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Critiques filtrées sur 5 étoiles  

Voici un recueil de trois nouvelles sur le thème de la mort.


La première, Un mariage d'amour est la préfiguration de Thérèse Raquin. Deux amants se débarrassent du mari pour pouvoir s'épouser après le délai de deuil. Une fois tué, le mort se révèle plus présent que de son vivant.


Le seconde, la nouvelle titre est assez angoissante. Bécaille, meurt après quelques jours de maladie. C'est un d'être hanté par l'idée de la mort avec laquelle il aime jouer. Mais ô surprise, bien que mort et ne pouvant ni parler, ni bouger, il voit et entend tout ce qui l'entoure.
D'abord calme, il s'angoisse peu à peu à l'idée d'être enterré vivant. D'ailleurs le convoi est prévu pour le lendemain.


Dans Jacques D'amour, un couple d'ouvriers connait plusieurs années de bonheur. Mais vient la guerre de 1870 puis la Commune. Entraîné par un de ces hommes qui savent pousser les autres à l'héroïsme tout en restant à l'abri, il s'oppose aux soldats, est condamné et envoyé à Nouméa. Il s'évade, est présumé mort et la nouvelle transmise à son épouse. Après l'amnistie il part à la recherche de sa famille.
Mais comme dans le colonel Chabert, le mort à été remplacé.




Dans ces trois nouvelles, le mort sort de sa tombe, symboliquement ou réellement pour reprendre ses droits. Mais il n'est pas si facile de retrouver sa place.


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La lecture de ces quatre nouvelles de Zola sont aux Rougon Macquart ce que les huiles essentielles sont au parfum : un concentré riche et capiteux de littérature, dont chacune est enivrante à sa façon, et qui m'ont toutes quatre puissamment régalée.

La première, qui donne son nom au recueil, vient fouiller au plus profond de nos terreurs en faisant parler un homme, Olivier Bécaille qui tombé en catatonie tout en restant conscient, sait qu'on le croit mort et vit avec horreur sa mise en bière, son enterrement et… il ne vous reste qu'à la lire pour sortir de ce cauchemar et découvrir au passage une incroyable mise en abyme dans cette histoire quand Olivier rêve qu'il est enseveli.

« L'inondation » est tout aussi saisissante de sauvagerie quand elle évoque dans un cadre champêtre ravagé par la montée brutale de la Garonne, emportant les débris et les morts, les images épouvantables du tsunami sur les côtes de Fukushima.

On retrouve dans « Nantas » un peu d'Eugène Rougon dans son ascension sociale fulgurante, dont la base contractuelle s'avérera délétère quand son coeur viendra contre toute attente prendre le pas sur sa raison et faire vaciller sa force pour l'amour d'une femme.

« Les coquillages de Mr Chabre » vient clore par une note d'humour et une ode à la puissance vitale de la nature ce recueil marqué jusque là par de sombres interrogations sur la fragilité de l'élan vital, avec un gras et inodore Mr Chabre qui, trop occupé à engouffrer des crustacés pour dynamiser sa fécondité défaillante, ne sait voir comment sa jeune et vivace épouse trouve le moyen de résoudre ses problèmes de descendance, emportée par la sensualité d'un paysage de mer normand et les bras vigoureux d'un voisin fort serviable.

Un régal je vous dis, moi qui ressors de cette lecture comme d'une table gastronomique à laquelle je recommande vivement de s'attabler au plus vite !
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La mort d'Olivier Bécaille – Il ne bouge plus. Il ne respire plus. Il ne voit plus. C'est certain, Olivier Bécaille est mort. Et pourtant, il entend tout ce qui se passe dans la chambre. « La mort n'était donc pas le néant puisque j'entendais et que je raisonnais. » (p. 13) Il suit les préparatifs de son enterrement et entend le chagrin de sa jeune épouse. Alors, est-il vraiment mort ?

Nantas – Monté à Paris et dévoré d'ambition, Nantas est certain de faire fortune. Mais les portes ne s'ouvrent pas comme il le voudrait. Ah, il est prêt à se vendre si ça peut le faire réussir. « Il y avait chez Nantas une ambition entêtée de fortune qu'il tenait de sa mère. C'était un garçon de décision prompte, de volonté froide. » (p. 38) Voilà que se présente une femme qui lui propose de se marier : se faisant, il assure sa propre fortune et il sauve une jeune fille. Mais ce marché ne serait-il pas de dupes ?

L'inondation – Il est une famille de fermiers prospères sur les bords de la Garonne. Les récoltes sont exceptionnelles, le bétail est gras, les mariages sont heureux et les enfants sont nombreux. Pas de doute : cette famille est bénie de Dieu. Hélas, la cruauté du sort va s'acharner sous la forme d'une inondation. « Nous entendions le gémissement sourd de la maison pleine d'eau, sonore, avec ses cloisons qui craquaient déjà. » (p. 83) Réfugié sur le toit de sa demeure, le patriarche se demande s'il va tout perdre, s'il est possible d'espérer en la clémence divine.

Les coquillages de M. Chabre – M. Chabre est un vieux marchand de grains enrichi après des années de négoce. Hélas, son mariage avec la jeune et belle Estelle reste sans enfant. « Un homme qui a gagné cinquante-mille francs de rentes a certes le droit de s'étonner qu'il soit plus difficile d'être père que d'être riche. » (p. 95) Selon les conseils d'un médecin, le couple part en Bretagne où M. Chabre va se bourrer de coquillages soi-disant dotés de vertus fortifiantes. Évidemment, la rencontre d'un jeune Breton, blond et fort, n'aura aucun rapport avec la future grossesse de la belle épouse Chabre.

Quel plaisir de retrouver mon Émile dans ces textes courts où il a déployé tout son talent : en quelques mots, il plante un décor et campe des personnages. le lecteur n'a qu'à se laisser aller et à suivre les intrigues. Zola avait un don pour saisir le ridicule des bourgeois, des nouveaux riches et des maris cocus. Mais il est impossible de ne pas sentir la tendresse qu'il nourrit pour les personnages qu'il soumet aux pires avanies. Comme toujours avec Émile Zola, j'en demande encore.
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Ces temps-ci, allez savoir pourquoi, Emile Zola me manque un peu... Ayant eu des scrupules à me replonger dans mes chers Rougon-Macquard eu égard à tous les romans, foule toujours grandissante, qui m'attendent, envahissant le sol de ma chambre en piles plus ou moins branlantes, j'ai ressorti de ma bibliothèque ce recueil de nouvelle que j'avais beaucoup, beaucoup aimé il y a quelques années pour le relire, avec l'espoir de l'aimer encore, davantage si possible.
Grâce soit rendue à ce bon vieil Emile qui ne me déçoit jamais!

Une fois encore, chacune des nouvelles qui composent ce recueil, m'a enthousiasmée, happée, ravie.

On oublie souvent qu'Emile Zola ne fut pas seulement le romancier génial qui insuffla tant de vie et de profondeur à son XIX°siècle et aux Rougon-Macquart mais qu'il commis également, en plus de son célèbre éditorial et de rares pièces poétiques, quelques nouvelles dans laquelle il parvient à donner la pleine mesure de son talent tout en le condensant. On y retrouve son gout -désormais célèbre et souvent raillé- des descriptions naturalistes, ses thèmes et ses obsessions, la réussite, les échecs personnels, la peur de la mort et une certaine angoisse existentielle. Pour autant, chacune des nouvelles qui composent le recueil ("La Mort d'Olivier Bécaille", "Nantas", "L'Inondation" et "Les Coquillages de Monsieur Chabre") possède sa propre couleur, sa propre unité.

"La Mort d'Olivier Bécaille" nous plonge dans les pensées d'un homme, heureux époux d'une toute jeune femme, et fraichement débarqué à Paris de sa Bretagne natale. Il espère trouver dans la capitale une place qui leur permettrait de transformer la médiocrité de leur foyer en opulence, ou à défaut, en confort. Hélas! L'homme est bientôt victime d'une crise de catalepsie. le croyant mort, ses proches organisent ses funérailles alors même que ce pauvre Olivier est conscient. Conscient, mais prisonnier de son corps qui ne lui obéit plus. Quelques temps après son inhumation, il parvient à quitter son cercueil et à retrouver le monde des vivants grâce à un médecin qui durant quelques semaines prend soin de lui. Hélas, le retour d'entre les morts ne se passe pas comme prévu, mais pour Olivier Bécaille, homme malingre et à la santé fragile, c'est le début d'une toute autre existence. Tantôt poignante, tantôt grinçante, "La Mort d'Olivier Bécaille" est une nouvelle délectable qui pose la question de l'absurdité de la condition humaine et qui ausculte les peurs les plus profondes à travers un personnage foncièrement humain mais d'une grande intelligence, ce qui n'est pas tout à fait le cas du protagoniste d'une autre nouvelle du recueil. Monsieur Chabre, protagoniste de la nouvelle qui porte son nom, est un brave homme mais il ne brille ni par sa clairvoyance, ni par sa connaissance du genre humain... Comme Olivier Bécaille, Chabre a épousé une femme plus jeune que lui dont il espère ardemment qu'elle lui donnera les enfants qu'il a toujours rêvé d'avoir. La jeune épouse a beau être en pleine santé et avoir les hanches assez larges, le mariage demeure stérile jusqu'à un voyage en bord de mer, pour le plus grand bonheur de Chabre. S'il savait... mais après tout "heureux les simples d'esprit car le royaume des cieux leur appartient". Et puis, cette nouvelle, drolatique et de loin la plus légère du roman, on n'aurait pas voulu qu'elle se termine autrement. Petite respiration entre des récits bien sombres. de Monsieur Chabre, on passe à "Nantas" qui frôle le désespoir et qui narre le parcours d'un Rastignac marseillais que l'amour fou finira par détruire. Quelle souffle ici, quelle finesse et quelle chute! J'ai longtemps eu peu d'atomes crochus avec ce texte-ci. Aujourd'hui, j'en goute toute l'amertume et la beauté.
Toutefois, elle ne détrône et ne détrônera pas dans mon coeur de lectrice "L'Inondation", que j'adore sans mesure, avec toute sa tristesse, son narrateur vieil homme et usé par trop de chagrin. Oui, elle flirte avec le mélo, le pathos, mais je n'y peux rien: j'y suis infiniment sensible, en bonne masochiste que je suis. L'inondation fait de moi une madeleine, mais c'est si bon de pleurer quand c'est pour de faux!

Avec ce recueil, maître Emile frappe encore et frappe fort et nous sert un met aux multiples saveurs, riche, complexe. Un concentré de ce qui fait de lui un grand, un très grand auteur.
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Cette nouvelle, particulièrement bien racontée par Emile Zola, est pour moi le comble de l'horreur.
On est loin des Rougon-Macquart et je découvre le talent de nouvelliste de Zola.
C'est court, efficace, particulièrement bien construit en cinq chapitres avec une première phrase choc à noter dans les annales : "C'est un samedi, à six heures du matin que je suis mort après trois jours de maladie."

Originaires de Guérande, Olivier et sa femme Marguerite vivent depuis peu dans un hôtel meublé rue Dauphine à Paris. Plutôt que d'évoquer la vie, je devrait faire référence au titre "La mort d'Olivier Bécaille" parce qu'à Paris il y meurt.
En fait, c'est une fausse mort, son corps est inerte et sa femme croit qu'il a rendu son dernier souffle. Elle est affolée et ne croit que ce qu'elle voit comme toutes les personnes qui vont s'approcher de lui y compris le médecin des morts.
Olivier raconte ce qu'il perçoit incapable d'une démonstration quelconque car son esprit reste actif même si son corps ne répond plus.

Cela me rappelle "Les choses de la vie" l'excellent roman de Paul Guimard dans lequel le narrateur continu à raconter ce qu'il ressent alors qu'il est dans le coma suite à un accident de voiture.
Pour Olivier Bécaille ce qui est différent c'est qu'il va être enterré vivant, enfermé dans son cercueil. le néant lui fait peur depuis qu'il est petit mais ce qu'il vit n'est pas le néant alors que la peur d'étouffer dans sa boite sous terre le saisie quand il reprend conscience.
C'est le summum de l'horreur pour moi mais heureusement ce n'est pas terminé et les rebondissements surprenants m'ont évités de faire des cauchemars.


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Etant habitué à la lecture des livres de Zola, je fus un peu surpris en trouvant
cette nouvelle que j' ai téléchargé et elle n' étais pas accompagnée d' autres
nouvelles .
La Mort d' Olivier Bécaille est une nouvelle extraordinaire et peut-être con-
-sidérée comme une oeuvre de science-fiction ce qui n' était nullement l' inten
-tion de l' auteur.
Olivier Bécaille est un jeune homme, marié à Marguerite. le couple va
s' installer à Paris car l ' épouse a trouvé un emploi.Dès son enfance, Olivier
est de sante fragile et pris, de temps à autre par des crises nerveuses ou
syncopes.
A leur arrivée à l' hôtel , il s' évanouit . Tout le monde le croit mort. Tout en étant
inerte, il arrive à penser, il est conscient de tout ce qui se fait autour de lui.
Il observe dans le mutisme total le défilé des proches, des voisins. Il apprend les préparatifs de son enterrement. Mais ce qui est intéressant
dans ce récit, ceux sont les pensées et les questionnements d' Olivier sur
la mort. Olivier, depuis son enfance est obsédé par la mort et il est effrayé
qu' un jour, il cessera d' exister . Que laissera-t-il derrière lui ?
Modestement, je pense que Zola en écrivant cette nouvelle, nous les
êtres humais, nous sommes tous dans la situation d ' Olivier : nous
sommes là mais cela n' empêche pas que nous pensons à la mort et sa
venue est inéluctable .La vie est une énigme ! La mort est une énigme !
En conclusion, comment surmonter l' angoisse, la frayeur de la mort ?
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Ce texte est magistral. La montée de l'angoisse d'Olivier en particulier est remarquablement décrite. On se met très aisément dans la peau d'Olivier ce qui est à la fois dérangeant et totalement palpitant. le texte est admirablement écrit. le style de Zola est incomparable. Naturaliste, il dépeint toute la mécanique psychologique à l'oeuvre. le texte est raconté à la première personne ce qui ne laisse aucun doute au lecteur sur l'être du narrateur. L'histoire se passe à Paris rue Dauphine, dans un hotel meublé. Elle est racontée des années plus tard, laissant au narrateur le temps de l'encaisser. Par un déterminisme sans faille, le héros est entrainé par "le fatalisme de sa chair". Il est de faible constitution et de nature anxieuse, mélancolique et sombre. Il a conscience de son état, de ce qu'il est et il expérimente la mort qui lui a toujours fait peur. Il est aussi jaloux de M. Simoneau que la nature a gâté davantage. Marguerite est encore une enfant, effarouchable et soumise, tendre et douce. On lui prête volontiers un avenir. La scène de la mise en bière est vue de l'intérieur. Tous les sens d'Olivier sont en éveil. Sans pouvoir agir il a une conscience aigüe de son environnement. Il fait un rêve prémonitoire et rassemble ses forces. le texte contient de nombreux indicateurs de temps. Dans la dernière partie du texte, les ellipses permettent d'accélérer le rythme de la narration très ramassé jusqu'alors. J'ai beaucoup aimé ce récit que je vous recommande.
Lien : http://pragmatisme.over-blog..
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Époustouflant !

Voilà, il n'y a pas d'autre mot. Ce recueil de nouvelles a été un régal de bout en bout.
Emile Zola est un auteur qui peut faire peur avant que ne l'on s'y attaque, avec ce recueil on goûte au meilleur de l'auteur sans s'engager sur un pavé.
Tous les ans je me dis que je vais me lancer dans la (re)lecture des Rougon-Macquart et chaque année je repousse. Avec ce recueil je constate une fois de plus combien j'adore Zola.

Ici, quatre nouvelles : La mort d'Olivier Bécaille, Nantas, L'inondation et Les coquillages de M. Chabre.

Dans la mort d'Olivier Bécaille on fait la connaissance de M. Bécaille donc que tout son entourage croit mort alors qu'il est en fait en catatonie. Il est là, sur son lit, dans l'impossibilité de bouger ou de communiquer mais il entend tout, a conscience de tout ce qui l'entoure. Son épouse qui le pleure, le médecin qui l'examine, la bière au pied du lit...
Si on a tendance à un peu sourire au début l'angoisse monte très vite, au même rythme que celle du personnage.
Zola joue sur une peur assez répandue : être enterré vivant. Et c'est glaçant !
J'ai littéralement dévoré cette merveille nouvelle très courte.

Nantas et Les coquillages de M. Chabre, différentes l'une de l'autre, m'ont un peu moins embarquée bien que la naïveté de M. Chabre m'ait beaucoup amusée.

L'inondation est ma favorite. Un grand-père nous raconte sa famille, sa bonne fortune. Alors que tous les siens sont réunis, la Garonne monte. On assiste, aussi impuissants que le grand-père, à la catastrophe.
Un véritable drame de la nature reprenant ces droits.
Cette nouvelle est tout simplement parfaite. Zola nous embarque dans cette maison, on voit les eaux approcher, on a peur, on espère, on subit...

Ces nouvelles vont droit au but, elles embarquent le lecteur en quelques pages dans un véritable décor, dépeignent des personnages forts, font vivre des émotions intenses, donnent matière à réflexion...

Un pur régal !!!!
A lire absolument.
Lien : https://demoisellesdechatill..
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Ce livre comprend quatre nouvelles d'Émile Zola.
La première est une nouvelle réaliste qui commence ainsi "C'est un samedi, à six heures du matin que je suis mort après trois jours de maladie." et c'est une nouvelle on ne peut plus réaliste !
La deuxième, Nantas, raconte l'histoire d'un jeune homme de Marseille, étant allé à Paris afin de connaître la fortune. Mais celle-ci n'arrive pas. Un événement néanmoins va bouleverser sa vie.
L'inondation est la nouvelle qui m'a le plus marqué et qui est sans doute une des nouvelles du XIXeme siècle que je préfère. Dans un petit village de Haute-Garonne, nous suivons l'histoire d'une famille paysanne pour qui tout réussit. Jusqu'au jour où la Garonne est en crue...
La dernière nouvelle, Les Coquillages de monsieur Chabre, est beaucoup plus légère. Monsieur Chabre est un homme qui n'arrive pas à avoir d'enfant. Or son médecin lui prescrit de manger des coquillages afin d'augmenter ses chances de concevoir. Son séjour à la mer se déroulera de façon "originale".
Bref, ce sont quatre nouvelles avec quatre ambiances différentes. Allez-y, faites-vous plaisir !
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Peut-être on a tous vécu des moments comme ça :
On dort et il y a plusieurs personnes autour de nous qui parlent alors on n' ouvre pas les yeux et on ne bouge pas pour rester dans son sommeil mais les gens croient qu'on dort et parlent de nous...
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