La Petite Lumière (BD)

Club N°54 : BD sélectionnée ❤️
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Dessin sublime, histoire sensible et touchante sur la solitude et la mort, un vrai coup de coeur !

Marine
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De la poésie, des silences, de la délicatesse, de l'innocence.

Un mélange réussi.

Morgane N.
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Magnifique récit qui nous emmène au frontières du fantastique de manière très poétique.

Les planches magnifiquement illustrées de Bruno Panacionne rendent encore plus touchante cette histoire adaptée d'un roman.

David
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Un graphisme magnifique avec une beau travail sur la lumière et sur les contrastes jour/nuit.

Assez peu de texte, pas assez à mon goût, et donc l'album se lit trop rapidement si l'on n'est pas contemplatif devant les jolies planches.

Une grande délicatesse dans le traitement d'un sujet sombre et surnaturel qui fait naître beaucoup de questions ouvertes.

Ma curiosité grandissante au démarrage de la BD s'est transformée en tristesse au fil de la lecture.

JF
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Ça se lit bien et reste des questionnements.

Qui est cet enfant, qui est cet homme ? ....

Nol
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je me dis que seul Panacione peut nous conter un récit (même plein de questions en suspens) avec ce style et cette narration, reste un livre étonnant.

Benoit
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Lien : https://mediatheque.lannion...

Quelle est cette petite lumière qui s'allume invariablement le soir dans la montagne en face et que seul un vieil homme,retiré du monde, voit lors de ses méditations nocturnes ?

Une histoire introspective,envoûtante,où l'on ressent une palette d'émotions liée au graphisme singulier, aux couleurs sombres et pénétrantes,où la nature, les arbres,plantes,animaux sont au premier plan et essaient de délivrer un message.

Le cheminement de cet homme,la rencontre hors du temps qu'il fera, fait réfléchir longtemps après avoir refermé ce roman graphique, adapté du texte d'Antonio Moresco.Surnaturel,limite angoissant,chacun l'interprétera à sa façon mais il ne peut laisser indifférent,c'est pour moi le cycle de la vie,la traversée du miroir.

Un homme vit seul dans la montagne, dans une maison isolée du bourg, il s'est un peu désociabilsé, vit en marge et n'a plus vraiment de contact avec autrui. Une nuit, il remarque une petite lumière de l'autre côté du vallon, dans une maison abandonnée depuis longtemps. S'agit-il d'extraterrestres ou de quelque phénomène paranormal. Il va y faire une rencontre étrange.
Le dessin de Grégory Panaccione est assez fouillis, avec des couleurs qui enfoncent le regard dans la matière du sous bois, du sol, des ténèbres, un peu fumeux (sfumato), rendant cet univers flou, perdu et presque désespérant. Il est totalement en adéquation avec le thème du récit. Mais difficile d'en dire plus, le rythme est lent et l'ambiance pesante, il faut se laisser embarquer dans l'étrange torpeur, dans cette atmosphère entre sincérité réaliste et fantastique énigmatique. On s'attache au personnages, et les surprises nous bouleversent.
Un beau récit génialement troublant.

Un homme vivant dans une maison assez reculé du village, voit chaque soir une petite lumière s'allumée dans les collines devant chez lui.
Il enquête et part à la recherche de ce qui fait cette lumière. Un petit garçon vivant seul allume sa lampe lorsqu'il rentre seul chez lui. Qui est-il et pourquoi vit-il seul.
Une BD mélancolique et jolie tant par le récit que par les traits du dessin.

C'est poétique, sensible... Une jolie histoire.
Un vieux monsieur qui s'isole du monde, une lumière qui luit dans la nuit sur la montagne d'en face. Un enfant. La nature omniprésente.
C'est subtil et émouvant.
Ça donne envie de découvrir l'oeuvre d'Antonio Moresco.

Masse critique privilégiée - Merci à Babelio et aux Editions Delcourt.

J'aime beaucoup le travail de Grégory Panaccione. Il a une patte, quelque chose qui m'hypnotise dans ses décors, qui me touche dans les expressions de ses personnages.

Il adapte, encore une fois, une oeuvre visiblement très connue mais dont je n'avais jamais entendu parler. Une histoire de solitude, de traumatismes d'enfance, de lien qui se crée.
Je ne suis pas sûre d'avoir bien compris le fin mot de cette histoire. Mes interrogations resteront peut-être sans réponses. J'ai l'impression que quelque chose m'a échappé mais ça reste tout de même une très belle histoire, émotionnellement forte.

Cette lecture m'a donné envie de me plonger dans l'oeuvre originale d'Antonio Moresco.

Contrairement à ce que pourrait laisser penser le titre de la chronique, c'est une lecture profonde !

Cette bande dessinée a accroché mon attention dès les premières pages ! Je me posais déjà mille et une questions sur ce vieux monsieur, sur la lumière en face de chez lui… Plus le récit avançait, et plus je m'en posais.

Les personnages sont vraiment bien travaillés, même s'ils gardent leur part de mystère. Prenons notre petit papi : nous ne savons rien de lui, ni de sa vie avant qu'il vienne s'installer dans ce coin perdu, loin de tout.

L'histoire est touchante, mais pas seulement lors de son dénouement. Elle l'est de la première page à la dernière. Les illustrations sont douces, les thèmes mis en avant bouleversent et mettent la larme à l'oeil, il me semble impossible de ne rien ressentir lors de la lecture de cette bande dessinée.

Certaines révélations m'ont chamboulée, et plusieurs théories peuvent émerger une fois le livre refermé. C'est une très bonne BD, dont l'histoire poursuit son chemin dans votre tête même une fois que vous avez terminé de la lire.

Je ne peux pas trop en dire au risque de dévoiler des passages importants de l'intrigue, mais si vous devez retenir une chose, c'est que vous devez laisser sa chance à ce bouquin. Il se lit très rapidement, ne contient pas énormément de texte, mais transmet beaucoup d'émotions.
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« Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant ».
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Ce sont les mots d'un vieil homme, ridé, barbe blanche... il est assis, dehors, il reste longtemps chaque soir, attendant que la lumière s'éteigne et là chaque nuit.... de l'autre côté, au loin, il aperçoit une petite lumière.

D'après les gens du village où il descend se ravitailler, il n'y a pourtant personne qui vit là-bas. Alors, quelle est cette lumière ? le vieil homme veut en avoir le coeur net, il décide d'aller voir par lui-même.

Je n'ai pas l'intention de t'en dire davantage sur ce bel album de Grégory Panaccione qui adapte ici un roman d'Antonio Moresco. Je te laisse découvrir ce récit troublant et touchant. La nature y est bien présente, le mystère aussi...

Grégory Panaccione y excelle dans un dessin fin aux couleurs naturelles, jouant superbement avec la pénombre, la nuit, la lumière et une nature évoluant au fil des saisons.

"La petite lumière" m'a bousculé, j'hésite encore à tenter de comprendre, d'interpréter... Mais est ce nécessaire ?
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Le parallèle entre le crépuscule d'une vie et celui d'une journée...lorsqu' il s'installe le héro aperçoit alors une petite lumière comme une étoile, une sensation étrange...aller voire ce que c'est, est-ce habité? est- sans risque surtout....un sujet sensible traité avec beaucoup de délicatesse et d'élégance...
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J'ai été un peu désarçonnée par cet album, très beau, infiniment triste et très prenant mais qui me laisse l'impression d'être passée à côté d'une partie de l'histoire. A lire donc sans doute car on se laisse vite emporter par les superbes graphismes et l'atmosphère quelque peu étrange, mais il faut être prêt(e) à ne pas tout comprendre.