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4,3

sur 5086 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
A quelque chose malheur est bon, aurais-je pu me dire. Mais même pas...

Cela faisait un bon bout de temps que ce livre trônait dans ma Pal. Il faisait même partie de mon challenge ABC.
Eh bien voilà, ça c'est fait ! 15 jours de confinement et je peux enfin dire : " J'ai lu le Nom de la Rose".


Mais, cela m'a paru long, très long...comme un week-end ensoleillé en plein confinement. On tourne en rond, on se dit qu'on irait bien faire une petite virée dans la campagne environnante mais non, tu peux pas !! Tourner les pages de ce roman ne fut pas un calvaire mais je suis bien contente d'avoir fini. ça fait comme une sensation de liberté. le bonheur d'ouvrir un autre roman qui m'ouvrira de nouveaux horizons.

Parce que les moines, qu'ils soient bénédictins ou franciscains ou encore dominicains et qui passent leur temps à savoir si Jésus était pauvre ou pas, s'il faut se placer du côté du Pape ou du côté de l'Empereur, de quelle manière il convient d'éliminer les hérétiques et sur la base de quelle idéologie, on peut se permettre de dire qui est hérétique ou pas, eh bien, ces moines là m'ont passablement ennuyée. Vous allez me dire qu'en toile de fond, il y a une superbe intrigue avec des moines qui meurent mystérieusement et un enquêteur de talent, très intelligent et très intuitif en la personne de Guillaume de Baskerville. Oui, mais je n'aime pas les polars !

Bref, je vous invite à lire les autres analyses sur ce roman car je suis bien incapable de relever le défi d'en écrire une, digne de ce nom et que ce roman, je le sens bien, mérite amplement.
Je l'ai lu en entier. C'est déjà pas si mal, non ?
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Avis plutôt mitigé pour ce monument de la littérature italienne.

L'histoire se passe au 14ème siècle dans une abbaye italienne et est racontée par Adso de Melk un jeune bénédictin qui accompagne Guillaume de Baskerville (un franciscain). Dans l'ensemble, j'ai trouvé la narration assez ennuyeuse et j'ai eu de ce fait beaucoup de mal à accrocher à l'intrigue.

Je n'ai pas trouvé le personnage de Guillaume de Baskerville très sympathique, malgré la référence évidente à Sherlock Holmes et les traits empruntés à Sean Connery. Celui-ci doit élucider la mort successive de 5 moines.

Bien évidemment, quand on a vu le film, on sait de quoi il retourne et il n'y a pas vraiment de surprise. Ceci mis de côté, j'ai beaucoup de mal pour me passionner pour des sujets comme la pauvreté du Christ et les conflits entre les ordres religieux (par exemple).

« La bibliothèque est un grand labyrinthe, signe du labyrinthe du monde. Tu entres et tu ne sais pas si tu en sortiras. »

Pour ma part, une lecture soporifique.


Challenge pavés 2019
Challenge multi-défis 2019
Challenge livre historique 2019
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Je découvre la plume de l'auteur avec ce récit et au début de ma lecture j'ai avancé plutôt rapidement aimant beaucoup lire actuellement des policiers historiques.

J'ai lu les 2/3 du récit en deux jours cependant mon rythme s'est ralenti par la suite, j'ai trouvé que la plume de l'auteur n'est pas la plus accessible que j'ai lu et pourtant j'ai tout de même lu un certain nombre de récit de ce genre mais ici on est loin de la fluidité de la plume d'un Ken Follet par exemple. Les passages fréquents en latin m'ont souvent perdus de même que dans ma vieille édition ceux-ci ne sont pas traduits et l'écriture était vraiment toute petite et bien serré.

Dans ce récit il est pourtant question de meurtre dans une abbaye avec une enquête qui en découle de la part de deux protagonistes Guillaume de Baskerville un peu âgé aidé de Adso de Melk qui lui sert d'aide sur cette enquête. Malheureusement j'ai trouvé celle-ci peu rythmé de ce fait les morts s'enchainent, même si cette enquête se passe dans un temps très lointain celle-ci aurait pu me plaire car il y a un huis-clos mais ici on est loin d'un page turner.

Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé cette lecture mais celle-ci a été plus difficile que ce que j'aurais pensé, je n'ai cependant pas vu le film mais je pense que celui-ci pourrait peut-être me plaire.
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Ce roman est presque comparable à un essai, tant il est dense et recèle d'informations, d'anecdotes, d'idées, de faits historiques... si l'intrigue policière est vraiment très bien menée, cohérente, elle n'est presque qu'une excuse pour le développement de l'histoire du livre et de l'inquisition qui l'englobe.
Eco montre de manière saisissante la rigidification de la pensée dans l'Eglise catholique, le poids de plus en plus lourd de l'Inquisition et une lecture très fermée des Evangiles, aboutissant au crime et à la dissimulation.
Erudit, distrayant (mais oui !), ce livre est à lire et relire.
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Un épais roman bien compliqué à achever. "Le nom de la rose" est bien plus que son intrigue policière, c'est un pavé d'érudition sur la religion chrétienne et ses différents courants théologiques. Quand notre affinité à la religion, en tant qu'organisation institutionnelle forgée par les hommes, se trouve être déjà bien abîmée, il devient très compliqué de supporter toutes ces confrontations idéologico-politiques. Bien évidemment, pour corser l'ensemble, Umberto Eco se fait un plaisir d'intégrer sa série de meurtres en pleine Inquisition. Que j'adore cette période de manipulation bien perverse où tout est fait pour que les victimes aient toujours tort…

Heureusement, le duo d'enquêteurs adoucit cet irritant contexte. Guillaume de Baskerville irradie ce monastère de son ouverture d'esprit, de sa culture et de sa bienveillance. Autant d'éléments qui rattrapent son passif d'inquisiteur. A ses côtés, Adso de Melk joue parfaitement son rôle d'assistant/élève.

Une fois ma lecture achevée, j'ai poussé le vice jusqu'à visionner le film. Je le connaissais de nom et bien qu'on y retrouve, sans surprise, tous les éléments majeurs du roman, le choix de Sean Connery dans le rôle de Guillaume de Baskerville s'avère parfait au point que j'en préfère presque la version cinématographique à la version littéraire, et ce malgré les différences qui les séparent en deux oeuvres quasi-distinctes.

Challenge MULTI-DÉFIS 2019 : Un roman policier historique
Challenge PAVÉS 2019
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Parvenu à l'automne de sa vie, Adso de Melk, moine bénédictin du monastère du même nom, se souvient de sa jeunesse et de ses années de novice. A une certaine époque, alors qu'il accompagnait son maître franciscain Guillaume de Baskerville, Adso a participé à de grands événements.
En compagnie de Guillaume, le jeune homme a pris part à des négociations entre certains moines franciscains et une délégation papale. Partisans de la pauvreté, les franciscains de l'époque blessait l'orgueil de la papauté, qui vivait dans l'opulence à Avignon. La rencontre, censée aplanir les difficultés entre ces deux camps, s'est tenue dans l'une des abbayes de la péninsule italienne, dont Adso choisit de taire le nom.

Car l'enceinte de l'abbaye n'a pas seulement servi de terrain neutre, où Franciscains et légats du Pape se sont livrés à des discussions doctrinales; elle a aussi abrité la folie d'une personne...
A peine arrivés sur place, alors qu'ils attendent encore les autres moines franciscains, Guillaume et son jeune acolyte apprennent, de la bouche de l'Abbé, qu'un des enlumineurs les plus doués de la chrétienté, le jeune Adelme d'Otrante, est mort dans des circonstances plus que suspectes. Démuni face à ce drame qu'il souhaite voir réglé avant l'arrivée de la délégation papale, L Abbé demande à Guillaume, ancien inquisiteur, d'enquêter sur ce sordide événement.
Guillaume accepte, à condition qu'il puisse poser toutes les questions nécessaires à sa compréhension de l'affaire et qu'il obtienne l'autorisation de visiter toute l'abbaye. L'Abbé accepte, mais émet une réserve: la bibliothèque ne sera pas accessible à Guillaume, puisque seuls le bibliothécaire et son aide peuvent y pénétrer. Cette interdiction intrigue tout particulièrement Guillaume...


"Le Nom de la Rose" fait partie de ces romans qui se méritent: difficile à lire, il réclame de son lecteur une concentration constante. Mais, une fois surmontés les passages difficiles, quel plaisir que cette intrigue à la fois policière et historique!
Un grand nombre de personnages viennent interagir avec Guillaume, il faut donc bien les différencier les uns des autres pour comprendre le rôle de chacun dans le récit. Car même le moins important des moines a son rôle jouer dans le dédale psychologique que représente l'abbaye.

Le suspense du roman est tout d'abord entretenu par les nombreuses mort suspectes qui affectent l'abbaye. L'un après l'autre, de nombreux moines vont commencer par disparaître mystérieusement avant d'être retrouvés morts... Et les décès sont tous symboliques puisque, comme le souligne le vieil Alinardo de Grottaferrata, chacun suit l'une des trompettes de l'Apocalypse de Jean.

Mais un autre mystère alimente le rythme du récit: celui de la fameuse bibliothèque qui, d'après les moines, est la plus belle et la plus importante de la chrétienté. Il est interdit de la visiter, au grand dam de Guillaume, fervent lecteur et admirateur des oeuvres d'Aristote. La raison invoquée pour justifier cet interdit est la fragilité des volumes. Mais, très vite, on se rend compte qu'il ne s'agit que d'un prétexte destiné à empêcher l'accès aux immenses savoirs que le bâtiment renferme. Très vite, Guillaume et Adso apprennent, de la bouche des différents moines intérrogés, que la bibliothèque est un véritable labyrinthe rempli d'artifices destinés à égarer les curieux qui tenteraient d'y pénétrer malgré l'interdit. Guillaume a alors l'intuition que tous les événements mystérieux s'étant déjà produits ont un lien avec l'un des livres que renferme l'édifice.
Pour le plus grand bonheur des amateurs de littérature, la bibliothèque est donc l'élément central du Nom de la Rose. Les nombreuses références aux ouvrages connus de Guillaume, grand érudit, ne donnent qu'une envie: redécouvrir l'oeuvre des philosophes dont il parle.

Le côté historique du récit est également très présent. Adso explique ainsi les différends opposant le Pape et les Franciscains, et nous donne de précieuses indications sur le mode de vie des ordres religieux du Moyen Âge.

Les Bénédictins, ordre auquel appartient Adso, vivent selon la règle de saint Benoït. Les abbayes de cet ordre étaient, pour la plupart, composées de large domaines et exerçaient une grande influence économique et religieuse sur la société moyenâgeuse. C'est d'ailleurs le cas de l'abbaye du Nom de la Rose: la richesse du monastère est incontestable et L Abbé en est particulièrement fier. Il faut dire que ce mode de vie particulièrement confortable pour l'époque n'était pas contradictoire à la règle de Saint Benoît, qui n'imposait pas d'austérité particulière aux congrégations religieuses.
Les Franciscains, au contraire, étaient les partisans de la pauvreté du Christ. Selon eux, Jésus ayant été pauvre toute sa vie, l'Eglise, si elle voulait réellement suivre l'enseignement de Dieu, devait elle aussi être pauvre. Bien entendu, cette vision des choses n'était pas pour plaire au Pape de l'époque, Jean XXII, qui avait perfectionné la fiscalité épiscopale et donc enrichi l'Eglise. Suivant la règle de Saint François d'Assise, les Franciscains sont pauvres et heureux de l'être et considèrent donc Jean XXII comme un hérétique, voire comme l'Antéchrist lui-même.

Ces querelles religieuses forment donc la seconde trame d'un récit déjà très animé par l'enquête de Guillaume. Peu à peu, le lecteur se retrouve plongé dans les discussions des différents ordres représentés et finit pas se demander lui-même quel camp il aurait adopté à l'époque. Car, si les Franciscains semblent plus sympathiques et plus proches des gens du peuple, les idées du plus célèbre d'entre eux, Ubertin de Casale, à propos des fraticelles et autres mouvements opposés à l'Eglise, semblent trop tranchées pour être justes. Au milieu de cette tempête doctrinale, c'est finalement Guillaume qui semble détenir la vérité.
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J'ai déjà lu ce livre il y a plus de 20 ans. Je l'avais beaucoup aimé ainsi que le visionnement du film qui en a découlé. Là, je viens de terminer l'écoute du livre. J'ai de nouveau été charmé par cette atmosphère moyenâgeuse si bien décrite et par la vie monastique scandée au rythme des heures. Cependant, je me suis surprise à être agacée par les descriptions longues et les digressions beaucoup trop nombreuses qui ne m'ont pas semblées apporter d'éclairage à l'histoire et m'ont déconcentrées. Je demeure par contre ébahi par ce colossal roman dont l'intrigue policière est parfaitement menée et qui nous montre aussi certains travers de la religion quand l'homme se l'approprie.
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Résumé : Guillaume est un ancien inquisiteur, qui se rend dans une abbaye suite à un meurtre, accompagné de son novice Adso. A la première, se succèdent d'autres morts suspectes toutes semblant avoir un lien avec la bibliothèque. Grand lieu sacré et inaccessible, qui renferme de lourds secrets. L'arrivée de l'inquisiteur du pape complexifie les relations et l'intrigue.

Le mot de la fin : Je ne me suis pas facilité la tâche en choisissant de le lire en italien. J'avais déjà lu quelques livres en VO car je parle italien, mais alors là… C'était une idée des plus mauvaises, car 500 pages de termes religieux dans une langue étrangère ça fait mal ^^.

La lecture a donc été fastidieuse. Je n'ai pas accroché à l'histoire, le style polar médiéval n'est pas pour moi (il fallait que j'essaie pour le savoir 😉 ). Par contre, les développements philosophiques ont été un véritable régal et je suis contente de l'avoir lu pour cela. Les débats sur le rire, sur l'amour et encore sur la femme, resteront longtemps dans ma mémoire. de même, la bibliothèque et le discours sur les hérétiques permettent de soulever de nombreuses interrogations, problèmes de fond, comme par exemple son classement des ouvrages sarrasins. Il y a de nombreuses parties consacrées à la théologie, aux rites, aux symboliques qui sont très intrigantes et intéressantes. Cette précision et cette fascination sont sans doute dues au fait que la sémiotique est la spécialité de l'auteur. Eco écrit avec beaucoup d'humour ce qui permet de donner un peu de légèreté au discours. Cela s'identifie avec le nom de Guillaume Baskerville qui est un clin d'oeil à l'oeuvre de Sir Arthur Conan Doyle.
Lien : http://www.lesmiscellaneesde..
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Ce roman réussi, plein d'action et de rebondissements, emprunte sa forme générale au genre policier, ce qui garantit au lecteur le plaisir de l'intrigue et du suspense. Cependant, pour éviter d'être relégué dans les enfers de la littérature populaire, l'auteur renouvelle le genre policier en le plaçant dans un cadre inhabituel, l'Italie médiévale, annonçant par là les futures séries de polards à la chinoise (le juge Ti) ou à l'anglo-saxonne (frère Cadfael). Il met à profit sa grande érudition pour construire un monde intellectuel médiéval disparu, et au plaisir du policier s'ajoutera celui du divertissement érudit, plein d'allusions à l'imagerie fantastique de la Bibliothèque-monde, popularisé par Jorge Luis Borges et ses successeurs. Tout ceci ne suffirait pas à expliquer le grand succès critique du livre, qui peut décourager le lecteur de polards par sa longueur et sa grande science, son ironie savante, de même que la presse littéraire, dont on sait qu'elle lit peu. Il fallait un troisième ingrédient pour lancer l'entreprise : ce sera l'anticléricalisme et la haine politiquement correcte du christianisme qui anime le livre. L'adaptation filmique est venue dégager l'idéologie essentielle du livre, cadrer les esprits et persuader le public qu'un ouvrage antichrétien est nécessairement bon et moral. le tout "a pris" pour faire le succès de librairie que l'on sait.
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Après avoir lu "Le pendule de Foucault", j'avais de l'appréhension à commencer "Le nom de la rose" mais mes craintes se sont évanouies après quelques pages. J'ai tout de suite adhéré à ce curieux polar médiéval !

L'ancien inquisiteur Guillaume de Baskerville - très réputé pour son intelligence - et son jeune secrétaire nommé Adso sont amenés à se rendre dans une abbaye, célèbre pour la richesse et la grandeur de sa bibliothèque. Leur arrivée coïncide avec une mort étrange, celle d'un moine retrouvé au pied des murailles. L'abbé prie alors Guillaume de mener l'enquête. Malheureusement, chaque jour apporte son lot de rebondissements et l'affaire se complique à chaque fois un peu plus.

Je me suis vite attachée au duo que forment Guillaume et Adso, ils se complètent à merveille. Guillaume est le roi du raisonnement, son érudition et son intelligence sont impressionnante et frisent le surnaturel. Adso, lui, est un jeune novice un peu naïf mais ayant également un vrai potentiel pour résoudre des énigmes. Il y a un troisième personnage que j'ai apprécié : la bibliothèque. Personne, hormis le bibliothécaire, n'y a accès et pourtant sa présence est omniprésente. Nombreux sont ceux qui aimeraient s'y rendre, quitte à prendre des risques. Un mystère plane sur elle, des "légendes" courent à son sujet. Les livres (et les secrets qu'ils renferment) ont énormément d'importance dans ce roman, les hommes sont prêts à tuer pour eux.

L'écriture d'Umberto Eco est très dense. Je suis vraiment admirative de la richesse de ses descriptions (qui s'étalent parfois sur plusieurs pages). Il faut pouvoir se concentrer pour bien suivre le récit mais, une fois qu'on est dedans, c'est passionnant. Si l'on ne se trouve pas dans un environnement calme, la lecture devient laborieuse. J'en ai fait l'expérience en lisant dans un train ou en lisant dans un état d'extrême fatigue, le ressenti n'est alors plus du tout le même et je me suis sentie perdue. Je regrette l'absence de notes de bas de page pour les phrases en latin, je n'ai fait que deux ans de latin il y a longtemps et ce n'est pas suffisant pour tout comprendre.

Cette lecture ne m'a pas spécialement transportée mais je suis contente d'avoir lu ce classique tant conseillé par l'une de mes profs de littérature ! Cela me donne maintenant envie de découvrir le film...
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