« Les livres sont patients avec ceux qui ont des difficultés d’apprentissage. Le reste du monde ne l’est pas. »
« La plupart des fils se divisent en deux catégories :
Il y a celui qui songe à son père en se disant : « Je déteste ce fils de pute et je jure devant Dieu que je ne serai jamais comme lui. »
Et celui qui aspire à être comme lui : libre, gentil, bien dans sa peau. Il n’a pas peur de lui ressembler par ses paroles et ses actes. Il craint de ne pas être à sa hauteur. »
« Moi, j’ai lu le magazine Fangoria pendant quatre ans. Fangoria – Fango pour les fidèles – était un journal consacré aux films d’horreur comme La Chose de John Carpenter, Shocker de Wes Craven, et quelques autres tirés de romans d’un certain Stephen King. »
Collaborer avec mon père sur cette histoire m’a fait la même impression que pour « Plein gaz ». Vous voyez Bip-Bip ? Eh bien, j’ai toujours le sentiment d’être le coyote ligoté à la roquette, avec mon père dans le rôle du missile.
- "Dans la vie, on fait avec ce qu'on a, et dans le cas d'un écrivain, sa vie, c'est de l'encre. C'est la seule qu'il ait. La mienne était simplement très rouge."
~ Introduction : Tueurs de père en fils. ~
Les livres sont patients avec ceux qui ont des difficultés d'apprentissage. Le reste du monde ne l'est pas.
« Comme je l’ai dit, écrire un livre n’est qu’une question de maths. Écrire un bon livre, ça, c’est une autre histoire. »
- "Sa première épouse disait que cette moue le faisait ressembler à Jack Nicholson brandissant sa hache dans ce fameux film."
~ La gare de Wolverton. ~
- "Les galipettes, ça fait des enfants si on n'utilise pas de protection."
~ Le Carrousel infernal. ~
- "Comme l'a dit un jour Bernard Malamud, le plus important et le plus difficile pour un écrivain, c'est de se créer soi-même ; une fois que vous vous êtes inventé, les histoires découleront naturellement de votre personnalité."
~ Introduction : Tueurs de père en fils. ~