Citations sur Ce qui nous consume, tome 1 : Fashion Week de Paris (27)
Je suis le vendredi treize. Le chat noir. L'échelle sous laquelle les gens refusent de passer. Le miroir brisé. Et, contre toute attente, Evan semble désireux de se gorger de ma malédiction.
Si jamais tu as besoin d'un allié, pour n'importe quelle guerre, tu me trouveras toujours derrière toi.
Elle m'évoque une étoile filante qui se dirige tout droit vers un trou noir. Sa lumière s'estompe à mesure qu'elle disparait dans les confins de l'univers, et j'ai peur qu'elle séteigne à tout jamais.
C’est comme si j’avais vécu toute ma vie sous anesthésie générale, jusqu’à ce que je rencontre cette fille.
Maintenant que je suis réveillé, j’ai peur de me rendormir et de devoir renoncer à un trésor inestimable.
"Au jeu de l’amour, je suis un enfant équipé d’un cure-dents face à des adultes armés de kalachnikovs."
Il y a un truc qui cloche chez moi. Pour une fois que quelqu'un déclenche une telle tempête d’émotions en mon for intérieur, je devrais m’y accrocher de toutes mes forces. Mais j’ai peur ! De mal faire, de me prendre un mur ou de me rendre définitivement compte que je suis un jouet cassé incapable de ressentir de l’amour.
— Vos yeux vairons. C’est troublant, vous savez ? Je n’avais jamais vu deux couleurs aussi opposées.
— Hétérochromie. Le terme exact est hétérochromie.
— Ouais ! Les yeux vairons, quoi.Evan se renfrogne.
— Même si je m’y essaye de temps à autre, je n’apprécie pas le langage trivial. Surtout dans le domaine médical.
— Détendez-vous, 176 ! Personne ne parle comme le gros Robert, ici.
— Qui est le gros Robert ? Je ne crois pas avoir fait sa connaissance.Un sourire s’invite sur mes lèvres malgré moi. Le temps que je puisse m’expliquer, Evan me coupe l’herbe sous le pied.
— Oh ! vous parliez de vous, peut‑être ? C’est un surnom curieux que le gros Robert, pour une femme.
Ma mâchoire se décroche.
— Vous m’avez bien regardée ! J’ai une tête à m’appeler le gros Robert ?! C’est un dictionnaire, monsieur 16 de plus qu'Einstein. Visiblement, vous avez loupé l’info en apprenant le français.
Il y a un truc qui cloche chez moi. pour une fois que quelqu'un déclenche une telle tempête d'émotions en mon for intérieur, je devrais m'y accrocher de toutes mes forces. Mais j'ai peur! De me faire mal, de me prendre un mur ou de me rendre définitivement compte que je suis un jouer cassé incapable de ressentir de l'amour.
"Il n’y a pas de moteur plus puissant qu’une personne qui fait battre ton cœur."
" C’est comme si j’avais vécu toute ma vie sous anesthésie générale, jusqu’à ce que je rencontre cette fille. Maintenant que je suis réveillé, j’ai peur de me rendormir et de devoir renoncer à un trésor inestimable."