Citations sur I'm not your soulmate, tome 2 : The perfect love (97)
Soudain, il se détache de moi pour fouiller dans ses poches. Il en sort un anneau. Son alliance.
Quoi ?
— Tu ne l’as pas jetée ? demandé-je.
— Non... Même si elle ne représente rien en soi, je n’ai pas réussi à le faire. Je crois que c’est parce que c’est avec ça que tout a commencé pour nous deux.
Sans ce mariage, cette colocation forcée et la mascarade qu’on a menée pendant plusieurs semaines, je crois que nous n’aurions jamais découvert cette force irrépressible entre nous.
Il prend ma main, et place l’anneau au creux de ma paume.
— Je veux que tu le gardes. Pour te rappeler que, peu importe comment j’agis, peu importe ce que je dis, je suis lié à toi. Et je ne peux pas jeter cette vérité dans l’océan.
Je sens ma gorge se nouer alors que je regarde la bague scintiller dans ma paume.
Soudain, une décharge me traverse.
J’allais oublier !
Je plonge les doigts dans ma veste et sors mon alliance.
— Je ne l’avais pas laissée dans ma cabine. Je l’ai cachée parce que j’étais aussi incapable de la jeter. Et j’ai eu du mal à comprendre pourquoi... Tout ce que je sais, c’est que c’était impensable.
(p133)
« Les mots sans les actes, ne sont que des lettres agglutinées entre elles. Tu ne peux pas aimer, sans agir en conséquence. »
— Je ne savais pas que c’était ton genre de fille, lancé-je.
— Oh ! si, si... Elle est intelligente, drôle, rentre-dedans... et t’as vu son cul ?
Un rire nerveux m’échappe.
Je vais le dézinguer.
— Je sais que vous ne vous appréciez pas trop tous les deux mais... je trouve que c’est vraiment une fille impressionnante. Elle a quelque chose.
Oui : un mec. Moi.
(p215)
Je t'aime. Et pas qu'à 98,8 %. Parfois dans la tempête, au milieu des tornades, un rayon de lumière parvient à s'infiltrer, et soudain, l'espoir est là. Parce qu'on se dit que, à l'extérieur, au-delà de ce cataclysme, le jour est présent. Et tôt ou tard, peut-être qu'on le reverra, qu'on le laissera nous baigner de soleil et de sérénité.
« Tu as le choix. »
Pour ces quatre mots, on s'est battus. On s'est démenés, on a pleuré, on a sué, on a espéré de tout notre cœur, et on a tant perdu... afin d'offrir ce monde à nos enfants.
Qu’ils aient le choix aujourd'hui.
Que leur cœur soit le seul narrateur de leur histoire.
Peut-être que je suis injuste, oui. Mais si c'est pour Eliotte, l'injuste devient juste. Le mauvais devient bon. Le mensonge devient vérité. C'est comme ça et pas autrement.
Un cœur de plus en plus uni et fort, pour des millions de battements.
Les mots sans les actes, ne sont que des lettres agglutinées entre elles. Tu ne peux pas aimer, sans agir en conséquence.
Il nous fait faire des choses folles, ce cœur…, murmure-t-il. Un si petit organe qui pèse en tout et pour tout trois cent cinquante grammes.
— Je t’aime. Et pas qu’à 98,8 %.
Parfois dans la tempête, au milieu des tornades, un rayon de lumière parvient à s’infiltrer, et soudain, l’espoir est là. Parce qu’on se dit que, à l’extérieur, au-delà de ce cataclysme, le jour est présent. Et tôt ou tard, peut-être qu’on le reverra, qu’on le laissera nous baigner de soleil et de sérénité.
— Moi aussi, Izaak.
(p439)