Dans une interview récente,
Salman Rushdie disait que pour découvrir son écriture, il ne fallait surtout pas commencer par
Les Versets sataniques.
Alors j'ai cherché ce que nous avions dans la bibliothèque où je bossais ce jour-là et j'ai trouvé
L'Enchanteresse de Florence.
C'est un pavé de 400 pages exactement, très dense, avec énormément de références historiques (on croise, entre autres, Vespucci, Machiavel, Savonarole), on voyage en Orient, en Occident et même dans le Novus Mundi, grâce à Mogor dell' Amore, un voyageur étranger, plein de mystère, bien décidé à raconter son histoire à l'empereur Akbar.
Embarquez avec lui sur les océans, dans les déserts, dans les rues de Florence et laissez faire la magie !