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Rester inclassable aussi longtemps est un grand exploit artistique. Cela s’appelle le style.
Lire la critique sur le site : LeFigaro

Lire la critique sur le site : LeDevoir

Cet agrégé de philosophie tente une critique radicale des séries audiovisuelles. Cela change, et c'est réjouissant, sinon tout à fait abouti.
Lire la critique sur le site : LeMonde

Joann Sfar, l'auteur du « Chat du rabbin » publie un livre d'enquête sur l'avenir des juifs dans lequel il tente de saisir le réel de la guerre et l'espoir d'une cohabitation possible, au travers de rencontres émouvantes dessinées en France et en Israël.
Lire la critique sur le site : LeSoir

Entre le Blitz, Peter Pan et Alice au pays des merveilles, l'auteur belge Olivier Grenson a bâti un roman graphique où la beauté de la poésie l'emporte sur l'horreur de la guerre.
Lire la critique sur le site : LeSoir

Contrairement au précédent, cet opus n’a pas de thème général. Il doit toutefois être pensé dans la continuité de ce que propose Lowreader depuis sa création et dans celle de Doggybags avant lui. Les trois BD jouissent de styles graphiques très variés bien qu’elles reprennent les standards du Label 619. Ce quatrième Lowreader revient aux sources, sans surprendre, et offre une expérience de lecture qui répond aux attentes d’un public averti.
Lire la critique sur le site : ActuaBD

Alors que le réchauffement climatique et la fragilisation du vivant menacent de plus en plus l'habitabilité de notre planète, comment éviter la catastrophe ? Dans ce roman graphique dense très complet des éléments de réponse et de réflexion sont déclinés avec humour et clarté.
Lire la critique sur le site : ActuaBD

De nombreux dessins font également froid dans le dos. La démence et l’instabilité des personnages, palpable à ces moments-là, donnent le sentiment d’être dans une histoire horrifique.
Lire la critique sur le site : ActuaBD

Une histoire moderne et sans drame sur les émotions et la féminité.
Lire la critique sur le site : Bedeo

Le trait simple et les couleurs sobres permettent une approche réaliste, tout en maintenant le lecteur à distance de sujets parfois très difficiles à appréhender. En résulte un traitement franc, sans imagination superflue ni voyeurisme, qui permet d’éviter carricature. Le choix de représenter les patients en « grisaille » brun-marron les met à part, et met peut-être aussi parfois trop mal à l’aise, symbolisant peut-être trop bien la fraction entre eux et la société du dehors.
Lire la critique sur le site : Bedeo

Le Chevalier aux épines : une trilogie fantasy très historique de Jean-Philippe Jaworski.
Lire la critique sur le site : RevueHistoria

« Madame Zola », « Madame Proust », « Le Dernier Amour de George Sand »… Évelyne Bloch-Dano est une formidable biographe, qui privilégie la narration romancée à l’essai aride. Elle parle des femmes, des femmes de l’ombre, celles des petits combats pugnaces.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse

Dans une remarquable biographie, Ludovic Marino et Louis Michaud tirent de l’oubli le génial vociférateur qui chérissait avant tout la liberté.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse

Roman, récit, journal d’enquête ? C’est un peu de chaque. Une exploration – certes, à partir de Franz Kafka, mais pas vraiment avec lui – de l’impermanence, de l’impossibilité d’être dans la mémoire des autres.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse

Phallers, une courte fable jubilatoire publiée aux éditions Points féminismes.
Lire la critique sur le site : LesInrocks

On est dans le vif du sujet alors que sur le plan climatique on est en train de vivre en direct une évolution que l’on attendait pas encore. Le Vivant à vif flirte avec le réquisitoire très détaillé, un ouvrage de référence teinté d’humour, heureusement sinon on déprime. Se dépêcher de préserver notre planète, pas un peu tard? Mais pas question de renoncer […]
Lire la critique sur le site : LigneClaire

Une excellente description sans emphase, ne parlons pas du dessin parfait très précis avec son lot de violence et de non respect volontaire de l’ennemi. La documentation est parfaite. Ce premier tome est sans reproche en tout point.
Lire la critique sur le site : LigneClaire

On aura rarement lu un livre aussi puissant, aussi juste sans jamais oublier d'être piquant pour décrire la difficulté à s'ouvrir aux autres et dire ce que l'on pense vraiment dans notre société qui essaie de nous convaincre que nous sommes dans l'ère de l'hyper-communication. Avec son trait simple et élégant, élaboré pour la presse, Will McPhail se met à nu et croque ses contemporains dans une fiction qui résonne d'une manière singulière avec notre quotidien.
Lire la critique sur le site : 9emeArt

Enfin, côté, édition, c'est du tout bon pour Mangetsu. A l'extérieur, la jaquette mat reprend sobrement l'illustration de la version japonaise d'origine, tout en se parent d'un logo-titre tout aussi sobre et soigné qui a été conçu par Julie Bureau. Et à l'intérieur, on trouve quatre jolies premières pages en couleurs sur papier glacé, un papier à la fois souple, bien opaque et agréable à manipuler, une très bonne qualité d'impression, un travail de lettrage et d'adaptation graphique convaincant de la part de Maïté Verjux, et une traduction très claire de Camille Velien.
Lire la critique sur le site : MangaNews

Ce tome aurait pu être parfait sans les premiers chapitres avec l'éternelle et incroyablement redondant déroulement de notre équipage sur une nouvelle île...mais la suite...absolument incroyable!!
Lire la critique sur le site : MangaNews