Chère Mamie au pays du confinement

Je suppose que tout le monde se souvient encore du confinement, et je ne sais pas pour vous, mais à l'époque je traînais sur un réseau social où les gens parlent de tout et de rien, surtout de rien du reste.
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Toujous est-il que connaissant beaucoup d'auteurs, j'avais droit quotidiennement à mon lot d'anecdotes, ceux-ci s'étant mis à écrire des textes de la longueur d'une nouvelle.
Je dois reconnaître que certains étaient très amusants et chaque jour, on attendait notre histoire.
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Virginie Grimaldi, que je ne connaissais ni d'Adam ni de la pomme à l'époque, a raconté son confinement en écrivant à sa chère mamie.
Là par contre, les écrits sont très courts, un peu comme les cartes postales qu'elle envoyait à la même mamie, reprises dans le recueil du même titre.
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Au début j'ai souri, évidemment, mais ensuite ça m'a franchement lassée.
Forcément, on tourne en rond et après la découverte, et le comportement que tout un chacun pouvait avoir à l'époque, il n'y a plus grand-choses à raconter.
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J'ai lu ce recueil parce que je l'avais sous la main et qu'il se lit extrêmement vite, mais je me suis ennuyée.
Bien entendu, ce n'est que mon avis, l'humour est personnel, et je vous invite à vous faire votre propre avis.
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Un intermède, un entremet, un trou normand, une courte escapade ludique entre deux ouvrages plus conséquents, voilà comment j'ai appréhendé ce court récit à lire comme on regarde les posts Facebook d'un copain qui a décidé de vous faire rire au quotidien en vous racontant...son confinement.
Bon, ça se lit, rapidement, et ça s'oublie aussi rapidement (peut-être même plus)
C'est une pastille (de vichy) qui vous rafraîchit sur l'instant...et vous donne encore plus soif ensuite, une limonade frappée trop vite engloutie.
Tous les poncifs se bousculent ici: la cohabitation difficile avec les enfants qu'il faut occuper, les poils ou les racines blanches qui deviennent envahissants, le manque de sorties, de visites, de rencontres, les vaines tentatives rayon couture, les pannes de réseau, de libido...
Du déjà vu, du déjà entendu quasiment en temps réel durant le confinement.
Lot de consolation, les bénéfices des ventes seront reversés aux hôpitaux de Paris, c'est déjà ça, comme le chantait Souchon.
A mieux fait !!!

Très déçue par ce livre.
Je m'attendais à quelque chose de plus poétique, philosophique.
Mais là c'est plat, banal, quelquefois drôle mais sans plus. Je suis déçue car j'avais pris plaisir à lire 2 précédents livres de cette auteure.
Je le garde tout de même pour avoir une trace de cette drôle de période qu'on a vécu plus ou moins bien.
Peut être avec le recul, dans quelque temps, je lui redonnerai sa chance... Ne sait on jamais ?

Toujours un plaisir de retrouver la fraîcheur ainsi que la justesse de la plume de Virginie Grimaldi.

Ici, un cas particulier avec des lettres écrites à ses grands-parents durant le confinement. Une bonne dose d'humour durant cette période compliquée.

Si j'ai retrouvé dans ce livre le style humoristique de Virginie Grimaldi qui me plaît beaucoup, je n'y ai malheureusement pas retrouvé les émotions et le sentimentalisme qu'on peut trouver dans ses autres livres pour contrebalancer l'humour et amener le lecteur à réfléchir. Les billets restent gentillets, agréables et très rapides à lire, mais le sujet tourne en rond, les vannes et situations également. Ce livre ne restera pas dans les annales. Il a selon moi pour seul avantage de se lire vite sur un coin de table sans avoir besoin de bien mémoriser le contexte et les avancées d'une intrigue.

J'aime beaucoup Virginie Grimaldi, mais la je dois avouer qu'elle m'a un peu déçue. Pour moi,ce récit n'a aucun intérêt,des banalités de café du coin. Aucun style.
Je n'ai d'ailleurs pas terminé ce livre .
Heureusement m'a réconcilié avec l'auteure