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« Un roman qui se déroule lentement et nous offre au fil des pages, des quelques années de guerre, tant de scènes de vie, tant d’événements, de récits, d’instants volés à un quotidien révolu et qui pourtant, sous la plume de l’auteur, reprend vie pour nous, s’anime, comme un film en noir et blanc, pour nous offrir, tel un défilé de nuages, une fresque merveilleuse dans les montagnes piémontaises. Un roman d’une grande beauté, un hymne à un monde aujourd’hui disparu. »
read_to_b..
« Un père omniprésent, une mère dépassée, et une fratrie noyée dans un système familial autocentré. Un tableau que l'auteur Sara Mesa dessine avec une extrême finesse. Elle nous emmène sur un fil d'émotions toujours en équilibre, sans jamais tomber dans la lourdeur la tristesse ou le pathos. Une retenue qui illumine tous les membres de cette famille dysfonctionnelle. Au final un bonheur absolu de lecture. »
diesirem
« 'La Première femme' est un roman de femmes avant tout : comment se fait-on femme quand notre pays, notre clan et notre famille nous intime ce que nous devons être ? Nous voyons Kirabo grandir, avec beaucoup de tendresse, de rage parfois, de mélancolie pour ces femmes qui luttent pour leurs amitiés et pour les hommes qu’elles aiment. »
Eustachette
« Reinhard Kaiser-Mühlecker écrit un roman rural, fluide et passionnant, à la dramaturgie sous-jacente prête à jaillir d'un geyser de violence, qui questionne de nouveau l'héritage du nazisme, sans doute de manière plus suggestive cette fois. Un roman puissant et souvent beau, aux allures de grand et à la saveur d'une littérature classique, de celle qui laisse des traces à la fois sûres pour ce qui est de sa puissance évocatrice ou sa valeur, et incertaines quant aux questions qui peuvent continuer de vriller dans la tête du lecteur. »
Merik
« J’ai trouvé ce roman profondément sensible, sublime dans ce qu’il exprime de la nature humaine, de l’histoire d’un peuple, une véritable réflexion métaphysique qui prend le lecteur à témoin afin de ne jamais oublier ce qui fût, et dans un même élan de se projeter dans ce qui sera, sans omettre ce qui est aujourd’hui encore la réalité de la condition amérindienne aux Etats-Unis. Un coup de cœur total. »
Frederic524
« Les Femmes et la Nature ne font qu’Une. C’est d’une beauté insolente tant c’est fluide et évident. Elles sont alliées sans distinction dans cet espace temps hors norme. L’ensemble communique sans heurt, avec poésie, en communion. Ici et maintenant, hier et demain, ces pages parlent de nous, d’elles, de tous. C’est l’écho du cri intérieur de notre nature profonde. Il faut entendre avec le cœur. Les Femmes. La Nature. Ce livre est une fable, un testament et une prophétie. »
autantene..
« Entrer dans un livre d'Erri de Luca, c'est entrer chez un orfèvre de la langue. Son style est sans fioriture, il va à l'essentiel tout en arrivant à créer une promenade poétique auprès de personnages qui n'ont pas besoin d'adjectifs. Ils sont, c'est tout ce qu'on leur demande. Et c'est magnifiquement fait. »
Bartleby404
« Je n'ai arrêté ma lecture qu'en apercevant la côte. Je l'ai repris, sans pouvoir m'arrêter, moi aussi, prisonnière de ces champs de cannes à sucre. J'en suis sortie par une danse, presque une transe, celle qui nous laisse sur les genoux mais irrémédiablement libre. [...] J'ai tout aimé dans ce premier roman de Bibiana Candia. Si mon année s'arrêtait ici, il en serait ma plus belle lecture. Je vais me faire évangélisatrice et vous le mettre dans les mains, d'office. Sachez-le. »
hanyrhauz
« L'auteur nous propose une fresque historique richement documentée. Des personnages riches et bien développés. La lecture est assez captivante et romanesque. Une plongée en pleine révolution industrielle et du droit des femmes sur fond de romance inattendue. »
Nessa_int..
« Cela donne au final un témoignage tendre et touchant, intime et pourtant très pudique. Car avant de parler de guerre, il dit surtout tout l’amour qu’il a pour cet aïeule, un peu fantasque. (...) De ses saillies souvent drôles, de ses manies, de ses agacements qu’il revisite et comprend en découvrant les épreuves qu’elle a dû endurer, déployant une force de vie remarquable et une force de caractère insensée. »
Flo_heris..
« Certes, Wanny et Anders sont trappeurs, mais il ne s’agit pas ici d’une apologie de la chasse ; l’autrice présente un mode de vie à une époque donnée (1933) et surtout elle nous décrit une nature pleine de charmes, riche, sauvage, enivrante. L’écriture est d’ailleurs à l’image de l’environnement : elle peut se faire concise et âpre, mais elle devient poésie et enchantement quand elle décrit tout le foisonnement de cette nature enchanteresse. »
read_to_b..
« J’ai beaucoup apprécié cette introspection joliment racontée avec énormément d’intelligence, sans naïveté. Son sens de l’observation l’amène à beaucoup réfléchir sur l’âme humaine. »
Verdure35
« J’ai été conquise déjà par la construction du récit en trois époques et par tous les personnages féminins rencontrés. Julia Kelly m’a captivée, l’équilibre du roman est parfait. J’ai autant aimé l’histoire du jardin qu’on a le bonheur de voir évoluer pendant un siècle que les destinées féminines, toutes auront leurs moments difficiles à vivre avant d’entrevoir de nouveau le bonheur. Ce roman était juste BEAU ! »
LaureLise..
« Eva Menasse analyse ici, par le prisme de ce village, le phénomène d’un déni collectif, d’un oubli que chacun voudrait total, qu’il ait participé activement aux violences ou qu’il ait tout simplement fermé les yeux sur ce qui arrivait à ses voisins. Elle interroge le passé mais aussi le présent à travers le poids que fait peser l’histoire sur les consciences. C’est riche, magnifiquement écrit, extrêmement prenant et cela demande de la part du lecteur une grande attention. Mais cela vaut vraiment le coup. »
Christlbo..
« Fiona Davis prouve qu’elle est la maîtresse de la double temporalité. Elle illumine la célèbre bibliothèque publique de NY et crée de manière experte, deux mondes riches, vibrants et mystérieux qu’elle tresse habilement pour en faire une lecture captivante avec des personnages féminins forts et inoubliables »
Laviedesev
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