AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Olivier Bal (377)


On n'est personne quand on est seul . On rabougrit , on s'assèche .On n'existe qu'avec les autres .
Commenter  J’apprécie          130
L'homme n'a jamais été aussi connecté au monde et pourtant aussi impuissant, aussi isolé, aussi anesthésié. La religion a laissé la place à la politique, la politique, aux grands groupes industriels, l'industrie à la haute finance. Il y aura toujours quelqu'un, quelque chose pour tenter d'avoir la mainmise. Le pouvoir évolue, change de visage, mais reste toujours aussi cruel et vorace
Commenter  J’apprécie          131
Si t'es raciste en Corse, c'est que t'es pas Corse.
Commenter  J’apprécie          120
On ne comprend ce que vaut la liberté qu’une fois qu’on l’a perdue.
Commenter  J’apprécie          112
Notre sort n'est jamais tracé à l'avance. On peut toujours sortir de cette large route, bien rassurante, que l'on foule depuis si longtemps. Emprunter des sentiers de traverse. Ceux que l'on se refuse à voir, ceux qui nous font peur. Ceux qui ne sont pas balisés, remplis d'herbes folles, de fleurs sauvages et de dangers, peut être. C'est en se perdant qu'on se trouve. On peut briser ces chaînes qui nous retiennent, qui nous entravent. On est libre, un peu, si on le veut bien.
Commenter  J’apprécie          110
Nous vivons au temps des loups. Chacun replié dans sa meute, son clan. On montre les crocs, on hurle face à cet autre qui incarne, croyons-nous, les pires maux. C'est eux contre nous. On s'aboie dessus, prêts à se dévorer la gueule. Dans cette société folle, qui va trop vite, qui court à sa perte, peut-être, on aimerait que nos problèmes aient une origine. Un mal commun. On rêve d'un coupable. Alors on fait confiance à ceux qui prétendent connaître, ceux qui pointent du doigt. Pourtant, c'est eux dont il faut se méfier, toujours. Les hurleurs, les aboyeurs... Les semeurs de haine.
Commenter  J’apprécie          100
Quand les montagnes auront résonné de tes rires, la terre aura bu ton sang, la mer noyé tes larmes, alors, seulement, tu pourras dire que t’es corse.,.
Commenter  J’apprécie          100
L'homme est vorace, il ne semble jamais pouvoir se rassasier de violence, de haine. Sa rage est sans fin, son appétit de domination inextinguible. C'est comme une tumeur, comme une maladie, qui ne cesse de revenir, de se répandre.
Commenter  J’apprécie          100
Il y a un truc que répétait souvent mon grand-père. Il disait : « Faut prendre ce qu'il y a de bon. Au pire, il y aura toujours les étoiles devant. »
Commenter  J’apprécie          100
Quand je tiens compagnie aux livres, je ne m’ennuie jamais. Un jour, Spencer m’a donné un exemplaire corné de Tom Sawyer, et m’a dit qu’ »il n’y a rien de plus triste qu’un livre qu’on oublie. Un bouquin, à chaque fois qu’on le lit, on lui redonne un peu de vie ».
Commenter  J’apprécie          100
La recherche, les avancées scientifiques ne les intéressent guère. Ce qu’ils cherchent, c’est le pouvoir qu’ils pourront en tirer.
Commenter  J’apprécie          100
Vous n’êtes qu’un maillon dans une immense machinerie. Et si un maillon faiblit, qu’il met en danger la machine elle-même, on le change. Point final.
Commenter  J’apprécie          100
Dans les tréfonds de l'âme humaine, il n'y a pas de monstre ni de démon aux dents aiguisées, il n'y a que des blessures qui ne cicatrisent jamais, des oreilles qui se bouchent parce qu'elles ont trop entendu crier, des souvenirs qui vous dévorent et vous rendent fou.
Commenter  J’apprécie          90
La peur est une maladie. La pire qui existe. Elle ne se soigne pas. Ne disparaît jamais vraiment. Elle reste là, tapie en nous , attendant de trouver un nouveau moyen de ressurgir.
Commenter  J’apprécie          90
- Vous savez, Jamal, ça ne sert à rien de trop regarder en arrière, d’essayer d’attraper le brouillard du passé. Ça fait plus de mal qu’autre chose, et je sais de quoi je parle...
Commenter  J’apprécie          90
Le monde est ce que tu en fais. Ce que tu veux bien y voir et y chercher.
Commenter  J’apprécie          90
Dans les familles corses, il y a toujours un voyou , un flic et un homme politique,
Commenter  J’apprécie          80
Un "Éveillé" ? Mais qu'est-ce qu'il peut bien vouloir dire?
Commenter  J’apprécie          80
Nous sommes des pionniers, des aventuriers d’un genre nouveau. Le rêve, c’est la dernière frontière. L’homme a conquis la mer, la terre, l’espace… et maintenant, enfin, il conquiert son propre esprit. Il lui aura fallu des milliers d’années pour comprendre que les plus grands mystères ne se cachaient pas dans les profondeurs des océans, ou aux confins de l’univers mais bien au cœur de son être.
Commenter  J’apprécie          80
« Mais sache une chose… Tu vas connaître mille morts. Je veux que tu souffres à l’infini. Je veux qu’à travers ce que je t’infligerai, cette haine que j’ai en moi, cette douleur que j’ai en moi, cette douleur s’efface. Je veux que tu paies pour ce que tu nous as fait. Et je veux t’assurer que tu vas payer »
Commenter  J’apprécie          80



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Olivier Bal Voir plus

Quiz Voir plus

La forêt des disparus - Olivier Bal

Shérif de Redwoods ?

Howard Hale
Paul Green
Gerry Mackenzie

10 questions
14 lecteurs ont répondu
Thème : La forêt des disparus de Olivier BalCréer un quiz sur cet auteur

{* *}