Une nuit à la fête foraine est un moment d'enfance partagé par petits et grands.
On cède tous aux charmes des lumières, on se laisse porter par l'enthousiasme ambiant très communicateur, on rêve déja, de tourner, de tamponner côte à côte, de glisser de tout là-haut, de partager ensemble des sensations à s'en faire crever la panse, les yeux et les tympans.
La première de couverture de "
La nuit de la fête foraine" répondra déja à un besoin d'onirisme de la part des lecteurs: une bande d'animaux sauvages chevauchent un manège de chevaux blanc et majestueux. Les lumières de l'attraction illumineront la nuit, tandis qu'une guirlande d'étoiles formera des constellations de paysages urbains tout autour.
L'aventure sera exempt de texte, il y aura à ressentir.
L'histoire.
Une bande d'animaux des bois joueront les resquilleurs dans une fête foraine au départ des employés et des clients.
Manèges et pop-corn à gogo.
C'est extra. le réalisme et l'onirisme concourent ensemble pour nous divertir, les animaux se tiendront sur leurs pattes arrières et mettront tout en marche pour faire leur fête.
Il y aura ceux qui profiteront et ceux qui passeront derrière les stands, de maisons hantés, de pêche aux canards, de valses de tasses géantes.
Toutes les vues seront sublimes, nous prendrons autant de plaisir que si ça avait été nous à leur place.
On profitera sur des images à l'italienne de jeux de contre-jour coloré, c'est joyeux et lumineux.
La fin continuera de nous faire sourire, avec ses animaux très respectueux du travail des employés sur l'entretien.
On ne se douterait qu'un si petit format puisse contenir autant de magie.
Bravo aux auteurs
Gidéon Sterer et
Mariachiara di Giorgio.