Les rêves de nos mères

Il s'agit d'un roman d'amour avec un fond historique se déroulant entre 1912 et 1914.
Lady Julia Ashford a perdu tragiquement son mari Charles dans un incendie. Elle a du mal à se remettre de sa mort mais elle va reprendre goût à la vie lorsqu'elle apprend sa grossesse de 3 mois. Elle porte donc l'enfant de Charles. Pour elle, il lui a lui a laissé cet ultime cadeau, un bout de lui.
Dans le même temps on suit la vie d'Edna qui travaillait à Longfield Park et qui est partie pour vivre avec son mari qui va s'avérer être violent avec elle. Elle continue depuis son départ à maintenir une correspondance avec Mrs Alder la cuisinière du domaine de Longfield. Un jour, Will Murphy, un gangster qui tient un pub fait une proposition à Edna qu'elle accepte. Elle devait lui donner des nouvelles de Lady Ashford. En échange il lui garantit sa sécurité, son mari ne serait plus violent avec elle et en plus il lui trouve un travail.
Lady Ashford et Will ont été très proches pendant l'adolescence mais les conventions ont mis fin à leur aventure. Les 2 vont se retrouver mais il ne faut pas oublier à quelle époque se déroule l'histoire…
J'ai bien aimé le personnage de Lady Ashford éprise de liberté et n'hésitant pas à casser les codes de bonnes conduites. J'aime le coté femme rebelle à cette époque et dans le milieu bourgeois.
Une belle histoire où je n'ai pas vu les pages défiler, tout est fluide. Il s'agit d'un premier volet où Carine Pitocchi pose les bases. le tome 2 se déroulera pendant la première guerre mondiale. Je suis certaine qu'il va être riche en rebondissements. On va pouvoir suivre les femmes qui sont mises en avant sur plusieurs générations. Je trouve ça très intéressant de voir leurs évolutions.

Une lecture très agréable, qui se lit très facilement, pleine de bons sentiments (ce livre n'a pas reçu le prix du livre romantique pour rien), avec de fortes inspirations de Downton Abbey et des Peaky Blinders (mais dans une version plutôt édulcorée) avec des personnages attachants (j'ai beaucoup aimé le personnage d'Emily).
Le seul bémol est que c'était bien trop court !
J'ai hâte de savoir ce que vont devenir Julia, Will, Emily, Archie, Edna et Merry.

Carine PITOCCHI. Les rêves de nos mères.

Ce roman se déroule de 1912 à 1914, en Angleterre. Julia Ashford, se retrouve veuve, après cinq années de mariage. Son époux Charles est décédé dans l'incendie de leur demeure, en portant secours aux personnes encerclées par les flammes. Il a secouru des gens mais il est resté prisonnier et a péri dans ce feu. Julia habite désormais à Longfield Park dont elle a hérité. Avec elle, réside la soeur de son époux, lady Catherine et le jeune frère Edward, âgé de dix-sept ans. Ce dernier éprouve beaucoup d'empathie envers sa belle-soeur tandis que Catherine la méprise. Nous avons également tout le personnel nécessaire à la bonne tenue d'une telle résidence. Julia découvre qu'elle attend un enfant de son défunt mari. Malgré la tristesse due à la mort de son époux, elle est ravie de porter l'héritier des Ashford. Il y a un domaine et un titre à transmettre. Julia saura-t-elle faire face à sa belle-soeur, afin de conserver pour son fils l'héritage reçu et régir un tel bien ?

Ce roman retrace le destin croisé de deux femmes, de caractère, Julia Ashford et sa cousine Emily Allen qui ne se plie pas aux convenances, qui fume, conduit elle-même son véhicule, boit, refuse la mariage jusqu'au jour où. Mais je n'en dirai pas plus, plongez dans ce roman sentimental du début du XXème siècle en Angleterre, abordez les aristocrates et la pègre des bas-fonds de Londres. Si vous aimez trembler d'amour et tentez de deviner le parcours de nos deux principales héroïnes, n'hésitez pas, ce roman est pour vous. Dans quelques mois, nous les retrouverons et jugerons leur évolution.

L'intrigue amoureuse nous dévoile l'enfance, la jeunesse de Julia, jeune femme moderne, féministe et très humaine. C'est grâce à Edna, ancienne employée de maison, qui, suite à son mariage a quitté la famille Ashford et s'est installée à Londres avec son époux que nous ferons la rencontre des gangs de Londres. le mari d'Edna est un homme agressif,coléreux, brutal, méchant et il la martyrise. Un soir qu'il l'a violentée et battue, elle ne doit son salut qu'à Will Murphy, un gangster irlandais qui est devenu très riche et qui règne sur la pègre londonienne. Mais quelle relation y-a-t-l entre Will et Julia? Quels liens peuvent bien unir ces deux êtres ? Nous sommes en pleine période de mutations politiques, économiques et sociales. La guerre menace. Les suffragettes font la une. Beaucoup de sentiments, de belles descriptions de la ville, de ses bars plus ou moins bien fréquentés, de l'univers populaires et à l'opposé le maintien des traditions aristocratiques, nobles, coutumières. Bonne lecture, c'est un roman sentimental. et de plus un fort joli titre.

Lady Julia, veuve éplorée, voit son passé ressurgir lorsqu'elle entend parler de Will Murphy, chef de la pègre mais aussi son amour d'enfance. Parallèlement, Edna, leur ancienne domestique doit faire face à l'isolement et à la violence de son mari. J'ai adoré cette ambiance sombre d'une Angleterre aux portes de la guerre, qui nous emmène dans les ruelles malfamées où il ne fait pas bon de se promener seule lorsqu'on est une femme. A travers ce roman, l'autrice nous parle de la condition de la femme, des violences conjugales et des inégalités entre classes qui font rage à cette époque. J'ai aimé suivre les prémisces du mouvement féministe en la personne d'Emily qui s'engage pour défendre les droits des femmes. Un roman court mais intense qui ne nous laisse pas une seconde de répit tant la plume immersive de l'autrice nous tient en haleine tout le long. Une saga familiale comme je les aime avec des personnages que l'on adore détester et d'autres auxquels on s'attache et qu'il est bien difficile de laisser derrière nous. Je lirai la suite avec grand plaisir.

Très bonne lecture mais pas de coup de coeur. J'ai été complètement embarquée par l'histoire. C'est sentimental et les personnages sont (presque) tous attachants. J'ai adoré l'ambiance qui ressemble à Downton Abbey. La plume est très fluide et des thèmes forts sont abordés avec justesse. Mais il y a une précipitation dans le récit et dans le rythme du roman qui fait que je n'ai pas eu un réel coup de coeur. L'aspect historique n'est pas assez poussé et il me manque des descriptions, j'aurais aimé que ce soit un peu plus contemplatif. J'ai eu ce petit goût d'inachevé lorsque j'ai refermé le livre et je suis la première déçue, je n'ai vu que du bien. Je sais que le deuxième tome est plus poussé, j'ai hâte de le lire et de continuer cette saga, j'ai adoré les personnages et leurs drames.
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J'ai peur de me faire taper les doigts si je dis que je suis totalement mitigée sur cette lecture, au vu de tous les avis que j'ai pu en lire… mais j'ai galéré à le lire …
La précipitation dans le récit m'a fortement troublé. Il me manquait un rythme, les sauts dans le temps retire une profondeur dans les sentiments à mes yeux. Je pense que c'est le côté néfaste de trop voir d'avis positif on se mets une barre élevée dans nos attentes et malheureusement la déception est là.
Alors que ce roman a tout pour être super, les personnages sont attachants, l'ambiance à la Downton Abbey est exquise… bref le tome 2 m'enchantera je l'espère plus.

J'ai passé un bon moment de lecture avec ce roman, mais avec tous les avis dithyrambiques que j'avais entendus à son sujet, je ne peux m'empêcher d'être, au final, un peu déçue… C'était sympa, mais sans plus.

Deux choses m'ont principalement dérangée pendant ma lecture : le manque cruel de profondeur dans l'intrigue et les personnages, et la ressemblance criante du décor avec la série Downton Abbey. Commençons par ce second point, qui est le premier qui m'a dérangé. Si vous connaissez et aimez la série, vous retrouverez pratiquement les mêmes personnages et décors dans le roman. Les personnalités sont les mêmes, la période est la même, et cette ressemblance (hommage ? inspiration ?) m'a un peu dérangée car je faisais trop la transition entre les deux oeuvres dans ma tête. Heureusement que la seconde partie est moins centrée sur le décor…

Mais le principal défaut du roman est, selon moi, le manque cruel de profondeur. Carine Pitocchi a dû se conformer à certains critères qui ont, apparemment, largement écourtés son roman, ce qui peut l'expliquer. Mais c'est tellement dommage ! le roman est bien trop court pour exploiter correctement tout ce qui s'y passe, du coup aucun personnage n'est approfondi. Je pense notamment au personnage d'Emily, qui est absolument génial mais traité de manière beaucoup trop secondaire. du coup, tout parait trop simple, trop rapide, voire trop « heureux », et sans émotions particulières.

Cependant, j'ai passé un bon moment de lecture, et je lirai même la suite. Pourquoi ? Car l'intrigue m'a happée. Même si elle n'a rien de très original, elle parle de destins qui s'entremêlent, d'amours contrariées, bref tout ce que j'aime; et cette période début XXème siècle / Première Guerre Mondiale, qui a vu tant de bouleversements changer notre monde. Et mine de rien, j'ai beaucoup apprécié les personnages de ce roman, qui, j'en suis absolument certaine, sauront m'émouvoir dès qu'ils en auront la place.

Même si Les rêves de nos mères m'a un peu déçu, je lirai la suite, tant les personnages et la période traitée m'ont happée. Une lecture sympathique, divertissante, mais dont j'attendais plus !
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•Carine Pitocchi nous plonge dans la vie tumultueuse de plusieurs femmes en 1912. Il y a Julia, jeune veuve, qui trouve en sa grossesse la force de continuer malgré l'absence de son mari. Elle verra cette absence troublée par l'apparition de Will Murphy, son amour d'enfance. Puis nous avons sa cousine, Emily. Une femme engagée qui se cache sous une forte carapace, et Edna qui vit sous les coups de son mari.

•Il me tardait de découvrir ce livre. Une belle romance historique que j'ai pris plaisir à lire.
Tout ce que j'aime est réuni dans ce livre. La romance dans une époque où l'ancien entre en collision avec la modernité.

•On fait la connaissance de plusieurs femmes, toutes avec une histoire différente, des difficultés à affronter, et une incroyable force qui pousse à l'admiration.
Les personnages sont attachants, j'ai eu un petit coup de coeur pour Emily, cette femme indépendante au fort caractère.

•Ce roman se caractérise aussi par le fait qu'il dénonce les violences conjugales et bien d'autres choses.
Il est vrai, le début fut pour moi bien mais sans plus. En effet, j'ai trouvé la lecture un peu trop simplet et le romantisme pas assez présent. En revanche, j'ai particulièrement aimé cette fin bouleversante. le contexte historique accentue le tout. Je n'ai qu'une hâte, censé de découvrir la suite.

•En résumé, l'auteure nous offre un roman abordant des thèmes importants avec tout de même une touche de simplicité et de romance. Un livre rapide et facile à lire. On ne s'ennuie pas et la fin n'est autre que captivante et touchante.

•Ce roman célèbre les femmes et leur courage. Une source de motivation.

Romantique à souhait ce roman coule doucement avec une jolie plume. Un roman à l'eau de rose, des personnages chevaleresques, une histoire déchirante, feront le bonheur des amoureux du genre. Une fin un peu en queue de poisson mais qui va en regard du livre. le texte fait penser aux films "d'amour" des années 50. C'est un divertissement correct, une jolie interlude.

Je l'avais déjà lu, mais étant donné que j'ai en ma possession la saga complète, je souhaitais me remémorer le premier volet. J'avais bien en tête que cette lecture m'avait été plaisante sans être transcendante non plus. L'histoire est courte, une mise en bouche maintenant que l'on connaît les volumes suivants. J'attends par conséquent la suite afin de me faire une idée plus large. Dans tous les cas, ce premier tome romantique demande à être creusé.