Découvrir

: Lorsque j’ai vu ce tome 3 en librairie, j’ai sauté sur l’occasion. Même sans avoir relu les deux précédentes BD, je me souvenais parfaitement de l’intrigue. Et quel bonheur de replonger dans cet univers !
Comme j’ai déjà pu le dire, je suis fan de cet univers de science-fiction et la fin est arrivée bien trop vite à mon goût… J’en reveux encore ! C’est qu’on devient facilement accro !
L’action est fidèle à celle du roman, comme toujours, quoique celle-ci ait été raccourcit pour concorder avec le format bande dessinée.
Les dessins sont toujours bien sympathiques et agréables à lire et à regarder.
En fin de compte, ça s’est bien laissé dévorer puisqu’à peine achetée, elle était déjà lue !
On est vite happé par l’intensité des moments et les dessins exacerbent bien cette impression. Le suspense nous enveloppe toujours tout au long de la lecture, c’est génial ! Les émotions nous entrainent sans discontinuer dans l’action et nous montrent tantôt des moments solennels, tantôt des moments heureux. On sent que c’est abouti et passionnant !
Malgré tout, je persiste à dire qu’il faut avoir lu les romans avant les bandes dessinées parce que beaucoup de détails des livres ne sont pas forcément retranscrits dans la BD. Je trouve l’expérience beaucoup plus immersive lorsqu’on connaît déjà l’univers. La BD me semble plus une manière d’approfondir la lecture et l’univers.

Conclusion : Un tome 3 très vite dévoré que je vous recommande !

J'adore toujours autant Derib. Bien que certaines bandes dessinées puissent sembler moralisatrices à la lecture aujourd'hui, elles datent d'il y a 20 ans !

Dans celle-ci, nous faisons la connaissance de Yann, un adolescent mal dans sa peau, qui sèche les cours et ne pense qu'à faire du roller avec son copain.

Ensemble, ils décident de pimenter leur vie en construisant une rampe pour faire du roller. Ils décident également de voler de l'argent à un homme au distributeur de billets pour acheter des rollers plus modernes.

Mais tout ne se passe pas comme prévu, car son ami se retrouve hospitalisé suite à un accident lors de leur "performance".

Yann prend alors conscience qu'il doit changer.

Comme je l'ai mentionné précédemment, j'adore toujours autant Derib. Cette BD m'a moins touché que les autres, mais elle reste tout aussi importante. Adolescence, délinquance, etc., tout cela peut sembler cliché, mais c'est encore d'actualité aujourd'hui.

N'hésitez pas à la découvrir.

Psychose…Une nouvelle lecture hitchcockienne pour moi, plus exactement la lecture d'un roman qui a inspiré Alfred.
Il ne m'était jamais venu à l'esprit de le lire jusqu'ici, trop marquée par le film et persuadée que cela viendrait biaiser ma lecture. Mais de récentes critiques postées sur Babelio, excellentes au demeurant ;), m'ont persuadée du contraire : j'ai plongé !

En une journée, le roman est avalé ; happée dès les premières pages, je comprends que ce roman de Robert Bloch a son caractère propre et spécifique, captivant et hypnotique.
Je connais déjà l'histoire, je sais ce qui va se produire, mais je ne peux pas le lâcher, les chapitres s'enchaînent jusqu'au final grandiose, et j'en reste bouche bée.

Le Norman Bates de Robert Bloch n'a rien à voir avec Anthony Perkins et c'est tant mieux. La quarantaine passée, il est plutôt obèse, empatté et porté sur la bouteille, un homme au "visage épais et quelconque". À la fois homme et enfant, il aime à se plonger dans la littérature scientifique dès que l'occasion s'en présente et qu'il ne se trouve pas interrompu par les intrusions de sa mère. Janusien.

Le récit étant majoritairement porté par Norman, c'est une véritable plongée dans l'esprit de cet homme psychotique que nous offre l'auteur. Inspiré de la vie du tueur en série Ed Gein, il profite de ce roman pour explorer les effets terribles d'une relation toxique d'une mère et de son fils une fois celui-ci devenu adulte. Et le lecteur vit, page après page, ses peurs et ses angoisses, ses doutes et ses résolutions vite oubliées ; il voit se dessiner un mode de pensée, presque cohérent, en mode survie, d'un homme égaré et traumatisé.

Et c'est là que Robert Bloch réussit son coup, c'est assez flippant !
Et je me suis encore fait avoir...

Pour seul refuge est un thriller psychologique où l'auteur ménage le suspens avec beaucoup de virtuosité. Plusieurs personnages se croisent, leurs histoires s'entremêlent en un ballet angoissant qui ne prend fin qu'à la dernière page de l'ouvrage.
Amateurs de sensations fortes et de polars des montagnes, vous allez adorer ;)

Ce roman nous plonge dans un secret de famille, alternant entre passé et présent.
Sans surprise, pour moi c'est décevant.

L'histoire suit Lisa, maman solo qui accueille chez elle sa mère qui fuit son ex-compagnon violent et son grand père, qui a sa maison en travaux.

Une découverte troublante dans la maison - un casque nazi et le journal intime d'Aurélia - déclenche une double temporalité, entre la Seconde Guerre mondiale et de nos jours.
Malheureusement, la partie contemporaine semble superflue, ajoutant en longueur sans réel bénéfice à l'intrigue. On l'aurai supprimé ont aurai économisé des pages.

Les thèmes abordés, tels que la violence conjugale et la monoparentalité, restent en surface et manquent de profondeur, c'est très triste d'en faire une base de l'histoire sans creusé plus. Un ajout utile aurait été la présence du numéro d'urgence pour les femmes victimes de violence à la fin du livre, ou intégré subtilement dans l'histoire !
(3919 pour la France !)

En résumé, malgré la plume agréable de l'autrice, ce roman ne parvient pas à succiter pleinement de l'interêt. Une lecture acceptable, mais sans véritable impact... et c'est dommage.

Un roman initiatique à multiple facette. Une quête de soi et au climat parfait nous guide tout au long du récit. La quête ne s’arrête pas à soi mais s’expand au collectif. Donc le climat parfait raisonne en parallèle entre un climat ensoleillé à l’intérieure et à l’extérieure.
Un univers assez complexe mit en place pour différencier les aspects individuelles d’un être et collectif d’une population qui répondent en symbiose l’un sur l’autre et inversement. C’est compliqué de comprendre la construction de cet univers au début. L’ajout d’un guide des personnages avec leur vocations et leur liens aurait été d’une grande aide et surement aurait aidé pour une immersion plus rapide.
Les morales de ce livre sont une aude à la prévention écologique, au bien-être personnelle, professionnelle sur un plan physique et mentale.
La plume est simple et sophistiquée à la fois.Je recommande ce livre aux personnes cherchant des axes de réflexions sur des aspects de la vie comme le bonheur, la crise écologique, les complots, sa place dans la société....
- Yasmina -

J’ai adoré cette dystopie remplie de vérité, de réflexions, de pensées, d’actions et de remises en questions !
Dès le début de ma lecture j’ai accrochée à l’histoire et ses personnages !
L’autrice a créé un univers, un monde et un système très original et percutant.
La métaphore entre la météo et ses propres émotions m’a beaucoup plu et beaucoup parlé.
L’univers est dense avec un système qui peut paraître complexe au prime abord mais il vaut la peine d’être compris et découvert !
Les questions posées tout au long du récit ont menés à beaucoup de remises en questions, que se soit sur la famille, l’amitié, les valeurs, les moments difficiles ou le bonheur.
On ressent beaucoup le côté philosophique à travers toutes les réflexions développées pour répondre ou du moins méditer sur les réponses possibles à toutes ces questions.
La quête de soi et la quête du bonheur sont les objectifs clés de ce récit dystopique.
Colin, le personnage principale est un protagoniste que j’ai trouvé très touchant, engagé, empathique et déterminée. Il va suivre ses valeurs et ses croyances, s’impliquant d’autant plus dans la recherche de son propre bonheur, ainsi que celui des autres.
C’est à travers lui, sa vie et son expérience que les réflexions philosophiques vont prendre forme.
Un roman engagé envers le climat, la quête de soi et le bonheur.
- Kenza -

Instagram : @lire_entre_soeurs

Mais quel roman ! Rebecca fait partie des romans que j'ai conservés quand j'ai dû "faire le ménage" parmi la bibliothèque familial mais, comme je l'avais lu ado, je ne conservais que l'impression que j'avais beaucoup aimé. Je me souvenais certaines choses, très vagues, même si j'avais vu aussi, en son temps, le film d'Hitchock.

Alors que dire ? C'est un roman qui prend son temps dans ce coin d'Angleterre, c'est un roman contemplatif, un peu gothique (?), avec des descriptions à tomber par terre mais pas trop longues. J'ai vraiment adoré cette ambiance froide et sombre.

Rebecca, la première femme de Max de Winter, est morte noyée. C'est un homme brisé qui part en voyage à Monte Carlo et qui va rencontrer, une jolie demoiselle avec qui il va se marier rapidement. Après leur voyage de noces, ils rentrent en Angleterre, dans la somptueuse demeure Manderley. Manderley dont l'esprit de Rebecca hante les lieux et le personnel domestique.

Sur fond d'évènements tragiques , de personnages complexes que cela soit le couple De Winter ou des domestiques, l'auteure va dépendre la condition de la femme ou des femmes que cela soit Rebecca, un personnage sûre d'elle, ou la nouvelle Mme De Winter, jeune adulte , un peu niaise, gauche et pas sûre d'elle ou la gouvernante qui vit avec le souvenir de Rebecca qu'elle adulait.

L'auteure dépeint donc des personnages très complexes au fil du roman et des évènements qui peuvent ne pas paraître importants mais qui le sont puisque le tout mène à un final étonnant. Il y a des secrets, des non-dits et puis, le tout est dépeint avec l'époque aussi. C'est un livre qui a été écrit il y a 86 ans et il nous remet complètement dans l'époque.

Lisez-le :-)

Et si La Joconde du Louvre n'était pas l'authentique tableau peint par De Vinci? Cette affaire alimente les conspirations & les fantasmes depuis des années. Tel est le point de départ de L'Héritage Monna Lisa.
Un héros sexy, intelligent, tatoué & légèrement tourmenté par son passé nous fait voyager de Florence à Paris, puis par New York. Il nous offre un voyage du début du XXème siècle, dans la capitale française sale, dans des ateliers de peinture, dans un Louvre non surveillé. Les chapitres courts proposent un véritable labyrinthe historique parsemé de détails architecturaux, d'anecdotes picturales, et de verres en terrasses. On se régale des vieux livres, des tableaux qui prennent vie sous nos yeux.
Rajoutons une intrigue sentimentale avec une belle blonde mystérieuse, un agent d'interpol rustre, un gangster russe en mode tueur, et le livre coche toutes les cases de l'aventure rocambolesque. Et on en redemande. Le roman ne tente pas d'en faire trop en propulsant son héros dans des égouts parisiens ou les dessous d'une église méconnue. Jonathan Santlofer ne se la joue pas Da Vinci Code, et on peut le remercier. Les 425 pages se déroulent avec joie tout en acceptant le leitmotiv suivant : retrouvez les Joconde disparues. On sourit, on baille, cette lecture ne réveille pas les démons de la littérature, mais il offre un moment de détente appréciable.

"Le barman du Ritz" c'est Frank Meir, juif autrichien qui s'est fait tout seul, parti de rien, formé à New York pour arriver au mythique palace parisien de la Place Vendôme.

400 pages sur quatre ans d'occupation allemande durant la seconde guerre mondiale.

400 pages avec pour seul décor le fameux bar du Ritz où il va côtoyer Hermann Göring et autres commandants de la Wehrmacht, l'écrivain Ernest Jünger, Coco Chanel, Arletty, Sacha Guitry, la veuve du créateur du palace Marie-Louise Ritz...

400 pages qui se lisent très bien, des choses intéressantes, des personnages tout autant, et pleins de traits d'esprit savoureux.
Des photos et explications à la fin du livre où on en apprend plus leurs vies d'après, émouvant et triste pour certains...
Frank Meir était finalement un prodige des cocktails mais à la vie et au destin bien mystérieux.

Mon seul bémol est qu'il s'agit d'un roman basé sur des faits réels.
Non pas que je déteste ce genre mais dont je me méfie parce qu'il est souvent difficile de faire la part des choses entre le "vrai" et la fiction, ce qui a été le cas durant ma lecture et ce que j'ai trouvé frustrant.

Plongez dans l'univers de l'autrice,où chaque mot est une plume qui vous emporte dans un tourbillon d'émotions !

Dans ce roman, nous faisons la rencontre de Connie, qui peu à peu se souvient de son frère, Mat.

Elle lemretrouvera dans une clinique. Il est devenu tétraplégique après un tragique accident.

Leur lien, fragile et profond, se reconstruit page après page, révélant des secrets enfouis et des questionnements.
Accompagnée par David, Connie cherche désespérément des réponses à ses interrogations sur son passé er celui de son frère.

Dans un récit poignant, Delphine explore avec sensibilité le thème, presque tabou, du burn-out parental, particulièrement le maternel, offrant un miroir troublant à ceux qui l'ont vécu. (Je me suis énormement reconnu dans les comportements de la maman de Connie et Mat!)

Chaque pièce du puzzle se met en place au fil des chapitres, révélant des vérités parfois déchirantes, parfois salvatrices.

Une lecture qui vous fera vibrer d'émotions contradictoires : colère, tristesse, mais aussi un soupçon de bonheur, car malgré les épreuves, l'amour et la réconciliation triomphent. "Doucement renaît le jour" est bien plus qu'un roman ; c'est une ôde à la résilience, à l'amour fraternel et à la force de l'esprit humain !

Merci Delphine !

Il y a de ces livres dont on a l’impression qu’ils sont complets, qu’ils abordent tous les sujets de la vie. J‘ai ressenti cela avec Kundera et son Insoutenable ... et je ressens la même chose après cette lecture-ci.
Un roman russe écrit par un américain, être plus universel serait difficile. Ici les âmes tourmentées sont moins théâtrales et sont coulées dans un développement narratif extrêmement fluide.
L’histoire est très simple, mais elle est d’une force qui ne nous laissera pas indemne.
Yakov Bok est un pauvre réparateur juif à Kiev, qui à cette époque est une ville russe à part entière. Nous sommes en 1911. Le régime des Romanov fête ses trois cents ans, mais devient de plus en plus chancelant.
Des revers militaires contre le Japon à la révolte populaire de 1905, qui est une répétition générale de celle d’Octobre, le régime est très contesté. Nicolas II, en politicien mal dégrossi qu’il est, se crispe et afin trouver de coupables pour ses déboires, qui désigne-t-il? Tout juste, les Juifs, appelés les zhids par les Russes. Il laisse faire la milice des Cent-Noirs, antisémite et d’extrême-droite, pour les persécuter et pour les chasser des villes par le biais de pogroms baignant dans la violence extrême.
Un garçon chrétien de douze ans est retrouvé assassiné, criblé de plus de quarante coups de couteau. Un funeste concours de circonstances fait que Yakov Bok passait par là. Parfaitement étranger à ce crime, il est néanmoins arrêté et jeté en prison, sans qu’un acte d’accusation ne lui soit présenté. Il passera trois ans dans les geôles russes, y subissant les pires exactions et humiliations.
Je vous en fais l’économie. L’appareil judiciaire et politique s’acharne sur lui. Les Juifs sont les boucs émissaires du régime et Yakov va cristalliser toute la haine des Russes chrétiens. Juif et libre penseur, adepte du philosophe Spinoza, il aura très peu de chances d' échapper à son étiquette de coupable idéal. Les quelques fonctionnaires ou gardiens qui lui témoigneront le moindre soutien moral, disparaissent et sont éliminés par le régime. Rien ne le libèrera de cette accusation fallacieuse.
Malgré les pressions qu’on lui assène, Yakov ne tombera jamais dans le piège de “l’aveu spontané”. Il résistera. Il ne s’est jamais assis pour attendre sa fin en acceptant sa condition. Juste avant l’assassinat de l’enfant, il avait quitté son shtetl (quartier juif en yiddish), où il vivait comme un misérable. Pour lui “la vie peut être meilleure qu’elle ne l’est”. C’est ce principe qui lui permet de tenir le coup dans sa cellule immonde.
L’absence d’un acte d’accusation réel et clairement rédigé donne des relents résolument kafkaïens au récit. Petit à petit, le cauchemar de Yakov devient celui du drame de la Russie toute entière et même du monde: l’humanité s’est fait la malle. Haine, violence et mensonge deviennent la norme.
Le personnage de Yakov est complexe et riche à la fois, c’est le destin d’un homme seul qui résiste à une machine bien plus puissante que lui. Comme Meursault, c’est homme qui dit “Non”, bien que la question posée n’est pas la même.
Si je dois résumer ce livre en une seule phrase, la voici “ on ne peut rester assis à se regarder détruire sans réagir”.
C’est un très grand livre, qui se termine sur un dialogue imaginaire extraordinaire entre Yakov et le tsar.

Sous fond espagnol, une histoire émouvante se déroule, avec Louane, une jeune fugueuse de 18 ans, et Louise, une octogénaire. Leur rencontre avec Laurène, qui les accompagne en covoiturage, donne naissance à une amitié improbable entre elles.

Louane, Laurène et Louise, surnommées les trois "L", partagent bien plus que la première lettre de leur prénom. Ensemble, elles réalisent qu'elles sont complémentaires, se soutiennent mutuellement, partagent des rires et des consolations.

Ce roman aborde des thèmes forts comme la vieillesse, le suicide assisté, l'amour, l'amitié et les choix personnels même lorsque ceux-ci vont à l'encontre de l'avis de leur entourage.
Il incarne le courage et l'espoir à travers son texte si puissant et touchant.

L'écriture de Bruno est d'une douceur, d'une poésie et d'une émotion indéfinissable.
C''est avec tristesse que l'on réalise qu'il ne nous offrira plus de nouveaux écrits... 😢

Je vous invite à plonger dans l'univers des trois "L" et à être aussi touchés que moi par cette merveilleuse histoire !

Quel potentiel ce conte pouvait avoir, pouvait donner ! Je garde en tête "Monsieur Gold" dans Once Upon a time, fin manipulateur, personnage de Rumpelstiskin dans le monde moderne !

Et ben, le début, un peu longuet et prometteur.

Et après, le désastre. Tout est brouillon, tout est fouilli. Y'a des trucs qu'on comprends pas ce que ça viens faire là, des trucs qui sortent de nul part, qu'on a jamais entendu avant ni après.

Vraiment, un conte décevant.

Je ne sais pas ce que l'autrice à voulu créer, ni quelle ambiance, peut-être que je suis passée à côté, mais toute l'équipe de la LC également.

Je reste sur ma faim concernant ce conte et un peu décue de son contenu.

Dans le train. Je viens de refermer ce livre dont j'achève la lecture et je ne peux empêcher mes larmes de couler. J'ai l'air un peu bête, mais je n'ai pas l'orgueil attachant du chat de Satoru alors, pas grave !
Joli récit de voyage, à travers les beaux paysages du Japon et ses traditions, et qui parle surtout de cette belle aventure qu'est la vie. De ce qui la rend précieuse : ceux qui nous ont entourés, dans toute leur complexité et leurs contradictions.
Et puis, bien sûr (!), ça parle de chats. Ça devrait suffire à vous convaincre de plonger dans cette lecture, non ?!

Une lecture addictive rythmée par le suspense, les rebondissements, les révélations et les trahisons !
“Combat d’une vie” nous plonge dans une ambiance sombre où la boxe clandestine sera le début des problèmes mais aussi le début d’une belle histoire d’amour !
William fait des combats clandestins suite à la trahsons de Lydia, mais un jour tous va dérapé, des gens veulent sa mort !
à partir de là, une enquête palpitante et une attirance innatendue va boulervser sa vie !
William est un personnage qui au début peut paraitre très impulsif avec le sang chaud. Mais au fil de l’histoire, William va se révéler être en réalité un personnage beaucoup plus doux et très attentioné en cherchant à tout prix à protéger les gens qu’il aime.
J’ai adoré la relation entre William et son fils !
Samuel est un personnage complètement différent de celui de William, il est beaucoup plus calme et réflechis ! dans le tome 1, le personnage de Samuel est assez énigmatique, c’est dans le tome 2 qu’il se révèle ! J’ai beaucoup apprécié découvrir son passé et ses propres combats !
William et Samuel vont évolués petit à petit que se soit individuellement ou ensemble. Je trouve leur évolution très belle et importante à souligner car c’est ce qui a fait qu’on s’attache à eux et à leur histoires.
Alex, Jessica et Tobias sont aussi des personnages qui ont une grosse importance dans le récit, je pense surtout à un en particulier...
Le titre “Combat d’une vie” reflète parfaitement cette saga car au delà de la boxe et des combats clandestins, ce livre aborde les combats intérieures c’est-à-dire les remises en questions, l’acceptation de soi, la découverte de soi, la reconstruction de soi, le dépassement de soi... et encore plein d’autres sujets évoqués avec beaucoup de justesse et d’authenticité !
L’autrice nous partage une histoire profondément touchante et captivante !
Une histoire et une intrigue prenant ! Tellement prenante qu’on a envie d’enchainer notre lecture du second tome mais aussi du troisième ! Parce que oui, la fin du second tome en appelle à un troisème.
Il me faut la suite.
- Kenza -

Une histoire contemporaine rythmé par la boxe, l’amour, les trahisons, enquêtes et révélations surprenant et inattendus.
William: un homme dévasté par la tromperie de sa copine.
Samuel: un homme surprenant, attachant et tenase avec un passé très compliqué.
Alex: un flic très compÉtant et très proche de Williman, à le protÉger de tous les problÈmes de justice.
Gabriel: fils de Willima, plein de vie.
Et plein d’autres aussi important que cruel près à tout risqué pour William.
Une romance MM qui inclus la découverte de sa sexualité. Il est vrai que William peine à comprendre son attirance pour Samuel et à l’accepter.
Il faut dire que la rencontre William -Samuel est surement l’une des plus antiromantique possible mais c’est ce qui fait leur attachement l’un pour l’autre.
Leur vie est rythmé par pas mal de grosse galére qui vont subir et surmonter à deux.
Deux tomes super bien rythmé dans l’écriture, les révélations.
Quand il y en a plus, il y en a encore.
Vive le tome 3.
- Yasmina -

Instagram : @lire_entre_soeurs

J’ai adoré ce tome 2 et je l’ai même préféré au tome 1 😍

Déjà, j’adore la plume d’Astrid, tellement fluide à lire, des rebondissements bien gérés et qui me fait apprécier le côté romance (que je n’aime pas trop de base 🫣)

J’ai vraiment adoré le personnage de Charlotte. C’est une femme inventeuse de génie et je trouve que c’est une super idée d’avoir une femme qui a des compétences techniques 😉 Elle est badass, elle a du caractère, elle est ambitieuse, bref, je l’adore !

J’aime les univers Steampunk d’Astrid, surtout Wadgie (perso que j’avais adoré dans le tome 1) en lionne robotique. J’avais adoré la mécagie dans le tome 1 et sans surprise, j’ai aimé tous les passages sur les automates du tome 2, même si j’aurais aimé en voir un peu plus ;) Ce tome est un peu plus centré sur la politique que sur les véritables créations mécagiques mais j’ai bien aimé le côté stratège de Charlotte.

Beaucoup de complots politiques, attentats, lutte des classes… et pas mal de réflexions sur l’usage des automates, surtout ceux qui ont des postes qui peuvent remplacer les humains… Malgré l’ambiance historique, les sujets sont quand même très actuels 😉

Bref, si vous ne connaissez pas encore la plume d’Astrid, foncez, et si vous avez aimé le tome 1, vous l’aimerez encore plus 🥰

Une lecture addictive rythmée par le suspense, les rebondissements, les révélations et les trahisons !
“Combat d’une vie” nous plonge dans une ambiance sombre où la boxe clandestine sera le début des problèmes mais aussi le début d’une belle histoire d’amour !
William fait des combats clandestins suite à la trahsons de Lydia, mais un jour tous va dérapé, des gens veulent sa mort !
à partir de là, une enquête palpitante et une attirance innatendue va boulervser sa vie !
William est un personnage qui au début peut paraitre très impulsif avec le sang chaud. Mais au fil de l’histoire, William va se révéler être en réalité un personnage beaucoup plus doux et très attentioné en cherchant à tout prix à protéger les gens qu’il aime.
J’ai adoré la relation entre William et son fils !
Samuel est un personnage complètement différent de celui de William, il est beaucoup plus calme et réflechis ! dans le tome 1, le personnage de Samuel est assez énigmatique, c’est dans le tome 2 qu’il se révèle ! J’ai beaucoup apprécié découvrir son passé et ses propres combats !
William et Samuel vont évolués petit à petit que se soit individuellement ou ensemble. Je trouve leur évolution très belle et importante à souligner car c’est ce qui a fait qu’on s’attache à eux et à leur histoires.
Alex, Jessica et Tobias sont aussi des personnages qui ont une grosse importance dans le récit, je pense surtout à un en particulier...
Le titre “Combat d’une vie” reflète parfaitement cette saga car au delà de la boxe et des combats clandestins, ce livre aborde les combats intérieures c’est-à-dire les remises en questions, l’acceptation de soi, la découverte de soi, la reconstruction de soi, le dépassement de soi... et encore plein d’autres sujets évoqués avec beaucoup de justesse et d’authenticité !
L’autrice nous partage une histoire profondément touchante et captivante !
Une histoire et une intrigue prenant ! Tellement prenante qu’on a envie d’enchainer notre lecture du second tome mais aussi du troisième ! Parce que oui, la fin du second tome en appelle à un troisème.
Il me faut la suite.
- Kenza -

Une histoire contemporaine rythmé par la boxe, l’amour, les trahisons, enquêtes et révélations surprenant et inattendus.
William: un homme dévasté par la tromperie de sa copine.
Samuel: un homme surprenant, attachant et tenase avec un passé très compliqué.
Alex: un flic très compÉtant et très proche de Williman, à le protÉger de tous les problÈmes de justice.
Gabriel: fils de Willima, plein de vie.
Et plein d’autres aussi important que cruel près à tout risqué pour William.
Une romance MM qui inclus la découverte de sa sexualité. Il est vrai que William peine à comprendre son attirance pour Samuel et à l’accepter.
Il faut dire que la rencontre William -Samuel est surement l’une des plus antiromantique possible mais c’est ce qui fait leur attachement l’un pour l’autre.
Leur vie est rythmé par pas mal de grosse galére qui vont subir et surmonter à deux.
Deux tomes super bien rythmé dans l’écriture, les révélations.
Quand il y en a plus, il y en a encore.
Vive le tome 3.
- Yasmina -

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Voilà un roman qui m'a énormément plu, tant par l'histoire qu'il raconte que par l'écriture de Russel Banks.
Je l'avoue tout de suite, c'est la première fois que je lis cet auteur ! Je commence donc avec son ultime parution et si ce dernier ne semble pas aussi bien noté par le lecteurs de Babelio que de nombreux autres, alors j'ai hâte de les découvrir.

Russels Banks met en scène un auteur qui lui ressemble beaucoup et qui découvre de vieilles bandes magnétiques sur lesquelles un certain Harley Mann raconte son existence et notamment ses jeunes années au sein d'une communauté de Shakers, une secte installée en Floride.

Le jeune Harley et ses frères et soeur n'ont jamais connu d'autre existence que la vie en communauté puisque leurs parents, puis leur mère restée veuve, ont toujours appartenu à un mouvement : Les Ruskinistes puis à la mort du père une expérience désastreuse dans une plantation de Rosewell et pour finir, la nouvelle-Béthanie, où va se dérouler la fiction.

Cette petite communauté est régie par des lois extrèmement strictes et dirigée par deux "doyens" shakers : l'Ainé John et l'Ainée Mary.
Les deux ainés prennent soin de Sadie, une jeune femme atteinte de tuberculose. Une très jolie jeune femme...

Harley Mann et sa famille vont donc s'intégrer à cette nouvelle vie...mais les élans du coeur sont parfois incontrolables et une suite d'évènements vont s'enchainer qui vont avoir des répercussions dramatiques sur la communauté toute entière et sur le destin de tous.

J'ai vraiment aimé ce livre. Outre le contexte historique et l'intérêt pour le mode de vie parfaitement retranscrit, le récit est très prenant et addictif.
L'écriture m'a également parue à la fois très fluide et travaillée. Les phrases sont bien tournées, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman.

• Aline a perdu son père dans un accident de voiture. Son meilleur ami Paul ayant également disparu à la même période, elle n'arrive pas à tourner la page. Quinze ans plus tard, un évènement inattendu survint, lançant alors Aline dans une aventure entremêlant les émotions et secrets.

• Je remercie Alexis Charles et Vérone Éditions pour l'envoie de ce roman. Il m'a permis de découvrir cette maison d'édition ainsi que son auteur et m'en faire une idée.

• Qu'est ce que j'en ai pensé ?
Alors déjà, je ne suis pas là pour débiner ce livre ni l'auteur, qu'on soit d'accord. J'essaierai donc d'être succincte, bref et concise. L'idée de base de l'histoire est plutôt cool. J'adore l'aspect contemporain mêlé à une enquête, à se poser des questions, le suspens. Ici, j'ai trouvé le début trop long au démarrage, je ne comprenais pas où l'histoire voulait me mener, il m'a manqué de marques temporelles. Je me suis un peu perdue à la lecture.

• L'autre point qui m'a un peu freiné, ce sont les tournures de phrases maladroites, manquant de subtilité par moment et certaines répétions qui ont fait perdre crédibilité aux personnages, que j'ai des fois trouvé un peu plats. On ne les connait pas assez finalement.


• En revanche, le twist final est inattendu et fait tout remettre en question. Belle surprise ! Ce n'est pas un mauvais roman mais il m'a manqué un quelque chose pour me faire chavirer !

Belle soirée ! 🌞

J'ai acheté ce livre quand j'en ai beaucoup entendu parler mais comment dire que je suis assez déçu à part deux rebondissements je n'ai pas accroché pourtant j'adore les thrillers psychologiques mais là je trouve le côté psychologique pas assez développé. Je mets tout de même 3 étoiles car le livre se lit très rapidement et que l'histoire reste intéressante mais si pour moi le côté psychologique n'est pas assez poussé. Je ne pense donc pas lire le tome 2