqué leur amitié.

Ce que j'ai particulièrement aimé, c'est la profondeur des personnages. Chacun a ses propres rêves, ses douleurs et ses luttes, ce qui les rend incroyablement réalistes. Leur amitié est au cœur de l'histoire, et on ressent une véritable empathie pour eux, à mesure qu'ils traversent les hauts et les bas de la vie.

Valérie Perrin a un talent unique pour dépeindre les émotions humaines. Son écriture est délicate mais puissante, parvenant à capturer des moments de bonheur, de nostalgie, de regret et de réconciliation avec une grande justesse. Les descriptions sont précises et évocatrices, ce qui m'a plongé dans l'univers du livre.

L'intrigue est aussi très bien conçue, avec des rebondissements inattendus qui maintiennent l'intérêt du lecteur. À travers des flashbacks et des révélations, le roman explore les thèmes de l'amitié, du destin et de la quête de soi, créant une histoire riche et profondément émouvante.

Un livre clair qui explique de façon simple et concise, les sentiments, l'estime de soi, sa relation avec les autres, les dépendances, les relations amoureuses, enfin bref tout ce qui provoque une émotion tout au long de notre vie.
Je ne connaissais pas Delphine Py, je ne savais donc pas en me plongeant dans ce livre qu'elle travaillait essentiellement sur la prévention de la santé mentale des ados.
J'aurai apprécié de m'être mieux renseignée sur l'auteur car effectivement, je me suis dit pendant toute ma lecture que c'était vraiment simpliste, et j'avais le vague sentiment que ce livre était adressée aux enfants qui découvrent le monde... ah ben forcément le livre a repris son sens quand je me suis rendue compte de mon erreur, à la dernière page avec la petite découverte de l'auteur. 🤭
Je le recommande fortément aux adolescents car il est rempli de nombreux exercices pour apprendre à se connaître et savoir où et comment trouver de l'aide.

07.05.2024 #023ème

📝 j’aime beaucoup @lisajewelluk car tout en étant productive ses livres tournent souvent autour de la famille mais ne se ressemblent pas

☀️ Dans «là où le bonheur s’est envolé » Lorelei est une femme solaire, un peu hippie, sa silhouette longiligne ne change pas même après la naissance de deux filles puis des jumeaux, ses cheveux longs grisonnent, je me l’imaginais sous les traits de Yazemeenah Rossi

🐣 pour certaines familles les temps forts de retrouvailles peuvent être noël ou un anniversaire, pour la famille Bird c’est Pâques où Lorelei organise de grandes chasses aux œufs dans le jardin, quelque soit le temps, concocte un repas savoureux pour la famille et les amis, jusqu’à ce dernier dimanche où tout va basculer…

🚮 enfin Lorelei ne jette rien, garde précieusement tout objet qui lui rappelle un souvenir, bon ou mauvais, jusqu’à tomber dans le syndrome de Diogene

📆 Avec des allers retours dans le temps l’autrice nous dévoile petit à petit les traumatismes qui vont faire éclater cette famille si unie en apparence, les jalousies, les tromperies, Megan la fille aînée partira la première et fondera une famille, Beth la cadette aura du mal à couper le
Cordon avec sa mère, Rory le benjamin partira à l’autre bout de la terre pour expier ses fautes et ses regrets… Mais le cottage des Cornouailles qui les a fait fuir, les rassemblera de nouveau…

Très agréable thriller psychologique malgré quelques longueurs

Ce nouveau roman de Freida McFadden est addictif, angoissant et complètement dingue...

L'histoire se déroule dans le manoir de Adrienne Hale, une psychiatre disparue et dont le petit ami a été accusé de l'avoir tuée.
À la façon d'un huis clos, l'ambiance y est anxiogène...

L'écoute des cassettes que Tricia trouve par hasard dans une pièce cachée est super intéressante et j'ai adoré ces passages.

Il y a de la manipulation, des mensonges et entre les traces de pas récentes sur le parquet et les bruits dans le manoir, on se demande ce qu'il est vraiment arrivé au docteur Hale.

J'ai eu très rapidement des suppositions sur certains faits mais je me suis trompée... La fin est surprenante et j'ai adoré ça même si pour moi, certains faits sont de trop pour la rendre totalement plausible.

Un deuxième tome plus intéressant ou le suspense avance, avec de l’action et encore une fois de l’humour. Toujours beaucoup de personnages dont je n’ai pas encore retenu tous les noms et leur importance pour l’instant.

J’ai aimé qu’on passe sur le présent mais aussi sur le passé pour raconter comment avait démarré la rencontre entre nos deux héros et ce qui s’est passé avant le trépas de Wei Wuxian. Le dessin est toujours un vrai atout pour raconter l’histoire, qui cette fois est mieux découpée en chapitre que le tome précédent.

Très hâte de découvrir la suite de l’histoire en Manhua.

Grande première pour moi, j'ai enfin lu une fiction où le personnage principal a le même prénom que moi (version espagnole but still!) ! Dans le livre, on suit Casiopea Tun à qui la chance ne sourit vraiment pas. C'est une jeune fille triste qui rêve en grand et si je lui souhaitais le meilleur, j'admets que c'était parfois compliqué à lire. L'ambiance du début est morose et j'ai du me donner un petit coup psychologique afin de me motiver à poursuivre.

J'étais extatique à l'idée de découvrir un récit inspiré de la mythologie Maya, que j'ai étudiée en long et en large et qui me fascine toujours autant. Quand on parle des mayas, on pense à Chichén Itzá et aux cœurs arrachés alors que c'est une culture riche qui regorge d'histoires et de mythes fondateurs. L'autrice s'est d'ailleurs inspirée du Popol Vuh (on va dire que ça équivaut à l'Illiade Maya) pour construire son roman.

Malgré le contexte mythologique, c'est une histoire toute simple qui se lit bien et qui laisse songeur. Ce n'est pas un feel good, je dirais même qu'on se trouve plutôt dans le registre du doux-amer mais l'équilibre entre les deux est suffisamment bien dosé pour qu'on passe un bon moment. Contrairement à ce que la quatrième de couverture annonçait, je n'ai pas été propulsée dans le Mexique des années 20 mais dans un monde où le visible et l'invisible se côtoient et où il ne suffit pas de souhaiter les choses assez fort pour qu'elles se réalisent.

J'aurais aimé en avoir un chouya plus et que l'histoire soit un peu mieux creusée mais je n'ai pas été déçue de ma lecture. Je la recommande à celleux qui auraient envie de découvrir une petite parcelle du monde Maya et qui n'ont pas peur de s'y perdre...

27.04.2024 #022ème

Une agréable histoire que nous raconte @tatianaderosnay dans « Poussière blonde » où nous suivons Pauline depuis sa naissance à Paris jusqu’à sa proche retraite dans le Nevada.

Entre les deux, à l’aide d’allers retours dans le temps, Pauline connaît des hauts et des bas, mais surtout une rencontre inoubliable qui va changer sa vie.

Je ne spoile pas en vous précisant que la blonde en photo sur la couverture est bien Maryline Monroe. Pauline sera sa femme de chambre quelques jours de 1960 pendant le tournage infernal du film de John Huston « Les désaxés ».

A l’occasion de l’implosion programmée du célèbre hôtel Mapes, Pauline revient à Reno en 2000 et se souvient de cette époque où ce job alimentaire lui a permis de vivre des moments improbables qui nous confortent dans l’idée que « Mrs Arthur Miller » était une très belle personne, malheureusement intoxiquée aux médicaments et à l’alcool, et très très perturbée.

Un joli flash black de soixante ans non pas axé sur la vie de la star mais sur une « frenchie » qui avec persévérance et un peu (beaucoup) de chance va pouvoir « déployer ses ailes »

Il est question aussi d’amitié, de passion pour les chevaux et plus particulièrement les mustangs, leurs défenses, de relations difficiles mère fille, de famille recomposée, d’acclimatation, de la French touch et son élégance…

« Ce n'est pas juste une histoire de cheveux. C'est mon histoire. »
D'où le titre à double sens, 'Racines', puisque Lou Lubie est créole, comme en témoigne sa chevelure au naturel, mais pas sa peau - blanche.
« En revenant au cheveu naturel, j'avais comblé l'écart douloureux entre l'identité que je renvoyais au monde et mon identité profonde. Je me sentais enfin alignée avec moi-même. »
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Moi qui porte les cheveux courts depuis plus de trente ans, qui ne les mèche plus depuis le Covid ('pour mettre de la lumière dans ce terne, madame'), qui vais les faire recouper à reculons toutes les six semaines, qui les coiffe rapido après le shampoing avec peigne et doigts, qui ai des bouclettes sur le front et des baguettes ailleurs (et les coiffeurs n'ont jamais vu ça, c'est fou 😮)... je ne pensais pas me passionner à ce point pour des histoires de cheveux dans un album BD de deux cents pages.
Mais je fais confiance à Lou Lubie pour me captiver (cf. 'Et à la fin, ils meurent', et 'Goupil ou face'), d'où ce choix lors de la dernière Masse critique Bbl.
Je suis intriguée aussi par le temps passé par mes collègues aux cheveux frisés/crêpus pour s'échanger des astuces de lissage, des bons plans, etc., alors que je les trouve tellement mignonnes au naturel, le visage encadré d'une douceur floue, plutôt qu'avec une coiffure stricte/lissée/tirée en arrière.
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Bref, l'auteure fait parfaitement le tour de la question, évoquant ses origines créoles, les modèles européens/occidentaux à suivre (remontant à la colonisation et les conneries de prétendue supériorité des 'blancs'), le regard des autres, les réflexions désagréables, les dangers pour la peau des produits de lissage, les salons de coiffure 'spécialisés', le temps passé pour l'entretien au quotidien...
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L'album est complet, intelligent, sans complaisance, plein d'auto-dérision.
J'aime beaucoup, aussi, le relief de la couverture.
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Merci à Babelio et aux éditions Delcourt.

Ce thriller psychologique débute par un prologue qui nous donne l'issue de l'histoire alors j'avais peur de ne pas être surprise lors de cette lecture... mais je l'ai été !

Dans un quartier tranquille, Adèle et Bertrand sont un couple sans histoire. Ils vivent dans une routine et s'occupent de leur fils Lucas.
Jusqu'à l'arrivée de ce nouveau professeur de solfège qui va bouleverser pas mal de choses.

J'ai aimé suivre son histoire en alternance avec celle de cette famille même si j'en attendais beaucoup plus.

Certains points auraient mérités d'être plus développés pour moi et c'est assez frustrant ou alors c'est complètement voulu de la part de l'auteure de laisser le lecteur avec quelques interrogations à la fin de cette lecture.

La fin est surprenante mais là pareil, je n'ai malheureusement pas adhéré car une nouvelle fois, j'ai manqué d'éléments de développement.

Je n'ai pas encore lu tous les romans de Barbara Abel mais j'avoue que celui-là m'a laissé un soupçon de déception comparé aux précédents.
Je vous invite bien-sûr à vous faire votre propre avis.