Mr Mercedes

Mr Mercedes a été nommé ainsi par les médias suite au meurtre de masse qu'il a commis en fonçant au volant d'une voiture volée sur une foule qui attendait à l'entrée d'un salon de l'emploi.
La police n'a jamais réussi à identifier Mr Mercedes.
Hodges, un des policiers responsables de l'enquête, est en retraite depuis quelques temps, reçoit un courrier provenant de Mr Mercedes.
Voulant redonner un sens à sa vie, Hodges va se remettre en chasse en étant souvent hors des limites de la légalité.

Je n'ai pas été convaincu par l'incursion de Stephen King dans l'univers du polar. Mr Mercedes ressemble à un bon gros blockbuster hollywoodien avec Bruce Willis dans le rôle de Hodges qui court après le méchant psychopathe qui en veut à la terre entière (qui veut bien prendre le rôle du méchant ??), sans oublier la belle héroïne quadra aux charmes de laquelle notre héros succombera avant que celle-ci ne…. boum!


Stop, je ne vais pas trop en dire quand même…
Bref, une histoire pas très originale, des personnages caricaturaux, des rebondissements pas toujours très bien amenés…. On a déjà vu mieux, beaucoup mieux chez monsieur King.

Plat, intéressant mais plat et plutôt chiant. Je pense et j'espère que le King je ne connais pas trop encore à mieux écrit dans sa jeunesse. Mais la, bof... on dirait une série télé un peu chiante, c'est tout.

Heureusement que le ridicule ne tue pas, en lisant ce roman j'ai eu l'impression de regarder une mauvaise série Netflix (comme toute leurs séries sont de vraies daubes vous avez le choix) écrite par un pré-ado en manque d'inspiration. Allo c'est vraiment Stephen King qui a écris ce truc ? S'il voulait écrire un polar ok, mais que ça reste crédible au moins ! Je dois bien l'avouer je me suis rarement autant emmerder à lire un King. Sans doute un de ses pires romans. Une fois de plus je constate que ce qu'il écrit depuis quelques temps à perdu de sa superbe. Les personnages sont gnangnan à souhait quant à l'intrigue... peut-on vraiment appelé ça une intrigue ! Et dire que Stephen King à demandé un coup de main à son fils pour rendre l'histoire crédible. Apparemment lui aussi est à côté de la plaque ! le tueur est un dépressif frustré mais à la fois un génie en informatique et sais se procurer des explosifs comme s'il faisait une course dans un super-marché. le gars n'a fait aucune étude mais il sait quasiment tout faire. Un génie en somme et ça arrive c'est vrai des gens sortent du lot. Sauf que ici Mr. Mercedes est un vrai frustré de la vie. de plus avec les nouvelles mesures contre le terrorisme il arrive à fabriquer une bombe pour éliminer un Boys Band qui à le niveau musical d'Indochine. Rien ne colle dans ce bouquin car rien n'est crédible. le personnage est soit disant un craque en informatique mais à aucun moment l'auteur ne nous le prouve. C'est en fait une sorte du superman du mal qui sait tout faire en plus d'être un vrai débile. La fin du livre est encore plus risible quand on voit qu'il se fait arrêter par deux amateurs de premières qui prennent le relais du vieux croulant de flic qui à aucun moment n'a donné le change. En faite Mr. Mercedes vous montre tout ce qu'il faut éviter pour écrire un bon polar. Il faudrait aussi que Monsieur Bruno Corty du Figaro lise un peu plus de polar avant de faire d'absurde commentaire pour seulement voir apparaitre son noms au dos de la couverture du pire roman de Stephen King...

Ma première critique et surtout ma première grande déception après avoir lu un Stephen King...j'avais l'impression de ragarder un mauvais épisode d' "Esprits Criminels".. Des personnages sans intérêt et un scénario vide.. Je n'en dirai pas plus.. Si vous cherchez un bon polar passez votre chemin..

Je n'ai pas pour habitude de ne pas terminer les livres que je commence, trop curieuse de voir où l'auteur a souhaité emmener son lecteur. Sauf que là, j'ai fini par refermer sans regret ce polar de Stephen King qui m'a bien déçue. Je ne suis pas parvenue à m'approprier le personnage de Mr Mercedes et j'ai trouvé que le style adopté par l'auteur (que j'affectionne pourtant beaucoup) était bien nébuleux, passant d'un moment à un autre de l'enquête en réussissant à me perdre tout à fait.