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4,34

sur 2253 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Après avoir lu la quadrilogie Les Fragmentés où la question de l'immortalité via le commerce des organes était abordée, Neal Shusterman pousse ici les limites avec cette nouvelle série : La Faucheuse.


Dans un futur lointain, la Terre est devenue une planète tranquille et ou il fait bon vivre. Plus de famine, de misère, de chômage, de guerre, de gouvernement, de religion et par-dessus tout, plus de maladie, de vieillesse (avec la possibilité de rajeunir en passant le « cap ») et plus de mort. Tout cela grâce au Thunderhead, une intelligence artificielle dirigeant tout via un réseau en cloud où la connaissance accumulée a élaboré cette société idyllique. La population terrestre a donc atteint l'immortalité, mais justement, comme partout, il y a un revers à tout. La mort n'existant plus le Thunderhead a donc décidé de se substituer à la nature pour équilibrer un peu la démographie en créant la Communauté des Faucheurs. Ces êtres ont le droit et le devoir de tuer un certain nombre de personnes par an et par faucheurs.
Dans ce contexte, Maître Farraday, un faucheur expérimenté décide de prendre deux apprentis afin de leur enseigner le métier : Cytra et Rowan. Une amitié amoureuse naît rapidement entre ces deux-là… Malheureusement, pour eux, Maître Farraday n'est pas apprécié par une partie de la communauté des Faucheurs qui sombre dans la corruption (désir de suppression des quotas de personnes à tuer, désir d'enrichissement, de pouvoir…) et ses deux apprentis vont se retrouver au milieu de tout cela avec la perspective de tuer l'autre…


Neal Shusterman semble faire une fixation sur la mort avec cette nouvelle série. Après les Fragmentés où les hommes cherchaient à atteindre l'immortalité via la greffe d'organe, voici une société où la mort n'existe plus. Ce premier tome est plutôt bon avec une histoire passionnante et accrocheuse. L'auteur nous donne ici une vision d'une société parfaite qui justement petit à petit sombre dans la décadence : les faucheurs commencent à prendre plaisir de tuer et se sentent supérieur à la population, les hommes n'ont plus aucune notion du passé puisque leur vie est ad vitam aeternam prolongée et dépendante entièrement des faucheurs. Même le choix de vivre ou de mourir n'appartient plus à l'homme puisque le suicide entraîne automatiquement une résurrection.


Une société qui semble parfaite et qui pourtant semble rongée de l'intérieur. La mort est perçue comme un amusement sans conséquence ; le comportement des faucheurs dévie de son rôle premier (régulateur de la population) pour sombrer dans des massacres et une soif de pouvoir. Ce livre démontre parfaitement que l'homme est un danger pour lui-même.


Un roman astucieusement bien pensé puisque le livre se termine d'une manière ouverte donnant donc le choix au lecteur soit de poursuivre la série, soit d'arrêter là l'aventure.


Une nouvelle série prometteuse que je déconseille cependant aux très jeunes adolescents. En effet, de nombreuses scènes de massacres avec Maître Goddard et ses sbires pourraient choquer.
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Je vous présente un ouvrage qui a complètement changé mes habitudes de lecture.
La couverture m'avait attirée lors de mon achat.

Un monde du futur.
Des humains devenus immortels grâce aux nanites.
Mais une population grandissante qu'il faut, toutefois, réguler.
Ces régulateurs, ces faucheurs, ne doivent y prendre aucun plaisir, il ne s'agit pas de meurtre.
Mais tant que cette tâche dépendra de l'homme, le risque existera.

J'ai pris beaucoup de plaisir avec cette lecture. À ma connaissance, il existe deux suites que je vais m'empresser d'acheter (d'occasion car les brochés 💸💸💸)

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« Bonjour les Babélionautes ! Aujourd'hui, je vais vous parler d'un roman vieil ado* intitulé La Faucheuse et signé Neal Shusterman.

-Elle est ringarde, cette couv' !

-Oui, la typo du titre est un peu lourde, le jeu sur les couleurs peu subtil… et puis finalement, elle n'est pas si mal. Elle résume bien le roman. L'illustration expose en effet des symboles très connus : la capuche, la faux, le rouge comme le sang, les caractères massifs, sans fioritures, lourds comme la tâche de la mort donnent un côté à la fois pesant et m'as-tu-vu à l'ensemble… et pourtant, elle contient une petite subtilité : le deuxième visage. Elle illustre très bien le roman sur de nombreux points.

-Hein ? Où ça, un deuxième visage ?

-Je te laisse chercher, pendant ce temps, je résume.

Or donc, dans le futur, nous avons vaincu la vieillesse et toutes les maladies. Les ressources, la vie en général sont gérés par le Thunderhead, le descendant d'Internet, entité informatique bienveillante. Hélas, qui dit immortalité dit également problème de régulation de population : les Faucheurs sont donc créés pour remplacer la mort mise au chômage. Citra et Rowan, deux adolescents, vont suivre le dur apprentissage du métier.

-Nan mais, il n'y a qu'un seul visage, Déidamie.

-Cherche mieux.

Le roman alterne les points de vue des différents personnages, non seulement ceux des apprentis, mais aussi ceux des Faucheurs : l'exercice est réalisé de façon efficace. Ils possèdent tous leur propre voix. Hélas, je déplore ici ou là quelques clichés déplaisants et je n'ai guère apprécié la cohabitation Rowan/Citra.



-Et si je prenais le livre à l'envers ?

-Ah peut-être, essaie.

La profondeur de l'intrigue que je mentionne plus haut est contrebalancée par un style simple et sobre (mais pourquoi diable les « moins de » et « plus de » ne sont jamais élidés ? la langue française honnit les hiatus). Point d'envolées lyriques : de l'efficacité avant tout.

Cette sobriété ne m'a pas gênée, elle fonctionne bien, cependant, attention au revers du double tranchant : certains dialogues ne reflètent pas à mon sens les caractères des personnages. Toutefois, ces ratés restent peu nombreux au regard de l'oeuvre.

-A l'envers, je ne vois rien !

-Reprends-le à l'endroit, alors.

Il m'a semblé quelque peu étrange que, dans ce monde où la douleur n'existe plus, les Faucheurs soient libres de l'infliger à leur guise. Cela ne me paraît guère cohérent avec le développement de l'humanité tel qu'il est décrit dans le texte.

Hormis ces réserves, il reste une histoire palpitante, pleine de suspense et de drames, ainsi que de Terribles Secrets, l'un de mes ingrédients préférés. Les personnages de Maître Farraday et de Dame Curie possèdent une riche vie intérieure et m'ont fascinée tout le long de la lecture. Et le journal de Rowan forme un bel exercice de littérature ! Je me suis bien amusée à le lire entre les lignes.

Le tout forme donc un ensemble à la fois riche d'émotions et de réflexions ; l'histoire pose d'intéressantes questions sur la mort et la façon dont nous menons nos vies : quel sens ont-elles si elles ne s'achèvent pas ? Comment assumer la fonction de Faucheur ? Est-il juste de se substituer à la mort ?

-Nan. Rien à faire, j'trouve pas.

-Là.

-Hun?... Ah mais... mais oui !

-Et vous, voyez-vous le deuxième visage ? Si oui, ne dites pas où il se trouve pour ne pas spoiler ceux qui veulent chercher. »

*Jeune adulte.
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Imaginez : un futur dans lequel des progrès scientifiques permettraient non seulement de se passer de gouvernement (l'intelligence artificielle du Thunderhead surpasse désormais largement les capacités humaines), mais aussi de vaincre la mort. À l'ère de la post-mortalité, les humains n'ont donc à craindre ni la pauvreté, ni la faim, ni la guerre, ni le trépas. Pas mal ! Mais un tel monde peut-il être utopique ? Si vous réfléchissez cinq minutes, vous identifierez facilement l'écueil le plus évident : les humains ne cassant plus leur pipe, ils sont de plus en plus nombreux. Pour contenir la population, une caste de « faucheurs » est chargée d'exécuter des personnes choisies au hasard. Attention, n'allez pas y voir un meurtre : on préfère d'ailleurs parler de « glanage » pour désigner cet acte nécessaire et vertueux, voire sacré. Engagés comme apprentis-faucheurs, Citra et Rowan savent que le parcours sera semé d'embûches : les deux adolescents se débattent avec des dilemmes et des épreuves terribles – et surtout, ils comprennent rapidement que le système des faucheurs est loin d'être parfait…

Ce livre a été un coup de coeur pour mon fils aîné qui n'a fait qu'une bouchée de ses 580 pages et l'a même choisi ce mois-ci comme lecture à présenter devant sa classe. Comme lui, je me suis laissée emporter par cette intrigue efficace enchaînant sans aucun temps mort rebondissements et révélations. La tension vient à la fois de l'évolution du duo de protagonistes et de la découverte d'un univers fascinant et travaillé, plein de mystères et de surprises. Pour ma part (c'est sans doute mon point de vue particulier de chercheuse en science politique), j'ai été intéressée par la façon dont le roman évoque la corruption et la difficulté de concevoir des institutions et des règles du jeu qui prémunissent efficacement contre les dérives.

C'est avant tout l'expérience de pensée au fondement du roman qui fait son originalité. On prend conscience en lisant ces pages de tout ce que l'immortalité viendrait bouleverser : l'éducation serait beaucoup moins cruciale puisque chacun aurait une infinité de temps pour accumuler connaissances et expérience ; les arbres généalogiques seraient entremêlés, parents et grands-parents pouvant paraître plus jeunes que leurs descendants ; l'art et la littérature, qui ne seraient plus nourris de préoccupations existentielles, pourraient devenir fades ; les religions finiraient peut-être pas devenir obsolètes. Et fondamentalement, quel peut être le sens de la vie si elle n'a pas de fin ? Ces questions sont explorées avec intelligence, notamment en entrecoupant les chapitres avec des extraits de journaux de faucheurs nous laissant entrevoir leurs ressentis et leurs dilemmes.

Ainsi, ce roman entre utopie et dystopie est plus profond que la plume assez « droit au but » et le côté manichéen de certains personnages ne pourraient le faire penser. Un premier tome divertissant et stimulant sur un sujet inattendu, nous lirons la suite !

Conclusion en musique avec un extrait de la chanson "Oncle Archibald" de Georges Brassens :
« Oncle Archibald, coquin de sort!
Fit, de Sa Majesté la Mort
La rencontre, la rencontre
Telle une femme de petite vertu
Elle arpentait le trottoir du
Cimetière
Aguichant les hommes en troussant
Un peu plus haut qu'il n'est décent
Son suaire, son suaire »
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
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Vraiment intriguée par cette histoire de faucheuse.

Le moindre que l'on puisse dire c'est qu'elle est très originale.

Dystopie d'un genre nouveau. Ici pas de peuple en souffrance, ni de fin de monde, de lutte pour survivre. Rien de tout cela. Bien au contraire.

Midmamérique. Milieu du III ème millénaire. Il fait bon y vivre... longtemps voir éternellement. La maladie a été éradiquée. Les ressources partagées. Plus de violence ni de corruption. Plus de souci. Le thunderhead intelligence artificielle, gère tout.
Vous pouvez même rajeunir en passant le cap. Si vous avez un accident on vous ressuscite dans un centre. Un petit bobo? Vos nanites s'en occupent. Pareil. Plus de régime. Votre corps gère tout.

Si l'on ne meurt plus, se pose alors la question du surpeuplement. Là , c'est le job des faucheurs. Des professionnels qui sont chargés de glaner (tuer) un certain nombre de personnes.
On va suivre le parcours de Citra et de Rowan deux jeunes gens devenus apprentis faucheurs auprès de maître Farraday.

Une histoire vraiment intéressante. Se posent beaucoup de questions d'éthique car la frontière entre faucheur et tueur n'est pas large.

Je n'ai pas eu le coup de coeur car j'ai trouvé quelques longueurs et un manque de rythme. Par contre, j'ai vraiment aimé les questions d'éthique et la fin était superbe et m'a donné envie de découvrir la suite.

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C'est le thème de ce livre qui m'a attirée. J'ai trouvé que l'idée était novatrice mais j'avais un peu peur du traitement qui allait en être fait, surtout dans un livre "jeunesse".
Le monde créé par l'auteur est original. Avec cette pensée universelle qui voit tout, mais qui ne peut pas intervenir dans le clan des faucheurs. Ces fameux faucheurs qui sont là pour remplacer la mort qui a été éradiquée de façon définitive.
Finalement, c'est un livre qui soulève de nombreuses questions lorsqu'il aborde l'éthique des faucheurs. Les personnages sont très manichéens mais finalement, cela ne m'a pas trop dérangée.
Bref, vous l'aurez compris, je me suis laissée emporter par cette lecture. Je me suis attachée à notre couple de héros et j'avoue que j'ai très envie de savoir la suite car la fin est à la fois satisfaisante et amère. Eh oui, c'est possible !
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J'ai vu beaucoup de très bon avis sur ce livre, je me suis donc lancé dans cette lecture sans à priori.

Au début j'ai été un petite peu surprise par celle-ci qui pour le coup change vraiment de la dystopie classique pour adolescent (ce qui est un vrai plus).

Le sujet de la mort abordé ici également est vraiment très original nous allons plus particulièrement suivre Citra qui rencontre Maitre Farraday qui sonne chez sa famille afin de dîner chez eux.

Et Rowan qui va rencontre Maitre Farraday à son lycée.

Maitre Farraday est un faucheur dont la mission est de tuer "glaner" un certains nombres d'humains par an, en effet il n'y a plus de mort naturelle et pour "réguler" la population il est nécessaire que ce corps de métier existe.


Maitre Farraday va choisir Rowan et Citra afin que ceux-ci deviennent apprentis faucheurs et nous suivrons leur apprentissage.

Celui-ci va être mouvementé mais le mieux et de ne pas continuer à vous en dire plus tant cette histoire se lit bien et d'une traite malgré le fait que cette lecture soit un pavé.

J'ai vraiment hâte de poursuivre avec le tome 2.

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Imaginez un monde où plus personne ne meurt… Les maladies n'existent plus, les crimes non plus.

Et si par le plus grand des malheurs, vous passiez sous les roues d'un trente tonnes, des ambudrones (les robots ambulanciers) vous enverront de suite en résurrection !

Comptez 4 jours si l'accident était grave.

Ben comment on va mourir, alors ?? Tout simplement grâce aux Faucheurs qui, sans l'aide d'une faux, vous glaneront et vous enverront, pour de bon, six pieds sous terre.

Aucune arme ou manière n'est prohibée pour vous glaner (tuer). On leur demande juste de respecter des quotas, de ne pas cibler des groupes particuliers, d'avoir de l'empathie et de ne pas vous faire souffrir.

Vous voulez savoir ? C'était jubilatoire cette lecture où la Mort n'existe plus, où des êtres supérieurs doivent la donner et où les gens, alors qu'ils ont accès au Thunderhead (sorte de Wiki puissance 1.000 avec une A.I), préfèrent regarder des hologrammes de chats. Tiens, on dirait notre société !

Les personnages sont bien traités, travaillés, ambigus, même si certains méchants sont vraiment des méchants et que rien ne pourra plaider en leur faveur.

Malgré ce petit manichéisme, j'ai apprécié que nos deux ados soient des jeunes pleins de perspicacités, de ruses, sachant jouer avec les règles et les retourner dans la figure de certains. Ils m'ont été sympathique tout de suite.

L'auteur nous dépeint une société qui a tout de la société parfaite : plus de guerres, plus de chômage, plus de maladies graves, l'immortalité (quasi) et pourtant, on dirait que sous le vernis de la perfection se dissimule quelques imperfections.

En effet, comment arriver à jouir pleinement de la vie quand la mort est quasi inexistante et que vous pouvez rajeunir si vous en avez marre de vos soixante ans ?

De plus, comment être sûr que certains Faucheurs ne prennent pas leur pied en donnant la mort et n'abusent pas de leurs prérogatives, façon petit tyran ?

Pas de temps mort dans ce roman qui ne conviendra peut-être pas au plus jeunes car certaines scènes de massacres sont assez violentes, du suspense, du mystère, de la compétition, un suicide suspect et une société de faucheurs gangrénée par l'envie de pouvoir de certains.

Un roman difficile à lâcher, une véritable tuerie au niveau du scénario que de ses personnages, ainsi que dans la structure et l'élaboration de son récit avec le poil à gratter qui parsème la description de la nouvelle société.

Un final super qui vous laisse devant deux choix : poursuivre l'aventure avec le tome 2 ou vous arrêter là.

Moi je continue, en espérant que le deuxième tome soit aussi brillant que le premier.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Pour un roman de science-fiction, j'ai trouvé le cadre très réaliste et la description des personnages également. J'ai beaucoup aimé le style de l'auteur qui permet une lecture légère/fluide. Il me semble que l'auteur s'est plutôt consacré à la psychologie des personnages de son roman qu'à l'intrigue. Ce qui m'a beaucoup plus. Il y a peu de rebondissement mais ceux présents sont suffisants pour nous donner l'envie de continuer. En règle générale, les dystopies ne font pas partie des livre que j'aime lire mais celle-ci je l'ai particulièrement appréciée.
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Original. Différent. Même audacieux !
Après avoir vu/lu les éloges à gogo sur cette série, je m'étais laissée tenter par cette couverture mystérieuse et ce titre... !! Je n'ai pas vraiment l'habitude de lire des dystopies SF donc j'ai reporté cette lecture de nombreuses fois alors qu'elle trônait sur ma pile.

Et finalement, j'ai vraiment dévoré ce tome. Je n'ai pas trouvé grand intérêt malheureusement sur les extraits des journaux de bord.. ça fait juste effet coupure sur le vrai objectif iiii. On parle de ces 4*? Ce n'est évidemment pas sur les extraits que ces étoiles sont portées ! C'est d'avoir créé un univers entier basé sur la Mort. le monde tel que nous le connaissons est l'âge de la Mortalité, tellement has-been. La mort n'existe plus, plus personne ne meurt en se jetant d'un immeuble, ni planté par un couteau, plus d'accident de la route : eh oui, on se retrouve post-mortem dans un centre de résurrection et c'est reparti pour un tour. Cet univers est plutôt gouverné par une intelligence artificielle Thunderhead et un comité de Faucheurs, ceux qui glanent des vies pour toujours. On suit ainsi deux jeunes apprentis Citra et Rowan, propulsés du jour au lendemain dans cette communauté, juste ou cruelle, ce sera à eux d'en faire la part des choses.

Intrigues, combats, valeurs, tout va se mélanger pour nous rendre la lecture dynamique et palpitante, la suite, la suite ! La fin de ce premier tome est chouette et donne envie d'aller se procurer le suivant. ;)
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