La Route

J'ai mis très longtemps à me décider à lire La Route, alors qu'il croupissait depuis des années au fond de mon pense-nouille.
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Tout le monde connaît l'histoire, je suppose.
Quelque part sur terre, probablement aux Etats-Unis, puisqu'on croise Coca et drugstore, un père et son fils marchent...
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La 4e de couverture nous apprend qu'il y a eu l'apocalypse, provoquée par... ah ben on ne le sait pas.
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Et donc pendant des années, on ne sait pas quand non plus du reste, les personnages de l'histoire marchent, se dirigeant vers le sud parce qu'il fait froid en plus de ces cendres qui recouvrent la Terre et tout ce qui s'y trouve.
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Dans ce paysage dévasté, plus aucune flore ni faune. Ne restent que quelques humains qui tentent de survivre avec ce qu'il peut rester des divers pillages survenus au fil du temps.
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Le père et le fils trimbalent leurs maigres possessions dans un caddie et le danger rôdant, ils doivent âprement lutter pour le préserver, contenu et contenant.
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Qu'est-ce que je peux dire à part ça ? Je me suis posé plein de questions qui n'ont pas trouvé de réponses.
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Quelle catastrophe s'est-elle produite ? Quels sont les noms de l'homme et de l'enfant ? La durée de leur périple ? L'âge de l'enfant à leur départ puis à la fin du livre ?
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En bref, je suis la première à en être désolée, mais je me suis ennuyée quasiment tout du long.
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J'aurais eu besoin d'un minimum de contexte, d'explications, pour éprouver quelque chose, au moins pour les personnages, mais rien.
Je suis complètement passée à côté.
Par contre, le style est remarquable... ça ne m'a pas suffi.
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Mon avis étant largement minoritaire vu l'enthousiasme suscité par le roman, nul n'est obligé d'en tenir compte.
Je suis déçue parce que je me souviens avoir beaucoup aimé le film.
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Merci à mes babelpotes pour cette lecture commune :

Ma pépette (HordeDuContrevent), ma Yaya (Yaena), Berni-Chou (Berni_29) notre ingé visio, Anne-So (Dannso), Yanike (BonoChamrousse), Sandrinette (HundredDreams), ma Caro (mcd30) et Patounet dit le Juke-box (Patlancien) accompagné de sa clé de 12.
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Livre trouvé très récemment en boite à livres et quasi en même temps en audiobook. Je ne connais cet auteur que de nom, ça sera ma première lecture de lui mais le résumé m'a beaucoup intrigué. Je ne m'attendais pas à ce que ce soit de la littérature post-apocalyptique.

Au final, je n'en ai pas écouté beaucoup car j'avais beaucoup de mal avec le style de l'auteur. En feuilletant le livre, j'avais déjà remarqué qu'il était spécial au niveau des dialogues, il n'y a pas de tirets. Quand j'ai repris entre ma 2nde et ma 3ème écoute, je ne sais quelle manip j'ai faite mais je suis passée de 30 min à 3h… Eh bien, je n'ai pas eu l'impression de louper grand-chose. le ton était toujours aussi monocorde, il ne se passe finalement pas grand-chose. Les deux personnage sont dépersonnalisés au maximum : l'un est nommé papa ou l'homme et l'autre, l'enfant ou le petit. On ne sait pas où ils vont ni d'où ils viennent ni ce qu'ils ont l'air de fuir… On sait peu de choses du monde dans lequel ils vivent. À part que celui-ci est en piteux état avec des cendres qui voilent en permanence le ciel, qu'ils sont obligés de bouger tout le temps et de se méfier de autres humains. Mis à part ça, on ne sait pas ce qu'il s'est réellement passé… le ton est monocorde, les phrases hachées, répétitives ou monosyllabiques. La plupart du temps, je finissais par ne plus écouter et à penser à autre chose, ce n'est pas bon signe pour un roman.

Comme vous l'aurez compris, ce roman va retourner vite fait en boite à livres, cette histoire et surtout le style de l'auteur ne sont pas faits pour moi. Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis, d'autant plus qu'il a eu un prix Pulitzer… Pour ma part, je passe mon chemin pour cet auteur.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Décidément ce type de lecture ne prend pas avec moi, après ma lecture catastrophique de Bird Box j'ai lu ce week-end La route vu que celui-ci a reçu le prix Pulitzer je m'attendais à quelque chose de différent sur le sujet.

J'ai été déçu et très vite le récit tourne en rond alors certes c'est un roman ou il y a peu d'action vu le décor de fin du monde, mais les protagonistes passent leur journée à faire la même chose.

Je pense que j'ai vraiment calé arrivé à la moitié du livre, me forçant à aller jusqu'au bout, heureusement que le livre est court.

Même la relation père-fils n'a pas trouvé grâce à mes yeux, ni les quelques retours en arrière dans le récit.

Un roman récupéré dans une boite à livres et qui va y retourner aussitôt. Je n'ai pas passé la page 21 de ce titre pourtant iconique. 1/2 étoile simplement pour signifier cet abandon.

J'ai déjà un peu de mal avec le roman d'anticipation en général, mais à cette errance au milieu d'un univers gris cendre décrite en long, en large et en travers, s'ajoute une narration totalement horripilante et barbante. Je reconnais qu'en en lisant si peu, je n'ai pas pu en découvrir la portée philosophique tant louée par certains. Mais quand ça veut pas, ça veux pas et mon voyage avec Cormac McCarthy s'arrête là.

Fait rarissime, ce roman m'est tombé des mains, je ne l'ai pas terminé!
Le style est trop haché, les dialogues quasi tous identiques et pratiquement aucune page sans le mot "gris"!
Bon, d'accord, c'est un roman sur l'apocalypse et je comprends bien qu'il y ait des cendres partout, plus de végétation, presque plus d'humains d'où la pauvreté des échanges mais quel ennui!
J'ai lu les autres critiques qui encensent l'auteur, mais pour ma part, je vais m'arrêter là!

Du titre original The Road parut en 2006. Une fois n'est pas coutume, j'ai vu le film avant de lire le livre. En fait, c'est en voyant le film, que j'ai pu voir qu'il était adapté d'un livre. Alors que le film se regarde bien, voir même plaisant, j'ai trouvé le roman complètement irritant, en fait, c'est le style de l'écrivain qui m'a laissé indifférent au récit. Bien difficile à lire puisque les signes de ponctuation, visiblement il ne connaît pas, ainsi les « » les – sont bannis du romans et les , sont extrêmement rares, ce qui n'est pas forcément choquant puisque les phrases sont courtes, mais les répétions sont légions et surtout agaçant.
Pour l'histoire, puisqu'il y en a une. Il s'agit d'un père voyageant avec son fils dans un monde post-apocalyptique dévasté vraisemblablement par une explosion, ou plusieurs, atomique. On est semble-t-il au USA, ils voyagent a travers le pays vers le sud en quête de fuir l'hiver. Puisqu'il n'y a plus rien à manger, le méchant sont des cannibales et il n'y a plus d'animaux. Une vision bien sombre et triste. Toutefois, j'ai trouvé les 50 dernières pages bien plus passionnantes et mieux écrites. Cependant, je n'ai pas du tout aimé ce livre et le manque de ponctuation s'est révélé être une torture pour les yeux.

Je n'ai pas aimé,
il ne se passe rien, pas d'intrigue, pas d'intérêt ,
des journées qui se ressemblent et recommencent , je me suis ennuyée,
et j'ai abandonné , j'ai lu la fin pour voir un peu ,
bien bof , franchement une perte de temps..
Quelle déception après tout ce que j'avais pu lire sur ce bouquin.

Dans le monde dévasté de l'apocalypse, un jeune homme et son père errent sur une route, affrontant le froid, la pluie, la neige, fuyant toute présence humaine. En un voyage crépusculaire, poussant leur chariot rempli d'objets hétéroclites, ils marchent vers la mer...Malgré les très bonnes critiques que j'ai pu lire sur cet ouvrage, livre qui a reçu le prix Pulitzer en 2007, moi j'ai décroché avant la fin. Je n'ai pas réussi à me plonger dans cet univers de cendre, l'ambiance de ce livre m'a étouffée, impossible de me laisser transporter sur cette route quelque peu trop loin de moi sans doute...

Lecture scolaire obligatoire à relier avec le thème philosophique de l'espace, la lecture de la route ne m'a pas vraiment plu...
Le récit prend place dans un territoire désolé et inconnu, ravagé par l'apocalypse et où seuls subsistent des groupes de "méchants", cannibales et sans pitié. Dans ce monde déserté de toute humanité, un homme et son fils tentent de fuir on ne sait quoi vers on ne sait qui, on ne sait où.
L'absence totale de repères, qu'ils soient nominatifs, géographiques ou historiques n'aide pas à s'immerger dans l'histoire, qui reste monotone, anesthésiante voire ennuyante.
Peu convaincue par la formule donc ; je n'ai pas plus apprécié le style : s'il se veut adapté aux pensées et à l'ambiance du roman, il n'en est pas moins réduit à un vocabulaire faible, simple, plat. L'accumulation de phrases courtes et les innombrables répétitions de "et" ont achevé de gâcher ma lecture.
Un livre peut-être salué par la critique, mais qui me laisse pourtant de marbre.

ennuyeux à souhait
le sujet (l'apocalypse) et les relations humaines que cet événement engendre n'est pas nouveau et nettement mieux traité dans d'autres genres avec ou sans zombies (cf The Survivors, série anglaise ou The Walking Dead, comic américain)
ce livre est d'une platitude déconcertante, il n'y a aucun intérêt à suivre le voyage de cet homme et de cet enfant sur une route, en proie à des hommes devenus cannibales par manque de nourriture
la succession des jours qui se ressemblent est parfaitement marquée par la succession de courts paragraphes qui se ressemblent...rien ne permet d'éclairer le quotidien des héros, ni notre lecture
un style insupportable: peu d'utilisation de la virgule et des phrases construites sur ce modèle "...et...et...et...et..."...insupportable
utilisation de vocabulaire très technique qui nécessite de se plonger toutes les 5 pages dans un dictionnaire: par exemple, venti ou meconium (j'en ai oublié beaucoup); un livre écrit en français classique est plus facile à lire!!!!
problème de traduction ou auteur vraiment ennuyeux, je ne sais pas...
passez votre route et allez voir ailleurs
un prix pullitzer absolument pas mérité