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Citations sur La nuit des requins (22)

Entre l'écologie et ma sœur je choisis ma sœur.
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- A trois, on rallume, annonce mon beau-père. Un ! Deux ! Trois !
Je m'approche du mur, tâtonne pour trouver l'interrupteur, puis le presse.
A peine ai-je rallumé qu'un grand fracas retentit, qui nous cloue tous sur place. La seconde suivante, deux hommes cagoulés surgissent dans le salon et tirent une rafale d'arme automatique dans le plafond.
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Le sol est glacé et râpe ma peau qui semble sans vie tant le froid est rude.
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A partir de maintenant, nous sommes complètement isolés du monde extérieur.
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A peine ai-je rallumé qu'un grand fracas retentit, qui nous cloue sur place.
La seconde suivante, deux hommes cagoulés surgissent dans le salon et tirent une rafale d'arme automatique dans le plafond.
- Mettez-vous à plat-ventre ! Les mains sur la tête !
La voix, qui tonne dans le salon couvre les pleurs de Camille et les cris de ma mère.
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A peine ai-je rallumé qu’un grand fracas retentit, qui nous cloue tous sur place .
La seconde suivante, deux hommes cagoulés surgissent dans le salon et tirent une rafale d‘arme automatique dans le plafond.
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Déséquilibré, je lâche les rames, tombe à la renverse. Mon épaule tape le bord du canot, et je me retrouve sous l'eau, sans plus savoir où se trouvent le haut et le bas.
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Dans cinq minutes, ils partiront avec Camille. Je ne peux plus rien faire pour les en empêcher. Je garde la tête penchée sur mes genoux. Je les entends rassembler leurs affaires.
- Il ne faut rien oublier, murmure l’un d’eux.
Les zips du sac. Les clics de la mallette qu’ils referment. Les sanglots de Camille. Ceux de ma mère. Quelques secondes auront suffi pour pulvériser le sentiment de bonheur qui nous réunissait. Et maintenant, ils vont emmener Camille. J’ai envie de hurler. Tout se déchire en moi. Je suis anéanti.
Je m’en veux de ne pas avoir été capable de conduire le canot jusqu’à la côte.
Puis la lumière s’éteint, nous plongeant dans le noir total. L’instant d’après, la porte de la maison claque derrière nos agresseurs. J’imagine Camille, que les deux hommes poussent jusqu’au bateau. J’imagine sa peur. L’impression qu’on l’abandonne. Que c’est fini pour elle.
Aucun de nous n’ose bouger, ni rien dire. Le temps semble s’être arrêté. Nous sommes sonnés. C’est comme si nous nous immobilisions enfin, après avoir vécu des émotions trop fortes sur un manège complètement dingue. A part que là, tout est vrai. Et que rien n’est fini, puisqu’ils ont ma sœur.
p. 90-91

Citation choisie par Jean
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p 77 :
Tout se mélange dans ma tête. J'ai envie de pleurer. A cet instant, j'ai l'impression de redevenir un enfant.
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Tout se mélange dans ma tête. J'ai envie de pleurer. A cet instant, j'ai l'impression de redevenir un enfant.
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