AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,01

sur 934 notes
5
21 avis
4
26 avis
3
7 avis
2
2 avis
1
0 avis
Il n'est jamais aussi bon, ce diable De Maupassant, que quand il jette son dévolu sur les déshérités, les petites gens mesquines ou les pauvres bougres pitoyables.
Comme son nom l'indique, ce recueil explore des directions contradictoires, pas toujours avec le même bonheur, mais il s'agit, à n'en pas douter d'un des bons recueils de l'auteur.
La nouvelle la plus connue du recueil est probablement La Parure, sorte de descente aux enfers d'une brave et belle jeune femme par péché d'orgueil et de paraître, mais ce n'est pas celle qui me plaît le plus dans ce livre.
J'ai mieux aimé les coins glauques que nous dépeint l'auteur, notamment dans L'Ivrogne ou le Gueux, ou bien encore l'absence de sens moral paysan dans le Vieux.
J'élève sans peur ces trois nouvelles en mon panthéon personnel des nouvelles De Maupassant.
Vous y trouverez encore mille ravages des comportements adultérins comme dans le Père, L'Aveu, le Petit, certains souvenirs coloniaux issus des voyages ou rencontres de voyages de l'auteur comme La main ou Tombouctou, les dénonciations de la cruauté infligée aux animaux comme dans Coco ou La Roche Aux Guillemots, mais aussi les jalousies et les souffrances des écorchés de la vie comme dans le Bonheur, Histoire Vraie, La Confession ou Un Lâche, les angoisses du temps qui passe comme dans Souvenir ou Adieu, les vengeances meurtrières comme dans Une Vendetta ou Un Parricide.
Bref, du Maupassant pur jus, qui ne s'intéresse guère qu'aux côtés obscurs qui siègent en chacun de nous.
Le recueil contient au total vingt et une nouvelles et donc en plus des nouvelles sus-mentionnée, vous trouverez également dans ce recueil : le Crime Au Père Boniface, gentille farce sur la naïveté d'un facteur et Rose, une femme de chambre au-dessus de tous soupçons... vraiment tous ?
S'il me faut me prononcer, je considère qu'il s'agit d'un bon recueil mais pas le meilleur de son auteur.
Mais une fois encore, tout ceci, n'est bien sûr que mon avis, c'est à dire, pas grand-chose.

N. B. : il n'est pas impossible que la nouvelle intitulée Histoire Vraie ait fortement inspiré la célèbre chanson "Mirza" de Nino Ferrer, car jugez plutôt :
"Toutes les fois que j'y pense, ça me rappelle Mirza, ma chienne, que j'avais vendue au comte d'Haussonnel et qui revenait tous les jours, dès qu'on la lâchait, tant elle ne pouvait me quitter. À la fin je m'suis fâché et j'ai prié l'comte de la tenir à la chaîne."
Commenter  J’apprécie          901
Mes incursions en littérature classique sont rares, je découvre Guy de Maupassant à la faveur de ce recueil de 21 courtes nouvelles lues sur plusieurs semaines entre deux lectures plus consistantes.
J'ai beaucoup apprécié cette très belle écriture, cette fluidité ainsi que cette facilité à construire des histoires solides en si peu de mots, Guy de Maupassant excelle dans cet exercice ardu qu'est la nouvelle, c'est une évidence.
L'auteur va, à travers la grande variation des thèmes abordés nous faire passer par toute la gamme des émotions en observateur averti de la psychologie de son temps , de l'amour le plus beau à la haine la plus extrême en passant par l'empathie, la cruauté, l'indifférence ou la cupidité.
Une vingtaine de récit qui sont autant d'anecdotes ou de petites histoires bien construites et qui seront dépourvues de justification ou de morale le plus souvent, nous laissant tantôt songeurs, tantôt stupéfaits ou horrifiés.
Je pense que je lirai un autre recueil d'ici peu avant de, pourquoi pas, m'attaquer à un format plus long car j'aime beaucoup le style de l'auteur qui n'a pas tant vieilli que cela.
Commenter  J’apprécie          8421
Guy de Maupassant est devenu célèbre autant par ses textes courts, contes ou nouvelles, que par ses romans. À la lecture de ses Contes du jour et de la nuit, on comprend pourquoi.
L'écriture est plutôt simple et directe, usant sans abuser de dialogues et de narrations à la première personne. Elle a sans doute pris quelques rides (on utiliserait sans doute moins aujourd'hui les déformations de la langue propres à certains protagonistes, par exemple), mais n'a pas trop vieilli.
Les récits manient facilement l'humour et la dérision ils sont souvent noir et violents, mais ils n'oublient jamais l'humanité et la compassion.
Ce n'est sans doute pas le meilleur recueil de contes de l'auteur, mais on ne s'ennuie pas à sa lecture, on y trouve même beaucoup de plaisir !

- J'ai beaucoup aimé : le crime au père Boniface ; La parure ; le bonheur : Une vendetta ; Un parricide ; La roche aux guillemots ; Tombouctou ; Adieu ; Souvenir ;
- J'ai bien aimé : L'aveu ; Un lâche ; le vieux ; L'ivrogne ; le petit le gueux ; Une histoire vraie ; La confession ;
- J'ai moins aimé : Rose ; le père ; Coco ; La main.

Lien : http://michelgiraud.fr/2021/..
Commenter  J’apprécie          661
Les personnages des Maupassant sont des êtres creux, insipides et fragiles, comme des coquilles d'oeuf se tenant sur une pointe d'épingle. Un petit rien, l'équilibre est rompu et le tout est redevenu poussière.
Malgré cela, on finit toujours par se laisser gagner car il ne nous les impose que l'instant de quelques phrases, toutes pleines d'un style à couper le souffle. Car tout est là, chez Maupassant, dans ce style, et, si les personnages ne sont rien, ils ne comptent plus pour nous non plus, car leur être devient ce style même et plus rien d'autre.
In other words : cela ne se lit pas, mais se regarde, sauf si l'on y correspond dans son être même…
Commenter  J’apprécie          530
Il y a quelque chose du paquet de bonbons colorés et délicieusement acidulés dans les recueils de nouvelles De Maupassant : quand on en a gouté une, on a du mal à s'arrêter de piocher dans la diversité des parfums et saveurs de ces textes. C'est d'autant plus vrai avec ces « Contes du jour et de la nuit » car chacune de la vingtaine de nouvelles que compte ce recueil ne faisant qu'une dizaine de pages, on se dit qu'une de plus ne peut faire de tort à sa ligne.

De ce bouquet de saveurs, je retiens le souvenir rémanent de celles qui chatouillent la gorge (dont la joyeuse bouffonnerie « Crime au père Boniface » et la grinçante « le lâche »), celles qui la piquent (« Parricide » ou la vengeance d'un enfant abandonné, ou encore « le vieux » qui n'en finit pas de mourir), celles qui font pleurer les yeux (le renoncement à la richesse pour « le bonheur », la détresse misérable du « Gueux »), celles qui restent coincées dans les dents (comme cette « Rose » qui s'avère l'être bien moins qu'elle n'en a l'air), et plus encore celle qui fait tout cela à la fois (« Adieu ») en traversant le gosier comme l'inexorable passage du temps.

Tant de vie en si peu de lignes, tant de drames en si peu de prose, tant de caractères en si peu de pages, pourquoi se priver ?
Commenter  J’apprécie          430
Contes du jour et de la nuit est un recueil de nouvelles écrites par Guy de Maupassant. Comme il est évoqué dans le titre, ces nouvelles qui relatent des épisodes de la vie quotidienne, sont contrastées, passant du jour à la nuit, du clair à l'obscur. Ce sont parfois des scènes de la vie de tous les jours ou bien des faits divers, de petits tableaux saisis dans le vif où s'agitent des personnages ordinaires ou extraordinaires, tendres ou sordides, mesquins ou généreux, cruels ou malheureux, victimes ou bourreaux... Même les paysages qui accueillent ces courts récits sont baignés de ce contraste. Il y a parfois la lumière berçant le paysage, qui n'est toutefois pas la même lorsqu'il s'agit du Pays de Caux ou bien d'Ajaccio. La mer pareillement, celle de la Manche ou de la Méditerranée, n'a pas les mêmes reflets ici ou là. Et puis parfois la lumière se retire comme une vague, laissant le paysage plongé dans les ténèbres. Même la nature a dans ces contes une manière de vous séduire puis de vous abandonner à votre propre sort, tandis que les coeurs aussi se plongent parfois dans des ténèbres abyssales.
Maupassant n'a pas son pareil pour nous prendre la main et venir nous entraîner dans la réalité crue où la nature humaine peut dévoiler parfois le meilleur comme le pire. Ici, avouons-le d'emblée, c'est tout de même le pire qui domine dans ces nouvelles.
Maupassant est un magnifique peintre de l'âme humaine. En fin observateur et chroniqueur, il nous restitue les personnages de ces nouvelles dans une authenticité saisissante. J'y ai découvert un réalisme cynique qui fait parfois froid dans le dos. L'auteur ne juge pas, il révèle, dévoile ces êtres avides, méchants, idiots, lâches, naïfs, cupides, fragiles, pervers, infidèles, ivrognes, goujats, bon j'arrête là le florilège de qualités ! mais en tous cas ce sont là quelques caractères tels qu'ils sont dans l'ironie de leurs destins... Dans ce désastre, j'ai pensé à cette citation célèbre : « L'homme est un loup pour l'homme ».
Les a-t-il connus, tous ces personnages dépeints ici, ou peut-être du moins celles et ceux qui les ont inspirés ? J'en serai à peine étonné. Certes il y a l'imaginaire de l'écrivain, mais Maupassant a un partis pris, celui d'aller chercher la part sombre du genre humain, gratter là où ça n'est pas beau, là où ça fait mal, là où c'est sombre et glauque...
Un facteur un peu naïf s'agissant des affaires de l'amour, un enfant cruel avec un vieux cheval usé, un vieux qui n'en finit pas de mourir, un enfant abandonné qui demande réparation, un ivrogne qui rentre chez lui, un homme et une femme qui décident de s'aimer contre la destinée qui n'était pas la leur... Parfois on effleure dans ces contes la folie ordinaire.
Dans cette ironie du sort qui fonde bon nombre de ces nouvelles, on pourrait se demander : qui du destin ou de celui qui raconte l'histoire est le plus cruel ?
Autre contraste aussi pertinent que celui du jour et de la nuit : l'illusion de l'instant et les outrages du temps. Terriblement cruel !
Sous les mots et la peinture De Maupassant, connaissant un peu l'auteur, j'ai pensé qu'il n'est pas étonnant de voir les personnages féminins naître, tenter quelques escapades vers un bonheur furtif, croire en l'amour, même s'il est vain, se perdre et s'abimer dans un quotidien qui détruira leurs dernières illusions.
Passés le désir et les premiers émois amoureux, les désillusions viennent vite... « Il n'y a pas d'amour heureux », disait Aragon.
Le bonheur entrevu un soir est-il un mirage, un cauchemar, quelque chose d'éphémère ?
Dans ces contes, l'amour devient vite une pulsion destructrice, éros et thanatos sont ici au rendez-vous.
Parfois le fantastique n'est jamais loin, ou du moins l'inexplicable, aime à préciser un des personnages de cette saisissante nouvelle qu'est La Main.
Parfois je me suis demandé si ces personnages n'étaient pas des marionnettes qui s'agitent dans les mains diaboliques De Maupassant pour son plus grand plaisir tant il m'a semblé sentir presque une jubilation de l'auteur face à la vacuité de l'humanité...
Parfois il confie la narration à d'autres personnages , on sait ce procédé de narration très efficace et ici il fait mouche à plusieurs reprises.
J'ai imaginé Maupassant chasseur de faits divers dans la presse locale. C'est un conteur hors pair, talentueux dans la manière de décrire, autant la beauté et la force de la nature et des paysages que l'insignifiance des personnages qui les habitent.
À la fin de cette lecture, je me suis demandé ce que serait Maupassant de nos jours, quel regard il porterait sur nos faits divers, sur notre humanité ordinaire, quelle serait sa manière de s'en emparer et de les retourner vers nous comme de cruels miroirs...
Commenter  J’apprécie          404
LCI 123 - 133 pages

Lire du Maupassant, particulièrement les contes, c'est comme déguster de la guimauve, l'écoeurant en moins !

Il a l'art de parler des hommes et des femmes dans des écrits courts sans qu'il manque quoique ce soit à la compréhension. Il raconte les misères et les bonheurs des humbles et des bourgeois, moqueur, railleur mais ne condamnant jamais !

Pour certains contes, la chute apparait rapidement et peut amuser ou peiner avant la fin mais ça n'enlève rien à la poésie qui pare tous ses textes et le plaisir toujours renouvelé que j'ai à le lire et le relire

Challenge RIQUIQUI 2021
Challenge XIXème SIECLE 2021
Commenter  J’apprécie          392
Maupassant est décidemment le maître de la nouvelle, il manie ce genre avec art. En peu de pages, il réussit un tour de force. Aux premiers mots, le lecteur se sent happé par l'histoire qu'il nous raconte : il plante le paysage, fixe l'ambiance, nous dévoile ses personnages avec lenteur en gardant leur part de mystère pour la toute fin. On sent que quelque chose se trame, mais rares sont ceux qui en connaissent la teneur. La lecture est souvent oppressante, la tension monte crescendo. Et c'est la chute. Surprenante, toujours.
Des histoires en clair-obscur qui débutent, pour la plupart, par une belle description de la nature environnante souvent lumineuse, et s'assombrissent au fur et à mesure de la lecture. Maupassant y parle des hommes et des femmes de toutes origines ; des paysans de Normandies aux bourgeois de la Riviera, la misère des uns, la fortune des autres, les gens des villes et ceux de la terre.
Il évoque tour à tour l'amour souvent contrarié, la mort indicible mais inévitable, les enfants illégitimes, l'adultère, la jeunesse qu'il confronte fréquemment à la vieillesse – la fuite du temps, incontrôlable – , les apparences trompeuses , l'envie, l'étrangeté, la cupidité... Chez Maupassant, il y a du Baudelaire, du Edgar Alan Poe, du Flaubert, bien sûr. Il rend compte de la bêtise des hommes et de l'horreur qu'elle peut engendrer parfois, si on n'y prend pas garde.
Lire des contes De Maupassant procure une sorte de vertige car si certaines histoires font sourire, d'autres mettent mal à l'aise. Et ces dernières sont enveloppées d'un style incroyable ; des descriptions sublimes et oniriques des paysages à la beauté des femmes, de la tristesse des hommes à leur brutalité... Les Fleurs du Mal résonne sans cesse autour de ces contes. L'écriture romanesque est alerte et belle, tantôt légère, tantôt lourde, entrelaçant le parler pâtois du monde paysan et le phasé pompeux des bourgeois. A travers ses mots, l'auteur nous livre finalement le reflet d'une époque désenchantée.

le recueil compte vingt nouvelles, voici quelques mots sur quatre d'entre elles :

Dans La parure, on sent qu'Emma Bovary n'est pas loin. Une jeune femme envie tant les dames de la bonne société qu'elle se fait prêter par l'une d'elles une ravissante parure pour un soir. Malencontreusement, ce bijou disparaît. Elle et son mari passeront une bonne partie de leur vie à rembourser l'objet. Son rêve qui lui était si cher finit par la ruiner... jusqu'au dernier coup de théâtre qui la détruit totalement.

le vieux se meurt auprès de sa famille. Ses jours sont comptés désormais. Ses proches par soucis d'organisation anticipent les choses en invitant les amis et voisins à venir veiller le vieux. Mais, ce dernier tarde à mourir.

Rose est la nouvelle femme de chambre d'une bourgeoise qui ne tarit pas d'éloges pour elle. Mais, les apparences sont parfois trompeuses !

Dans un parricide, le lecteur suit le supplice d'un enfant illégitime, lâchement abandonné par ses parents dont il deviendra l'assassin.

Lien : http://lesmotsdelafin.wordpr..
Commenter  J’apprécie          350
Ce recueil de contes décortique par des scènes brutales, bestiales, douloureuses, surréalistes, cocasses, mais émouvantes et pleines de bonheur, les sentiments d'amour, et les explosions de violence physique et mentale d'hommes et de femmes.

Entre la délicieuse journée du premier conte et les ténèbres de « l'ivrogne » c'est vraiment le jour et la nuit. Peu de recueils répondent aussi bien à leur titre, car peu sont en même temps si divers et si contrastés.

La nature humaine dépecée et étudiée par la plume De Maupassant. Une plume narquoise, incisive, caustique, narrative qui ne laisse rien passer. Un Maupassant comme on aime !

Entre cynisme et pessimisme, Maupassant nous conte des histoires courtes et plaisantes, diverses et contrastées, passant d'un sujet à l'autre avec autant d'imprévu que de maîtrise.

Pères trop aimant ou pas assez, vieux qui refusent de mourir, ivrognes chancelants, gueux miséreux et fiers, parricides, maris trompés, enfants pervers, ravissantes idiotes, bourgeois mesquins et lâches, paysans cupides et cruels. Chez Maupassant on n'aime pas les autres, mais surtout on ne s'aime pas soi-même.

L'amour, la mort, l'étrange, l'argent, la ville, la campagne, la Corse, la Normandie, la jalousie, l'honnêteté, le couple... on trouve tout cela dans ces contes, courts, vifs et pleins de surprises. Dont beaucoup recèlent une part autobiographique, une imperceptible angoisse, celle de l'auteur devant une réalité qui le fuit....

Ses thèmes, son style, sa construction de ses histoires, ses rebondissements inattendus, ses fins étonnantes, font des « Contes du jour et de la nuit » un recueil de contes excellent comme introduction à l'oeuvre de Guy de Maupassant.

Un vrai régal ! Une lecture hautement recommandée !
Commenter  J’apprécie          260
Guy de Maupassant est un auteur que j'affectionne beaucoup. Je suis toujours passionnée par ses histoires, souvent tragiques, je l'avoue comme dans Une Vie mais aussi heureuses comme dans Bel-Ami. Toutefois, Contes du Jour et de la Nuit est le recueil qui est à l'origine de mon engouement pour cet auteur. En effet, j'ai tellement apprécié ces nouvelles vraiment élégantes, intelligentes et sublimes que je ne voulais plus abandonner Maupassant ! Ayant lu ces contes il y a un certain temps, je ne peux malheureusement pas retranscrir exactement ce que j'ai ressenti lors de cette lecture, ce que je trouve vraiment dommage. Ce que je sais, à coup sûr, c'est que cette lecture m'a laissée un excellent souvenir, puisque longtemps après je me souviens encore de l'émotion dans laquelle je me trouvais en achevant la dernière phrase de la dernière nouvelle puis en refermant ce magnifique livre qui, et c'est certain, ne m'abandonnera pas de sitôt ! Je le conseille à tous, et surtout aux amateurs de la littérature française à la recherche d'émotions fortes.

A lire absolument !!
Commenter  J’apprécie          260





Lecteurs (3928) Voir plus



Quiz Voir plus

Maupassant es-tu là?

Quel écrivain Maupassant eut-il pour maître d'écriture?

Charles Baudelaire
Gustave Flaubert
Barbey d'Aurévilly
Tourgueneff

7 questions
297 lecteurs ont répondu
Thème : Guy de MaupassantCréer un quiz sur ce livre

{* *}