Aimer c’est peut-être accepter de souffrir, mais ne pas aimer c’est mourir.
J'aurais travaillé tous les week-ends si ça m'avait rendu ma mère.
Je vis avec la peur, l'anxiété, les phobies depuis tant d'années que j'hésite parfois à leur dresser un couvert quand je m'installe pour dîner.
Quand on perd un enfant, on acquiert la certitude que la mort est bien réelle.
Pas besoin de monter dans un manège pour se faire peur, la vie s'en charge très bien toute seule.
Aimer, c'est peut- être accepter de souffrir. Mais ne pas aimer, c'est mourir.
J'ai toujours détesté les gens au regard fuyant, ceux qui n'assument pas ce qu'ils pensent ni qui ils sont.
Aimer c’est peut-être accepter de souffrir. Mais ne pas aimer, c’est mourir.
Aimer c’est peut-être accepter de souffrir. Mais ne pas aimer, c’est mourir.
Quand on veut, on peut... Quelle connerie.