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Le détective gay d’Israël, le célèbre Oded Hefer est de retour pour une nouvelle enquête qui va s’avérer plus compliqué que prévue.

A la base, il est embauché par Benjamin Direktor, un homme très puissant et influent du pays, afin de savoir pourquoi sa jeune protégée Carine Carmelli fait une dépression et refuse d’enregistrer son nouveau single. Aux yeux d’Oded, cela semble simple et futile, mais après cela, Direktor pourrait le faire devenir le détective des peoples et ce n’est pas négligeable.

Il n’a donc pas le temps de s’occuper d’une affaire parallèle que veux lui confier Mona à propos de la disparition inquiétante de son amie Gabriella, vue pour la dernière fois justement à une soirée de l’homme d’affaires.

Mais à force de creuser et d’avancer dans cette histoire complexe, il va se rendre compte qu’il y a peut-être un rapport entre les deux enquêtes, car il va y avoir beaucoup de disparitions autour de lui et cela ne semble plus être un hasard.

C’est la première fois pour moi que je fais connaissance avec ce personnage créé par Yonatan Sagiv, un enquêteur aussi haut en couleur que fragile qui est très attachant. C’est un peu un bulldozer qui a un vrai franc parler mais on sent qu’il y a un grand coeur là-dessous. Il va être confronté à de nombreuses impasses mais ne va jamais lâcher l’affaire car les familles et amis des disparus ont le droit d’avoir des réponses.

On ne va pas se mentir, j’ai trouvé, à mon goût, quelques longueurs, mais l’histoire avance tranquillement et est très bien ficelée car je n’ai jamais vu arriver la fin ni les rebondissements. Sous fond d’enquête policière et avec un peu d’humour, l’auteur en profite aussi pour parler de LGBTphobie et des conditions de vie des travailleurs clandestins dans le pays.

C’est prenant, surprenant, cela aborde des sujets d’actualité et il y a de l’humour, voir même un peu grinçant, tout ce qu’il faut pour que ce soit pour moi un bon livre et me donner envie de lire les enquêtes précédentes du héros.

On retrouve avec plaisir Lizzie Martin et l’inspecteur Ross.
On se retrouve dans une histoire qui aurait pu se passer de nos jours.
L’image qu’une famille peut renvoyer, le respect, la moralité….autant de nos notions dans ce livre.
Toujours un petit goût d’Agathe Christie qui est plaisant.
Bref une lecture agréable

Il s'agit d'une première nouvelle, déclinée en roman court, qui fait partie d'un plus grand tout. Les thèmes pour ce tome 1 tournent autour d'une vision et d'une quête du héros qui le pousse à chercher la vérité. C'est assez vague et précis à la fois pour susciter mon intérêt. Même si je ne suis pas une grande fan de nouvelles, j'étais ravie de découvrir cette histoire, entre rêve et réalité.

L'univers me plaît beaucoup. Un monde ravagé, post-apocalyptique comme je les aime. Un désert dans lequel chacun survit à sa manière, entre la justice des uns et les besoins des autres. L'ambiance est sombre avec la nuit éternelle à laquelle les survivants se sont accommodés, ce qui n'est plus un problème, seule la lumière vive devient une gêne. En tout cas, je trouve que le cadre est bien posé, assez pour nous immerger.

Le héros Léo est un adolescent aux rêves et cauchemars plus que prémonitoires. Il les suit parce que convaincu qu'ils sont réels et qu'il n'a rien d'autre à quoi se raccrocher. Il est confronté à ce monde dur et cruel, il préfère troquer sa faim contre des informations pour avancer, dans ce milieu où tout se monnaye. Je l'ai imaginé un peu comme un fantôme qui erre sans but au départ, à la poursuite d'une chimère.
J'ai bien adoré le personnage de Will aussi, très mystérieux et bien plus utile qu'on ne l'imagine. Le genre de personne qui m'intrigue juste par sa présence. Par contre, je suis un peu déçue de ne pas avoir eu plus de détails ou même de passages avec Julia. J'aurais aimé en savoir un peu plus sur elle.

Le style d'écriture de Paul est efficace, car il parvient à m'accrocher sans m'ennuyer et il le faut en si peu de pages.
Il a pris le risque de développer sa saga à la manière d'une série dont les épisodes sortent au compte-goutte. Ce n'est clairement pas le format que j'affectionne le plus, mais ce roman me donne envie de connaître la suite.

Pour moi, trop de choses restent en suspens et je reste un peu sur ma faim. Les personnages sont à peine effleurés, on en apprend peu sur eux finalement. C'est difficile de bien les développer, en même temps que l'univers, dans un format si court, donc j'espère que les prochains romans révèleront plus de secrets et ne me laisseront pas dans le flou.
Surtout que les révélations sont en béton ! Gros point fort de ce côté.

Après avoir lu "La vie en fuite" de John Boyne, j'avais envie de redécouvrir "Le garçon en pyjama rayé", dont j'avais seulement vu l'adaptation visuelle.

C'est le début de l'histoire de Bruno et Gretel. C'est d'ailleurs surtout l'histoire de Bruno qui nous intéresse ici. Bruno, petit garçon privilégié, insouciant, pas mal obnubilé par ses problèmes anodins, fils d'un commandant SS qui va se lier d'amitié avec Schmuel, un petit garçon enfermé dans un camp qui porte toute la misère du monde sur ses épaules et qui a dû grandir plus vite pour survivre.

J'adore la fluidité d'écriture de l'auteur. C'est sans chichis, ses personnages ne sont pas tout lisses, il amène les lecteurs à réfléchir sur la complexité humaine.
J'avais aimé ces aspects dans "La vie en fuite", plutôt destiné à un public adulte, et j'ai aimé les retrouver dans ce roman jeunesse historique.

Il y a beaucoup d'émotions dans ce texte de par le contexte, de par les violences, souvent suggérées mais qu'on retrouve expliquées parfois dans "La vie en fuite", et de par ses enfants qui peu à peu doivent grandir et perdre leurs illusions. Que ce soit Bruno, Schmuel ou même Gretel qu'on voit moins mais dont on aperçoit quelques aspects déjà.

C'est un beau roman à faire lire à partir de 9/10 ans, avec une vision de l'ambivalence humaine vraiment bien mise en avant.

Dans la famille "Visions du futur" ("La part merveilleuse" de Ruppert et Mulot, "Renaissance" de Fred Blanchard, Fred Duval et EMEM, "Agughia" de Hugues Micol, "Aiôn" de Ludovic Rio), je voudrais "Les Murailles Invisibles".

Les murailles invisibles sont apparues du jour au lendemain. Sauf qu’elles ne sont pas de simples murs qui séparent tel quartier, telle zone de telle autre, c’est pire que ça : le temps, dans chacun de ces districts, s’écoule différemment. Ainsi, Lino, autrefois simple vendeur banal qui se retrouve maintenant à se battre pour des boîtes de conserve dans un Paris déserté depuis 3 mois, fait la rencontre d’un groupe d’explorateur venu de la ville de Nostoc pour qui l’apocalypse a débuté il y a trois siècles, de grands changements se présentent devant lui. Que va-t-il faire, va-t-il réussir à s’adapter ?

Dans ce futur post-apocalyptique, on suit des personnages simples et bien définis (“Je ne me mettrai jamais en danger pour restaurer le monde” nous dit par exemple le personnage principal) qui évoluent dans un univers à la violence bien présente mais graphiquement minimaliste qui se remarque surtout par sa densité : plusieurs dizaines de zones, de personnages, des mentions de plusieurs factions comme les Diodons, la horde de Chet ou le Clan des 7 furies, et même l'invention d'une sorte de dialecte pour accentuer la séparation qui existe dans ce monde.

Alors c'est toujours aussi bas du front avec un côté très grandiloquent dans les dialogues un peu concon mais c'est vraiment fun. On a ici la fin de l'arc du casino avec une bonne grosse baston, quasiment la seule du tome d'ailleurs, le reste ça va être plein de scènes de bouffe (jamais vu autant de plats aussi détaillés dans un manga) et un petit voyage à Rome où la team va recruter un tueur de la mafia

Aujourd’hui parlons du premier tome de Drewid de @laurencechevallier_ édité en #autoédition .

J’ai mis du temps à me lancer dans la saga qui me faisiait de l'oeil, mais je me suis enfin lancée en alternant lecture audio et numérique quand ce dernier a été inclus dans l’abonnement @audible_fr.

Et je dois dire que j’ai passé un super moment. J’ai vraiment adoré ma lecture.

Encore une fois et sans surprise, @laurencechevallier_ nous livre une très jolie romance fantastique ou l'univers est très riche. Dès le début du roman on plonge dans l’histoire et sans rien comprendre on se retrouve a finir le livre sans comprendre ce qu’il s’est passé.

Dans ce premier tome, On rencontre Nova une jeune femme le jour de son mariage avec le fils d’un autre Clan. Cette dernière est déterminée à accomplir son devoir pour assurer la paix a son clan. Le demain de son mariage on retrouve Nova amnésique dans un monde qui n’est pas le sien.

Tristan quant à lui ne veut pas de ce mariage et est extrêmement dur avec son épouse lors de lors noces et quand il la retrouve. On pourrait presque le déteste mais petit à petit, on apprend à le connaitre et on ne peut que succomber pour nos héros.

J’ai vraiment adoré la plume de l’auteure, l’interprétation des narrateurs, les personnages et l’univers. Je peux d’ores et déjà vous dire que je vais écouter le tome 2 en audio et je ne peux que vous invitez à découvrir l’univers de Drewid et surtout la plume de l’auteure qui quel que soit son style nous fait voyager dans ses univers à chaque fois.

Et vous l’avez-vous lu ?
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Un roman de Aki Shimazaki est un toujours un petit évènement : c'est déjà un bel objet en soi,mais c'est surtout l'assurance d'un moment hors du temps,tant sa prose à la fois simple et précise nous transporte dans un univers ouvrant des voies multiples grâce aux liens qui le composent,tel un kaléidoscope aux reflets changeants.Un condensé éclairant qui parle cette fois d'une adolescente qui se cherche,"une clochette sans battant" qui représente le futur de cette famille attachante. Cette saga peut se lire dans le désordre mais " Urushi" laque japonaise tirée d'un arbre qui constitue un art d'excellence au Japon est particulièrement poétique,comme un conte initiatique à la sagesse réconfortante.

Je remercie vivement Babelio et les éditions Actes Sud pour cet envoi !

Pas facile de se retrouver dans la foisonnante production littéraire des siècles passés, le propre d’un ouvrage oublié étant d’être oublié justement. On va un peu hasard. Et on a parfois le sentiment d’être submergé par la quantité d’œuvres qui sont passées à la trappe pour des raisons qui n’ont souvent strictement rien à voir avec leurs qualités intrinsèques. D’autant que, dans ce domaine-là comme dans d’autres, les préjugés du moment se veulent souvent certitudes définitives.

Avec cette « forêt cachée », Éric Dussert tente de baliser des sentiers pour rendre la randonnée plus facile. Il ne s’agit toutefois ni d’un ouvrage exhaustif (il existe des centaines, voire des milliers, d’autres œuvres qui n’y sont pas répertoriées) ni d’une sorte de Panthéon de l’oubli. L’auteur lui-même admet que ses choix ont sans doute parfois relevé de l’arbitraire. Comment pourrait-il en être autrement? On va néanmoins de découverte en découverte. Et comme chaque auteur est présenté de façon extrêmement complète, à chacun de faire son choix selon ses goûts et sa personnalité propre.

Une fois qu’il a eu mis le point final à sa « forêt », Éric Dussert s’est rendu compte qu'il avait été misogyne sans le vouloir. Sur 156 écrivains présentés, il n’avait retenu que 17 femmes. Un oubli qu’il a aussitôt voulu réparer et qui nous a valu: « Cachées par la forêt: 138 femmes de lettres oubliées ».

Je suis un peu mitigée après la lecture des Chasseurs de prophéties de Geoffrey Legrand. Publié aux éditions Le Héron D’argent, ce roman repose sur une bonne histoire. Telmozan décide pour le compte de ses clients de réaliser les diverses prophéties. Il a donc besoin pour cela d’une femme. Il croise la route d’une esclave qui correspond parfaitement à la prophétie des Mille Ans. 🪄

Le roman montre combien nous pouvons être crédules face à certaines prophéties. Une phrase résume parfaitement le concept du livre : « la religion est un outil de pouvoir ». Si l’histoire est intéressante, c’est plutôt l’écriture et les personnages qui n’ont pas réussi à m’embarquer. 😭

Le vocabulaire est peut-être trop strict et la prophétie se réalise rapidement, j’ai donc trouvé le roman trop long. Je vous conseille tout de même de lire Les Chasseurs de Prophéties, vous pourriez être emballé notamment par les thèmes abordés. 🤝

Petite note pour le visuel, le relié que j’ai acheté aux Imaginales est vraiment très beau. 😍

Accrochez vos ceintures, vous allez être embarqués dans une aventure complètement folle à travers les États-unis avec cette BD de Morgan Navarro.

En 2023, il décide de partir sur les traces du journaliste, auteur et reporter Hunter S. Thompson décédé en 2005 afin de faire un reportage sur lui. Si le nom vous parle un peu, c’est parce qu’il est l’inventeur du gonzo-journalisme et surtout l’auteur de Las Vegas Parano adapté au cinéma ensuite.

Embarquant avec lui son ami Jack Souvant, ils préparent un long voyage et des rencontres aussi variées que la veuve de Thompson, Terry Gilliam ou encore Johnny Depp, ami du défunt et acteur du film.

Ecrit donc à la manière gonzo, à savoir un journalisme embarqué raconté à la première personne, cette BD est totalement déjantée, très vive grâce au découpage original des cases et planante (alcool et drogue sont très présents, BD à ne pas mettre entre toutes les mains). Cela permet, en plus de rire et de faire un road-trip en restant dans son canapé, d’en apprendre plus sur Hunter S. Thompson à la vie très riche.

Et en plus on a à la fin un journal de bord de l’auteur en bonus ce qui est bien sympathique.

Alamo meet Braveheart. Shin et le roi se retrouve dans une petite forteresse et va devoir tenir un siège face à 30000 hommes. C'est plus qu'efficace avec une nouvelle fois une grosse part de stratégie et du bon gros bourrinage made in Shin, qui va perdre ici un de ses capitaines et ça faisait un moment que c'était pas arrivé. Une nouvelle fois c'est épique au possible et je suis toujours aussi ébahi par la gestion des combats de nombres de l'auteur.

J'ai beaucoup aimé cette bande dessinée qui reprend le roman du même nom.
Les nuances de couleurs jaune/marrons nous plongent dans l'atmosphère de cette histoire avec ses meurtres glaçants.

J'ai apprécié cette histoire raconté chronologiquement derrière l'œil du protagoniste, mêlant l'histoire de sa vie et l'enquête qui vient au second plan.

On passe un bon moment, c’est à mon sens un vrai page-turner, qui peut, cependant, souffrir de quelques longueurs. Une plume agréable et une fin stupéfiante raviront les fans de thrillers et de romans d’horreur.

https://mellecupofteabouquine.wordpress.com/2024/06/06/chronique-corps-manquants-de-colleen-mccullough/
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Aujourd’hui parlons de demolition Girl de @auteure_vanessa_degardin édité chez @black_ink_editions. En plus j’ai eu la chance de la rencontré et de faire dédicacer mon livre lors des Black award. C’était une très belle rencontre pétillante.

J’avais déjà découvert la plume de l’auteure dans nos préjugés en début d’année que j’avais adoré et dans Tékoa il n'y a pas longtemps. C’est donc avec plaisir que je replonge dans une nouvelle lecture avec sa plume, dans démolition girl.

Dans son nouveau roman, nous faisons la rencontre de Lenie, une jeune femme à la tête d’une société de démolition. Nous faisons face à une jeune femme qui a beaucoup de caractère et pour évolue dans un milieu d’homme et doit faire face à des remarques sexistes à longueur de temps. Malheureusement, pour elle, les chantiers qu’elle va acquérir vont être jonché de cadavre d’hommes qu’elle connaissait.

Et ce n’est que le charmant Exton qui va mener l’enquête enquête pour comprendre d’où viennent ses cadavres.

L’auteur nous entraînent dans une enquête palpitante, avec une romance clairement interdite entre un policier et son suspect numéro un. Une plume additive, une relation interdite et une enquête qui nous tient en haleine
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Sylvain Fanet dresse un portrait en 2 chapitres de Philipp Glass.
Ce livre est un excellent complément à l'autobiographie Paroles sans musique.
On y est plongé dans le monde musical du compositeur américain.
On rencombre les artistes qu'il a rencontrés, qu'ils l'ont inspiré, ou qui ont été inspirés par Glass. Des artistes aussi différents que Ravi Shankar, David Bowie, Dépêche Mode...

Je dois avouer que ce livre m'a souvent fait rire. En particulier, les délires sur le petit Poucet sont très drôles. Mais il faut reconnaitre que, malgré le talent de Jean Yanne pour l'absurde et le grotesque, au bout d'un moment, le système choisi ayant tendance à se répéter sur les mêmes modalités, on finit par s'ennuyer un peu.

Frontière Numérique, aux partisans de la SF, c'est de la vibe Code Lyoko si vous connaissez, et si vous ne connaissez pas, on peut citer "Le jeu du Maître" de James Dashner qui m'y a fait penser. Personnellement, j'adore la SF et j'en lis assez peu, donc ça m'a fait du bien de lire un roman de ce genre !
Le style de Morgane est très fluide et agréable à lire. Je me suis laissée emporter par les personnages qui boivent souvent du lait à la banane (je ne connaissais pas, mais le jus de banane est excellent). J'ai eu un peu plus de mal avec l'arrivée de Jae mais son évolution est top, je l'ai trouvé très touchant. Petite préférence pour Mika et Yuu.
L'histoire est pleine d'action, les personnages tentent d'arrêter leur ennemi numérique KRONOS. Les thématiques telles que le handicap et l'asexualité, sont très bien abordées. Le reste, comme le found family, la découverte de soi et des autres, se réfèrent au Young Adult, genre que je lis principalement, et qui m'a très satisfait ici. L'univers cyberpunk à la japonaise est bien retranscrit, bien que j'aurais peut-être aimé découvrir davantage de décors haha. La fin de l'histoire est belle, on a envie de rester aux côtés de cette bande d'amis, et que cela ne s'arrête jamais.
Et surtout : le livre est magnifique, c'est un très bel objet livre dont j'ai eu la chance d'avoir le jaspage rose. Je recommande !

Pour ma part ma lecture commençait très bien ! Ça partait au moins sur un 5 étoiles voir un coup de cœur ! Mais malheureusement j’ai vite déchanté… plus le temps passe plus le personnage de Rachel est insupportable et il n’y a que des scènes de sexe… (quasiment tout les chapitres voir toutes les pages… ils règle tout comme ça… ) le seul point positif de cette lecture est le couple Jack/Caleb que j’aurais préférée découvrir en dehors de leur relation avec Rachel ! une grosse déception ! J’ai quand même hâte de pouvoir lire le tome 2 qui je pense me plaira beaucoup plus ! La plume de l’auteur est quand même très sympa à lire !

Mouais... Je n'ai pas du tout été convaincu par ce petit diptyque, pour le coup. L'histoire est simple et on y retrouve la pâte de Mashima (campée pour son œuvre d'après - Fairy Tale), mais je ne sais pas... Je pense que ça n'a juste pas été un coup gagnant pour moi. Je pense que si l'histoire avait été plus distillée, plus longue et avec moins de combats répétés, cela aurait été mieux. {12}