Je n'ai jamais lu de polar sous forme de BD, je n'ai pas non plus lu le premier tome de cette série, c'est une totale découverte pour moi.
Avec ce tome, nous suivons une enquête autour du suicide d'une jeune fille de 15 ans, c'est elle réellement suicidée ? Si c'est le cas, pour quelles raisons ? Nous voilà à suivre une enquête remplie de noirceurs...
Avec ce tome 2, nous suivons un duo d'enquêteurs qui se retrouve appelé pour le suicide d'une jeune fille. Ils vont très rapidement se rendre compte que cette jeune fille sans histoire se retrouve mêlée à une bien sombre affaire, à leur côté, nous suivons ainsi cette enquête, nous voyons les éléments se révéler au fur et à mesure, nous constatons à quel point les hommes peuvent être horribles.
Le format BD fait que l'histoire va vite, si au départ ce rythme m'a quelque peu déroutée, une fois habitué et entrée dans l'histoire, j'ai eu du mal à lâcher ce titre. Les pages se tournent très vite, je voulais tellement connaître le fin mot de cette histoire riche en rebondissements et en révélations que je l'ai lu d'une traite.
Ce titre fonctionne aussi bien également grâce au graphisme qui reflète à merveille l'ambiance sombre de l'histoire. Je ne suis pas habituée à ce type de graphisme, mais ici, ça fonctionne à merveille ! Dès le départ, nous plongeons immédiatement dans cette ambiance, cela rend l'histoire encore plus crédible et réaliste.
C'est un titre qui fait froid dans le dos, mais qui me donne envie de lire d'autres titres de cette série. Il ne me reste plus qu'à me procurer le tome 1 !
Je remercie Babelio et les éditions rue de sèvres pour cet envoi dans le cadre d'une masse critique.
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C'est une première pour moi la lecture d'une BD polar. Je tiens à remercier BABELIO et les éditions RUE DE SEVRES.
J'ai aimé la lecture de cette BD qui traite pourtant d'un sujet sordide qui est la pornographie chez les adolescents.
Irina est une jeune fille qui a été adopté par un couple qui croulant sous les dettes décident de droguer leur fille adoptive pour ensuite faire des photos à caractère pornographique.
L'enquête est menée d'une main de maitre par les inspecteurs TABARES et SOTILLO.
Je n'avais pas lu le premier tome de cette BD mais cela ne m'a pas gênée.
Les dessins sont assez sombres mais comme le sujet l'était aussi......
Elle se lit assez vite, mais j'ai pris tout de même le temps de regarder chaque dessin.
ce fut pour moi un agréable temps de lecture.
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Je suis un fan de Bande Dessinée.
C'est la première BD que je reçois grâce à l'événement Masse critique (Merci encore à toute l'équipe de Babelio et à la maison d'éditions "RUE DE SEVRES").
J'ai adoré !
Le thème de l'histoire est sombre, ainsi que le sont, les couleurs graphiques de ce livre. Me dérangeant légèrement au début, j'ai accepté les couleurs obscures, tristes s'accordant parfaitement à l'histoire.
L'histoire est bien cousue et m'a fait penser à un épisode TV d'une bonne série policière.
J'aime les coups de crayons définissant les dessins, parfois grossiers, des personnages.
Je conseille même à mettre ce livre dans les mains de tous les adolescents, adolescentes à fin de les informer des perversions humaines.
Le premier tome de ce même auteur est déjà commandé.
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Album coup de poing totalement justifié, Vautours souffre un peu de la volonté de dénonciation frontale de son récit. Le cri du cœur est évidemment compréhensible et louable ; dommage cependant qu’il se fasse au détriment de la nuance et témoigne d’une certaine simplicité ou naïveté dans sa construction dramatique. Cela dit, ce deuxième tome de Proies faciles est une lecture prenante qui devrait séduire les amateurs de thrillers contemporains.
Lire la critique sur le site : BDGest
Impossible de lâcher cet album une fois qu’on l’a en main. Du grand art, sombre à souhait et même dans les teintes et les couleurs. Un dessin parfait.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Jusqu’où l’humain est-il capable d’aller pour de l’argent ? Miguelanxo Prado nous en montre un exemple à travers cette nouvelle investigation menée par la zélée inspectrice Tabares et son docile adjoint Sotillo, concernant cette fois-ci une adolescente de 15 ans retrouvée morte dans son lit : un polar social froid et dur de 75 pages, concocté avec toute la maestria à laquelle ce grand auteur espagnol nous a déjà démontrée dans ces autres œuvres aussi mélancoliques que délirantes.
Lire la critique sur le site : BDZoom
"poussé par une pulsion incontrôlable"?
vous essayez de me faire croire que vous avez souffert de circonstances malheureuses et imprévisibles, comme si vous aviez simplement attrapé une mauvaise grippe ?
- Soyez honnête avec vous-mêmes Monsieur le Juge "incontrôlable" et "incontrôlée" ce n'est pas la même chose
Une équipe, c'est un épisode transitoire... Le changement fait du bien...
On invoque pas le nom de la déesse science à la légère !!!
A veces un libro puede marcar la diferencia para un autor, impulsándole de repente a una posición que nunca había conocido. Barney et la note bleue, para Loustal. Zaï Zaï Zaï, para Fabcaro. Lo mismo ocurrió con Miguelanxo Prado con Trazo de tiza (1993), Paco Roca con Arrugas (2007) y Kim con El arte de volar (2009).
Antes de hablar de estos tres libros, de cómo surgieron, de cómo fueron recibidos por el público y de lo que ocurrió a raíz de ellos, estos tres artistas echan primero la vista atrás y recuerdan el libro que les inspiró para empezar a hacer cómics. Paco Roca recuerda un álbum de Hergé, que le convirtió en lector y luego en dibujante de cómics. Kim, que es mayor, no leyó a Hergé cuando era joven, ya que aún no existían los álbumes de Tintín; para él fueron más importantes los autores españoles y americanos. En cuanto a Miguelanxo Prado, descubrió el cómic más tarde, y fueron Moebius, Sampayo y Bilal los autores más importantes para él como artista.
Moderada por Manuel Barrero, fundador de Tebeosfera, esta mesa redonda del Ciclo Español del XIII SoBD se celebró el domingo 3 de diciembre de 2023. Esta versión está en francés, con doblaje de David Rousseau.
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