Carnets noirs

Carnets noirs est le second tome de « la trilogie Bill Hodges » dont le premier volet est Mr Mercedes que je n'ai pas encore lu !

Cela n'a absolument pas perturbé ma lecture de ce roman puisqu'il s'agit d'une intrigue différente de celle de "Mr Mercedes"

Tout commence par l'assassinat d'un écrivain talentueux par un de ses fans Morris Bellamy qui quitte le domicile du défunt avec le contenu de son coffre fort qui contenait de nombreux manuscrits et une belle somme d'argent. Morris cache son butin et peu de temps après commet un viol pour lequel il prendra perpette.

Trente ans plus tard, la malle est découverte par un gamin, Peter Saubers, dont la situation familiale et financière compliquée l'incite à subvenir aux besoins parentaux en utilisant l'argent puis des années plus tard quand il ne reste plus que les carnets de moleskine se renseigne sur l'auteur et le prix qu'il pourrait tirer de ses manuscrits.

Morris Bellamy en libération anticipée découvre le pot aux roses et pète un câble...

Voila grosso modo l'intrigue ! 15 jours après avoir fini ce roman je reste franchement déçue... King commence très bien, pose les personnages comme personne. le postulat de base est attrayant et puis d'un coup ça s'éternise, ça traîne en longueur, il en fait trop et ça se termine en cacahuète...

Je lis King depuis mes 13 ans...tous ces livres ne se valent pas et "carnets noirs" ne fait pas partie des meilleurs assurément...

Je suis allée au bout de la lecture mais il s'en est fallu de peu que je le repose très vite par ennui...
Lien : http://edea75.canalblog.com/..

Pour ce deuxième opus de la trilogie j'avoue que j'ai eu du mal à m'y plonger. Même si on retrouve quelques éléments de Mr Mercedes, l'histoire est longue à se mettre en place. Il faut attendre en gros la moitié du livre pour que ça s'emballe. Cette deuxième moitié est pour le coup menée tambour battant et j'ai lu la fin beaucoup plus vite que le début.
Je reste donc mi-figue mi-raisin sur ce roman mais je lirai tout de même le dernier tome...

Je n 'étais pas très emballée par cette lecture, je ne saurais dire pourquoi alors que je n'avais même pas lu le résumé , ni aucunes chroniques. Cependant je me suis laissée convaincre par mes binomettes de lecture de les suivre dans cette lecture commune qui répond au challenge : 1 mois /1 illustration thème sang et ou roman policier
J'ai mis un moment a comprendre que ce tome est le 2° volet d'une trilogie de Stephen King dont nous avions lu avec Pat le premier opus dans le cadre d'une autre LC et que je souhaitais alors poursuivre la découverte de cette saga
Dois je le dire tout de suite ?
Une véritable déception tout comme pour la lecture de Dome, je ne reconnais pas du tout le style de l'auteur. C'est terriblement ennuyeux et je me suis contrainte a ne pas abandonner
Nous suivons dans la première partie en alternance, une histoire qui se déroule sur plusieurs années D'un coté celle du voleur des carnets noirs et meurtrier et de l'autre 32 ans plus tard celle de la famille Saubers, une vie vécue à travers le regard de Peter enfant puis ado.
Nous plongeons dans la triste vie d'une famille , victime de la crise financière, une vie de galère très réaliste d'une majorité de la population , dans une Amérique loin de l' Amérique des strass et des paillettes.
Face à face à 32 ans d'écart avec les carnets noirs de l' écrivain le célèbre John Rothstein en trait d'union.
Dans cette partie , dans un style horriblement monotone pour un King encensé pendant des années , reconnu comme le plus grand maitre du suspens et de l'horreur , nous assistons à des débats purement philosophiques autour de romans, sur les relations lecteurs avec l'auteur, ses attentes, ses déceptions. Mais surtout la reprise du thème : l'obsession d'un fan comme dans Misery, si ce n'est que j'ai adoré Misery et que je ne trouve vraiment rien de comparable ici , rien qui ne me fasse vibrer.
Le sujet est certes intéressant je dois dire, à la fois sujet à débat, appréhension differente de chacun d'entre nous, du "c'est nul " au "j'adore ", à la projection possible sur les personnages, nos attentes, nos convictions et mille choses encore dont on pourrait parler
Je vois aussi message de S. King , sur son propre parcours litteraire et sur la reconnaissance notre importance, nous lecteurs, d'une certaine manière, il nous rend hommage.
Cependant , à mon gout, tout ceci perdure un bien trop long moment. Parce que quand je lis un thriller, outre que j'apprécie le travail sur l'approfondissement des personnages, la mise en place du contexte comme ici dans cette première partie, je dois bien le reconnaitre., j'attends tout autre chose. Et en premier lieu dus suspens et de l'action.
Enfin après être parvenue laborieusement à la deuxième partie, bienvenus dans le présent et dans la suite du tome 1 avec l'entrée en scène de nouveaux protagonistes
Nous retrouvons , enfin, donc les personnes du premier tome, Barb, Jerome, Holly et l'inspecteur a la retraite Bill Hodges et Mr Mercedes !
Pour tous ceux qui n'ont pas lu le premier tome, pas d'inquiétude, tout est en place et tient la route, cet opus peut se lire indépendamment du précédent.Pour tous les autres , on se souviendra peut être alors que Tina Saubers était deja présente dans le premier tome.
Malgré un léger changement de rythme, un peu plus de suspens et le plaisir de retrouver cette suite conformément à mes projets de départ après avoir tourné la dernière page de Mr Mercedes, la mayonnaise n'a vraiment pas pris.
Non , malgré un subtil changement de rythme et une dernière partie particulièrement bien construite, je reste avec un gout amer en bouche , la première partie étant trop longue et ennuyeuse. je veux bien admettre que le but était de mettre tout en ordre mais non
Pour autant, S.King , sait si prendre et titiller notre envie de lire le dernier volet, les dernières pages, la dernière rencontre entre Hodges et Mr Mercedes laisse entrevoir un troisième volet qui pourrait être palpitant. Mais le sera-t-il ?
Et bien à moins de le lire, mais il faut attendre encore, je ne saurais pas. A cette heure ma décision n'est pas encore prise. J'hésite encore du fait que j'avais quand même beaucoup aimé le précédent opus Mr Mercedes , et si le suivant devient centré sur Hodges et ce nouveau Mr Mercedes , ce pourrait être une agréable surpris
Lien : http://missneferlectures.ekl..

Ce livre est le deuxième Stephen King que je lis. J'avais adoré "L'outsider"! Dès les premières pages, j'étais plongée dans l'histoire et la plume de l'auteur m'avait tout de suite plu. Cependant, avec "Carnets noirs", je me suis beaucoup ennuyée et j'ai même hésité à abandonner ma lecture.

L'histoire aurait pu être entraînante et addictive, mais personnellement, elle ne m'a fait aucun effet... Il y a eu un peu de suspense à la fin, mais beaucoup trop tard.

Joe Rothstein est le reflet dans le miroir de Stephen King. Un écrivain de fiction qui s'arrête de publier. Après une trilogie qui le classe parmi les géants de la littérature.
King lui publie un livre tous les ans, voire plus. Lui qui est considéré avec un brin de condescendance par les tenants du Grand Roman Américain.
Joe Rothstein donc à la manière d'un Salinger qui s'ermita loin des fastes, mais que découvrit-on à la mort de Salinger ? Des écrits, des manuscrits, des feuillets. Parce que ne pas être publié n'empêche pas d'écrire. Et ça, le bad boy du livre de King le sait. Il veut la suite des aventures de Jimmy Gold, le héros emblématique de Joe Rothstein. Certains seraient peut-être prêts à tuer pour lire Holden Caulfield 20 ans plus tard.
A quoi bon ?
Je me tâte de mon côté pour découvrir la vieillesse d'Atticus Finch, héros emblématique de mon livre de chevet.
Mais Morris Bellamy est prêt à tuer pour beaucoup moins que ça.
CARNETS NOIRS est la suite de MR MERCEDES, excellent thriller avec un méchant d'anthologie. CARNETS NOIRS est dans la même veine avec son flic retraité, son duos d'adjoints touchants et le phrasé si particulier de King, populaire et précis.
CARNETS NOIRS est cependant moins bon que MR MERCEDES, moins haletant. D'une construction étonnante, le livre prends tout son temps pour installer le décors et ses protagonistes, Bill Hodges, n'apparaît ainsi qu'à la bonne moitié du bouquin.
Cette installation du climat, la description empathique des héros, cette façon bien à King de rendre immédiatement attachant ou repoussant ses avatars de papier, est la plus réussie. Une fois campé le décors, le tempo s'accélère pour clore en quelques heures. le dénouement grinçant donne malgré tout une sensation étrange de va vite.
Et l'on se dit que King vieillit, devient sentimental et épargne les innocents. L'était pas aussi miséricordieux dans SALEM. Ce n'est pas si désagréable tout compte fait.
CARNETS NOIRS reste un thriller de bonne facture et King arrive à nous passionner alors qu'il n'y a ni enquête, ni révélation. Il s'apparente plus à un entre deux, le tueur abject et immonde de MR MERCEDES n'en a pas fini avec Bill Hodges et la lutte finale promet d'être dantesque.
Et sous la patine du polar millimétré se devine un hommage sincère au pouvoir de la la littérature et à la nécessité de la plume. Ce besoin compulsif d'écrire, de raconter une histoire qui caractérise un écrivain. Mettre ces histoires en encre reliée est un méga bonus certes (qui souligne, trop souvent, une conjonction chanceuse ou les relations qu'il convient) mais ne définit pas en tant que tel l'écrivain.
En conclusion CARNETS NOIRS est un petit King dans la bibliographie touffue de Sa Majesté mais la modestie n'a jamais entravé le plaisir !
Lien : https://micmacbibliotheque.b..

L'histoire en deux temps reste appréciable mais trop linéaire. L'intrigue quant à elle, est cousue de fil blanc... A l'exception de quelques meurtres et de quelques rebondissement disséminés çà et là, il ne se passe pas grand chose. le King perdrait-il de sa superbe ?

ses bien mais ses pas mon style je les terminer j'ai bien aimer

Carnets noirs est le deuxième volet de la trilogie démarrée avec MrMercedes et qui se termine avec Fin de ronde qui vient de paraître.
Ici, King célèbre le pouvoir de l'écriture et des mots, leur incidence sur la vie des héros plus ou moins équilibrés comme on l'imagine sans mal ...
Carnets noirs ne fait pas partie de les King préférés (La peau sur les os, Docteur Sleep, ...) mais sa lecture est plaisante même si sans réelle surprise.

Grand fan de King, jai été relativement déçu par ce nouvel opus de la trilogie-to-be "Hodges".
King essaye d'adapter ses personnages à la société de l'information qu'il maîtrise lui même mal (enfin c'est déjà bien compte tenu de l'age du patron). du coup cela donne un florilège de personnages clichés, avec l'ado "geek" pouvant quasiment pirater n'importe quel système informatique avec une calculette.

Le scénario est plutôt intéressant, mais n'offre pas de rebondissements majeurs et l'auteur peine à créer la surprise.

Bref, je pense qu'on peut s'en passer et espérer que King retourne à son domaine de prédilection, le fantastique.

Bof. On reprend le début de Mr MERCEDES pour faire original, on y greffe une histoire plus que moyenne qui a des senteurs du "club des cinq" et on saupoudre (fortement) d'ennui un livre qui n'a rien de bien passionnant.