Le général Carrington est la vedette de ce tome.
A la Maison Blanche, c'est le passage de pouvoir de la valise nucléaire. En présence du président Wally Sheridan, le général inter-armes Carrigton, atteint par l'âge de la retraite, passe le relais et la valise nucléaire au général Wittaker.
Mais Ben Carrington prépare un gros coup, le jugement, pour révéler le machiavélisme du président Wally, révélé « Un » dans l'assassinat de son frère par XIII.
Carrigton kidnappe Wally, et rappelle d'urgence Jones et XIII du Costa Verde, où ils ont fait sauter un pont pour Maria. A cette occasion, XIII avait écouté l'histoire de Mullway concernant les trois montres d'argent….
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Toujours des rebondissements,
Toujours de l'action,
Toujours des allusions amoureuses entre Jones et XIII ; toujours de l'humour et de l'élégance dans les situations critiques 😊
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Cette fois ça y est nous revoici dans la conjuration des XX et l'on va boucler la boucle.
Le jugement médiatique est en marche à ma gauche, le général Carrington et à ma droite le président Sheridan fermé le banc bel album qui clôt la série (le treizième album est une sorte de manuel de la série.)....ou presque!!!
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Fin des aventures costa-verdiennes pour XIII et Jones, et retour mouvementé aux Etats-Unis où le général Carrington a kidnappé Wally Sheridan pour le faire passer en jugement !
Ce douzième tome de la série ne brille pas par sa vraisemblance, mais met néanmoins un terme avec panache à la conspiration des XX.
Après la parenthèse costa-verdienne, on est contents de retrouver le général Carrington et le colonel Amos, et beaucoup moins contents de retrouver la Mangouste, même si dans cet album le vrai méchant est plutôt Franck Giordino.
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J' ai suivi cet épisode, en noir et blanc, lors de sa pré-publication dans Libération en 1997.
Heureux été!
Carrington n' a pas trop apprécié la mort cérébrale de sa fille unique, et il va passer en jugement cette crapule de Wally Shéridan. Rien que çà.
Mais avant, il envoie Treize et Jones capturer la Mangouste (bien utile, les gilets pare-balle face à cette chère Irina qui ne boit pas d'eau...)
Après, on prend une base désaffectée et on juge Wally devant la télévision, pour que nul n'en ignore... Et on rajoute une bavure de barbouze, de la part de l'infect Giordino.
L' épisode est bien mené, mais la série est loin d'être terminée!
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Jones : Rien de tel qu'un bon petit orage pour affoler les radars.
XIII : Les estomacs aussi.
Jones : Cessez de rouspéter, je descends au ras de l'eau. Prêt !
XIII : Faut bien. Mais je connais des façons plus amusantes de gaspiller l'argent du contribuable.
Je m’énerve rarement, amiral Higgins. Mais je vous promets que si cette porte n’est pas ouverte dans dix secondes, vous vous retrouverez dès demain matin capitaine d’un ferry-boat sur le Potomac.
La seule personne autorisée à suivre les quatres hommes est l'officier du service secret qui porte, attachée à son poignet, la mallette noire. Rappelons que c'est cette mallette, en réalité un puissant émetteur codé, qui permet a tout moment au Président de déclencher la riposte nucléaire en cas d'agression ennemie.
Mais là, en cette unique occasion, cet officier devra s'en séparer. Car il n'a pas le droit de pénétrer dans la pièce ou les quatres dirigeants de la plus puissante nation du monde se transmettront, dans le secret le plus total, les clés d'une apocalypse dont nous espérons tous qu'elle n'aura jamais lieu.
Je m'énerve rarement, amiral Higgins. Mais je vous promets que si cette porte n'est pas ouverte dans dix secondes, vous vous retrouverez dès demain matin capitaine d'un ferry-boat sur le Potomac. Suis-je assez clair !?
Carrington :
Bonjour Major, bonjour Mac Lane. Ils n'ont pas traîné pour vous récupérer, hein ? Mais rassurez-vous, vous ne resterez pas longtemps à Washington.
Notre prochain rendez-vous sera LA OU VA L'INDIEN ...
Pas une aventure de Largo Winch qui n'évoque les problématiques de notre économie contemporaine. Et c'est assez compréhensible : ce jeune milliardaire aux aspirations humanistes règne sur un conglomérat tentaculaire. le groupe Winch est présent dans 129 pays et se compose d'un millier de sociétés indépendantes exerçant leurs activités dans onze secteurs allant du pétrole à la banque en passant par l'aéronautique, la grande distribution, les médias ou l'hôtellerie. La série de BD a réussi un exploit : rendre l'économie intéressante et ludique.
Pour parler de cette oeuvre créée par le scénariste Jean van Hamme et le dessinateur Philippe Francq, Tiphaine de Rocquigny reçoit deux invités :
Eric Giacometti, journaliste et romancier
Olivier Bossard, professeur de finance à l'école de commerce HEC
Visuel vignette : Largo Winch avec l'aimable autorisation des éditions Dupuis
#bd #finace #economie
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Découvrez les précédentes émissions ici https://www.youtube.com/playlist?list=PLKpTasoeXDrqogc4cP5KsCHIFIryY2f1h
ou sur le site https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/entendez-vous-l-eco
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