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Molly West tome 1 sur 2

Philippe Charlot (Autre)Xavier Fourquemin (Autre)
EAN : 9782749309408
48 pages
Vents d'Ouest (26/01/2022)
3.55/5   20 notes
Résumé :
Elle fait trembler le Far West.

Dans le sud des États-Unis, à la fin de la guerre de Sécession, l’arrivée d’une femme originaire des États du Nord surprend et dénote. Les manières raffinées et courtoises d’Isabelle Talbot s’accordent parfaitement avec sa mission d’enseignement mais font tache dans l’atmosphère rude et crasse des villages texans. Attention toutefois à celui qui confondrait ces bonnes manières avec de la naïveté ou de la niaiserie... Ca... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Molly West est une femme qui vient du Nord des Etats-Unis et qui va s'installer dans le Sud afin d'éduquer des enfants de texans peu après la fin de la guerre de Sécession. C'est vrai qu'il y aura du boulot ! Cela tombe bien car elle est bibliothécaire aussi élégante qu'instruite.

Mais bon, Molly cache derrière ses manières raffinées de lady une violence sourde et lourde liée à un passé traumatisant. Bref, c'est le diable en jupons comme l'indique le sous-titre de ce premier tome où l'on fait connaissance.

J'ai trouvé que c'était un peu surjoué et pas très crédible. Par ailleurs, il y a des scènes de lâcheté absolue qui ne m'ont pas trop plu sous des couverts de drôlerie. Je n'aime sans doute pas la justice expéditive. C'est un western violent qui ne fera pas dans la dentelle malgré un graphisme enfantin et assez avenant.

L'ensemble se défend plutôt bien. La lecture reste plutôt accrocheuse grâce à un découpage dynamique. Cela reste un album qui nous fait découvrir une belle héroïne à la personnalité assez forte mais on ignore encore ses réelles motivations même si on peut deviner une histoire de vengeance. A suivre si on a accroché.

⭐️⭐️⭐️étoiles
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Ça aide de penser à quelque chose qui met très en colère.
-
Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre, publié en 2022. le scénario est de Philippe Charlot, les dessins de Xavier Fourquemin, et la mise en couleurs a été réalisée par Chiara Zeppegno. Cette bande dessinée comporte quarante-six planches.

Quelques temps après la fin de la guerre de Sécession, au Texas, un cadavre a été pendu à un arbre. Un jeune garçon nu-pied court vers le corps ballant, et il s'escrime à essayer de lui enlever sa botte. Un cavalier passe tranquillement lui suggérant de lui laisser ses bottes : question de dignité. Un homme sans ses bottes, c'est plus un homme. Arti répond que justement, c'est plus un homme, c'est un bout de bidoche. Sur le perron d'une maison voisine, Isabelle Talbot lit le titre du livre que lui tend une femme âgée qui fume le cigare : La fiancée du cowboy, de Jon C. Prime. Elle répond ensuite à la question qui lui est posée : elle a pratiqué l'équitation pendant de nombreuses années. Elle jette un coup d'oeil rapide au garçon qui est parvenu à récupérer les bottes et qui les enfile. La vielle dame continue : on ne voit pas de trucs comme ça dans le nord, n'est-ce pas ? Elle explique : un jeune homme de la ville, il a mal choisi son camp pendant la guerre et a commis l'erreur de revenir ici un peu trop tôt. Les habitants ne l'enterrent pas tout de suite : ils en profitent un peu d'abord. C'est quand même un enfant du pays. Elle revient à l'entretien : Isabelle Talbot va faire l'affaire.

Le boulot : l'idée n'est pas de la dame âgée, mais du major Hood, un grand monsieur, son fils. Avec des hommes comme lui aux commandes, les texans ne seraient pas à la merci des états du nord. Les plantations ne manqueraient pas de main d'oeuvre, et les routes ne seraient pas encombrées de gens de couleur, livrés à eux-mêmes. Elle revient au travail à effectuer : le prédécesseur d'Isabelle mettait deux bonnes semaines, à elle il en faudra trois ou quatre. Celle d'avant était une idiote : elle s'est fait engrosser par un fermier. Il s'agit de convoyer et de livrer un chargement de livres à travers plusieurs villes et fermes, sans oublier Lajitas qui est la dernière étape. le major Hood y tient particulièrement. À la frontière mexicaine, ils n'ont pas souvent de visite, ce serait dommage de les en priver. Elle vérifie ensuite que la nouvelle est bien armée : c'est le cas, un petit pistolet dans un holster attaché à la cheville. de son côté, Arti a bien repéré la jeune femme : il a tout de suite su que cette femme tombait du ciel, un ange, et quand on croise un ange, on s'y attache. le lendemain, Isabelle Talbot est prête à partir, avec un cheval, et une carriole remplie de livres, tirée par un autre cheval. Avant de se mettre en route, elle donne une pièce à un afro-américain qui erre dans la rue. Il lui dit que le bâtiment qu'elle regarde, c'est l'ancienne banque, elle a brûlée il y a quelques années. Elle commence son voyage : dans ce milieu sauvage elle détonne par ses manières. le soir venu, elle s'arrête, enlève sa selle, détache et les chevaux et tire nerveusement sur une araignée. Elle découvre un passager clandestin : Arti, dans le grand coffre à livres.

Un dessin de couverture plutôt Aventure, avec un soupçon d'exagération qui évoque une publication pour la jeunesse, et des couleurs un chaude, très agréables à l'oeil. Une femme avec une carabine, un jeune garçon : voilà qui promet une aventure évoquant des héroïnes tout public, même si le texte de la quatrième de couverture (avec une petite erreur sur le verbe Dénoter, au lieu de Détonner) mentionne un passé rempli de souffrance. La première page confirme le plaisir de l'oeil pour les couleurs, avec une palette mettant à profit les possibilités de dégradés, mais aussi sachant rester dans des teintes limitées sans s'éparpiller, avec des effets d'ombrage étudiés. le langage corporel du jeune garçon s'avère un petit peu exagéré, ainsi que ses expressions de sa jeunesse, entre l'entrain normal de son âge et les conventions d'une bande dessinée discrètement humoristique. Dans le même temps, le récitatif semble comme en décalage. Il évoque les soldats morts pendant la guerre de sécession (1861-1865) et l'impossibilité d'un monde parfait même après la victoire des nordistes. L'activité du garçon est de dépouiller un cadavre pendu, ce qui renvoie à la fois à une justice expéditive et au dénuement de l'enfant. L'échange entre le garçon et le cavalier atteste d'une forme de cynisme de l'enfant qui semble avoir l'habitude de voir des cadavres et qui le qualifie de bidoche, et la réponse du cavalier signifie que ce dernier a abandonné ses principes de dignité, comme s'ils ne pouvaient plus s'appliquer dans la réalité de cette époque.

De fait, le récit continue dans ce dosage où une composante peut l'emporter sur l'autre le temps d'une scène, et l'inverse à la suivante. Il ne faut pas beaucoup de temps au lecteur pour s'accommoder de cette alliance inattendue entre narration visuelle tout public, agréable à l'oeil, et ce propos parfois cruel, parfois immoral. le premier cartouche de texte permet de situer l'action : au Texas, peu de temps après la fin de la guerre de Sécession, c'est-à-dire dans la deuxième moitié des années 1860. Les dessins tout public laissent planer l'incertitude sur la qualité de la reconstitution historique, sur les éléments Far West plus ou moins simplifiés. Il faut quelques pages au lecteur pour se faire une idée sur ce point en particulier. Dans la première case, la disposition des habitations vis-à-vis de l'arbre au pendu semble un peu trop ouverte par rapport à la grande rue habituelle des petites villes de Western. À partir de la page deux, les décors se font plus consistants : la maison de madame Hood, les maisons contigües, l'intérieur du magasin général, la façade ravagée par le feu de la banque, l'hôtel-saloon, le bureau du shérif de la ville suivante et sa cellule attenante, la salle d'audience pour le jugement, le gibet avec sa trappe, la petite maison isolée du fermier, avec à chaque fois un mobilier adapté, essentiellement à base de planches brutes.

La mission d'Isabelle Talbot l'amène donc à chevaucher doucement, au rythme du chariot tiré par un autre cheval, à travers des étendues sauvages. Là aussi, l'artiste sait donner corps à ces environnements, les rendre palpables et plausibles : le grand chemin de terre, les formations rocheuses, la forêt clairsemée et sa pénombre assez légère à la clarté du feu de camp, la gorge au fond de laquelle un coyote se défend contre des vautours, le cours d'eau plus rapide qu'il n'y paraît qu'il faut traverser à cheval, etc. de même, le lecteur apprécie le soin apporté aux détails des vêtements de Molly, d'Artie, du mexicain Diego, des différents habitants du cowboy tout juste de retour de longues journées à chevaucher au juge dans son habit officiel. Chaque personnage présente une apparence singulière, permettant de l'identifier au premier coup d'oeil. le lecteur se retrouve vite sous le charme d'Isabelle Talbot, avec sa robe ample, son gilet strict, son chemisier dont le col remonte haut sur le cou, ses gants blancs, et ses cheveux bien attachés. Il sourit quand elle remonte un petit peu le bas de sa jupe pour découvrir sa bottine, et juste au-dessus le holster qui abrite un petit revolver. Les auteurs ne la transforment pas en objet du désir : elle ne se retrouve nue que dans deux cases chastes quand elle prend un bain interrompu par l'irruption d'une araignée dont elle a la phobie, dans des images très chastes. le jeune garçon est tout aussi bien croqué, le dessinateur le représentant comme un individu de son âge, avec des mimiques un peu plus expressives, des gestes plus vifs. En suivant Molly, le lecteur croise de nombreux mâles, chacun avec leur gueule, leur expression, leur posture en cohérence avec leur âge et leur position sociale.

Le scénariste raconte une histoire au premier degré, avec une intrigue bien troussée : une mission de distribution de livres pour apporter la culture dans des coins reculés, mais une remarque de madame Hood ne laisse planer au coup doute pour le lecteur, qu'il y a une entourloupe, vraisemblablement de nature illégale. le lecteur se retrouve accroché par ce suspense. Consciemment ou non, il se fait également la remarque qu'il s'agit de l'aventure d'une héroïne, et qu'elle est écrite et dessinée par des hommes. En fonction de sa sensibilité, il peut esquisser une grimace quand elle est sauvée par un homme, d'abord en traversant le fleuve plus impétueux que prévu, puis quand elle se retrouve avec la corde au cou. Toutefois, cette impression ne reste pas car le caractère d'Isabelle Talbot se développe par petites touches, pour en faire un personnage qui n'a rien d'une victime, ou d'une femme soumise, encore moins d'une personne réductible à une demoiselle en détresse à sauver. D'autant plus que la scène avec la récupération des bottes sur un cadavre n'est pas un mauvais dosage ou un passage raté. Par la suite, la situation d'un afro-américain errant dans la rue de Kerrville met en évidence que l'abolition de l'esclavage n'a pas mis tous les citoyens sur un pied d'égalité. Il se retrouve sans emploi et sans ressource, dans une ville où personne ne souhaite sa présence, encore moins lui proposer un emploi, et certainement pas le traiter en égal. Quelques pages plus loin, Arti se saisit d'une branche d'arbre pour estourbir un homme assis en train de manger, en le frappant dans le dos : une action pragmatique, dépourvue de sens de l'honneur. Il explique à Molly qu'elle doit le frapper à nouveau sur la tête pour être sûr qu'il perde connaissance. Il lui prodigue un conseil : ça aide de penser à quelque chose qui met très en colère. Dans une autre séquence, elle n'hésite pas à tuer à coups de pistolet, un homme à terre, en le regardant en face.

Un album d'aventures de plus dans un environnement de western, avec une jolie héroïne. D'un côté, il y a un peu de ça avec des dessins expressifs, faciles à lire, entre classicisme et périodique pour la jeunesse. D'un autre côté, dès la première page, le jeune garçon fait montre d'une personnalité affirmée, façonnée par le contexte historique, entre la guerre civile et les exemples de comportements violents donnés par les adultes. Par la suite, Isabelle Talbot devient sciemment Molly West, en apprenant à se comporter plus durement. L'histoire emporte le lecteur dans une intrigue bien construite, à voyager dans les des environnements sauvages, et à évoluer dans des petites villes, aux côtés de personnages complexes qui évoluent au cours du récit.
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Isabelle est une jolie femme éduquée du Nord des Etats-Unis qui se lancer dans une mission littéraire en plein farwest. Accompagné d'Arti, un orphelin, elle distribue des livres aux villes pauvres.

Nous commençons donc par faite la connaissance avec une femme cultivée et bonnes manières que seule la discrimination racial a don d'irriter. Et pourtant quand on retrouve dans ses malles des bons du trésors volés, que son procès tourne en sa défaveur et quelle se retrouve à échapper à la pendaison par des moyens illégaux et violents, Isabelle va cesser d'exister pour devenir Molly West.
Je ne suis pas sure que ça soit très cohérent de faire de l'héroïne quelqu'un de cultivée, d'ouverte d'esprit, et pleine de bonté pour ensuite en faite une tueuse qui abat froidement un homme juste parce qu'il a abandonné son fils quelques années plus tôt et qui va se transformer en gangster...
En dehors de cette fracture sur le personnage central que je trouve trop brutale, l'histoire se lit plaisamment. C'est assez dynamique et après ce premier assez introductif sur l'entrée de Molly dans la clandestinité, va rebondir dans une intrigue un peu plus dense et j'espère sans trop de cette violence gratuite de la dernière scène.
Le dessin de Fourquemin est agréable bien que tous ces personnages se ressemblent un peu.
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Un petit road trip très intéressant dans le Texas à la fin de la guerre de Sécession.

Dire que l'ambiance est au mieux serait un pas à ne pas franchir, les soldats texans sont rentrés vaincus, et les nordistes entendent bien faire régner l'ordre et la loi désormais.

C'est dans ce contexte qu'Isabelle Talbot, d'origine française, compte mener à bien sa petite enquête personnelle, profitant de son nouveau boulot de bibliothécaire itinérante.

Mais très vite, et comme prévu, les rencontres, tant bonnes que mauvaises vont se succéder, rendant la tournée d'Isabelle assez mouvementée.

Mais la jolie demoiselle sait se défendre et se servir d'un fusil, alors quitte à se faire respecter, autant aussi prendre un nom un peu plus accrocheur, ce sera Molly !

Un premier tome assez prometteur, et j'attends sa suite avec impatience !
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Isabelle Talbot est une jeune femme aventureuse, venue du nord des états d'Amérique qui décide de se lancer dans une mission d'enseignement de la population des états du sud. Pas franchement naive, capable d'une colère sourde, elle ne voit pas que son commanditaire a d'autres visées, ce qui va rapidement la mettre dans un position pour le moins délicate. Aidé par un jeune orphelin, qui a ses propres démons, malgré un visage et des manières délicates, Molly Isabelle va se révéler être beaucoup plus sombre et prête à tout pour assouvir sa colère. BD a priori jeunesse mais au final beaucoup plus adulte que prévu malgré un graphisme semi caricatural. Avis un peu mitigé car la violence sous jacente parait un tantinet gratuite. A voir sur le prochain épisode.
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critiques presse (4)
BDZoom
31 janvier 2022
Entre réalisme et caricature, les dessins légers de Xavier Fourquemin proposent une vision originale de l’Amérique, à travers des personnages savoureux aux trognes irrésistibles.
Lire la critique sur le site : BDZoom
LigneClaire
31 janvier 2022
Philippe Charlot (après l’excellent Londonish) lui a écrit un destin mouvementé à cette jolie fille que Xavier Fourquemin (Les Enquêtes de Lord Harold) a mis en images, cadrée et rend fort sympathique bien qu’il ne faille pas l’agacer celle qui va devenir Molly West, reine de l’Ouest.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Sceneario
26 janvier 2022
Ce premier tome de Molly West est une bonne surprise. Une nouvelle série qui commence fort bien et que je vous invite à découvrir sans hésiter un instant.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
08 janvier 2022
Après un Lord Harold en demi-teinte, les deux compères offrent une nouvelle histoire qui débute de manière fort intéressante. Sous ses apparences de série jeunesse, le contenu se révèle toutefois beaucoup plus sombre.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Moi, quelle que soit sa couleur, c'est avec la bêtise humaine que j'ai un problème...
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Sous ses dehors de femme de la côte Est, sophistiquée et éduquée, on devinait une colère sourde, douloureuse, qui lui rongeait l’âme et la laissait parfois le souffle coupé. Mais on pressentait aussi cette tendresse qui ne cessera de surprendre ceux qui plus tard auront appris à la craindre.
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Alors tout va bien puisque nous sommes entre gens intelligents. On lit des livres. Mais n’essayez pas de me refiler des manuels d’agriculture ou d’élevage. Je n’aime que les romans d’amour.
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La guerre de Sécession terminée, nos glorieux soldats texans, ceux qui avaient survécu, étaient rentrés à la maison, la queue entre les jambes. Les affaires avaient alors pu reprendre. Mais un monde parfait ne se crée pas en quelques jours, n’est-ce pas ? Même si certains soutiennent que c’est jouable en sept. Moi, je n’y ai jamais cru au monde parfait.
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Un guichetier à la banque – Je reçois des imbéciles qui viennent mettre leurs petites économies à l’abri dans les poches des banquiers qui s’engraissent avec.
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