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4,09

sur 682 notes
"Matrices " a constitué pour moi l'exemple même du trés bon roman noir .Abordant des sujets d'une extrème gravité et que je vous laisse découvrir , ce roman s'est avéré être un véritable " page-turner"dont l'intérêt ne baisse jamais vraiment si ce n'est pour les besoins ponctuels d'une enquête sacrément opaque et bien ficelée .
Finalement , assez peu de personnages sont mis en scène et la plupart d'entre eux sont particulièrement bien analysés , présentant nombre de qualités ou défauts propres à l'être humain .Chacun d'entre eux suit une voie et nous les empruntons toutes jusqu'à un dénouement final qui , tout en restant ouvert , se veut aussi possible pour un lecteur un peu pointilleux ou simplement pas convaincu .Pour ma part , je me suis tout à fait satisfait de l'épilogue , pas forcément enclin à poursuivre ce chemin difficile qui pourrait devenir redondant donc moins percutant avec une suite . Mais ...
Le style est parfaitement clair , le tout , mêlant savamment récit et dialogues est intéressant et surtout plein de rythme et de découvertes .Les ruptures spacio-temporelles qui s'intercalent pour présenter le cursus de certains personnages , ajoute du piment à l'ensemble ,nous permet d'affiner notre réflexion et les points de vue croisés entre policiers et victimes ou criminels potentiels donnent au récit sinon toute crédibilité , du moins grand son intérêt .
De quoi ça parle ? Ben de tout ce que je viens de vous dire . Mais encore ?Figurez - vous que je manque de place alors je vous renvoie ...à la quatrième de couverture .
Allez , à trés bientôt , amis et amies , je fonce vers une autre lecture .Le Pére Noël va passer , il me faut lui faire de la place .A bientôt .
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Je remercie tout d'abord les Editions Hachette et Babelio pour l'envoi de ce roman dans le cadre d'une Masse critique. Je ne connaissais pas cette auteure mais j'en avais entendu parler par une blogueuse « Livresse noire ». de plus, le sujet de la GPA, qui est au coeur de cette histoire, m'intéresse.

L'intrigue commence fort avec cette jeune femme enceinte de 8 mois qui s'est enfuie dont on ne sait où, qui fuit on ne sait qui et qui, heurtée par une camionnette par une nuit de tempête, meurt après avoir dit ces mots : « Escape from the car, save the others ». Les deux gendarmes qui vont enquêter, vont se retrouver bientôt dans un trafic de GPA : des jeunes femmes sont séquestrées quelque part, le temps de porter un enfant pour des couples stériles. Qui organise ce trafic, quels sont les intermédiaires, qui sont les parents qui ont accepté de recourir à ce « service », que deviennent les jeunes femmes après leur accouchement et surtout qui est cette jeune femme ? Autant de questions qui vont hanter Louise Caumont et la pousser à mettre un terme à ce trafic immonde.
De plus, c'est un roman choral : on entend la voix d'une jeune femme enceinte, séquestrée quelque part et qui se demande avec angoisse ce qu'il adviendra d'elle après son accouchement ; on entend celle d'un homme particulièrement antipathique qui est victime d'un chantage ; on entend celle de Louise Caumont pour qui l'affaire est douloureuse car elle la renvoie à son passé. Toutes ces voix s'entremêlent et se rejoignent pour nous donner un dénouement de choc.

J'ai donc beaucoup aimé l'histoire, par contre il y a des faiblesses dans l'écriture : des dialogues trop convenus qui nuisent parfois à l'intensité du sujet, le personnage de Louise Caumont qui n'est pas assez développé, on a du mal à ressentir de l'empathie pour elle, alors qu'elle a vécu un drame. A lire pour l'intrigue.

Challenge Multi-défis 2022
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Céline Denjean nous a encore concocté un roman des plus complexe.

Une jeune femme enceinte de plusieurs mois se fait renverser par une voiture. Ses derniers mots seront "Save the others".
Qui est-elle et d'où vient-elle ?
L'enquête est confiée aux gendarmes Louise Caumont et Violaine Menou.
Elles vont découvrir une marque sur l'omoplate de la victime et bien pire une fois l'autopsie réalisée.

Céline Denjean nous fait évoluer autour de la maternité et de ce qui est légal ou pas en France.
FIV, GPA...le désir de grossesse aussi bien que le désir de transmettre son nom. L'argent peut tout acheter ou presque.
L'autrice alterne les chapitres entre certains personnages en France, sans nous dévoiler leur nom pour certains au départ, bien sûr et le Nigéria où l'on suit l'une de ces jeunes filles qui pense échapper au pire tout en ayant toujours des doutes.

Ce que j'aime chez cette autrice, c'est qu'elle pousse loin ses recherches pour nous livrer une histoire plausible.
Elle nous lance sur plusieurs pistes en même temps et on se demande comment elles vont enfin pouvoir se rejoindre.


Encore un roman qu'on a du mal à lâcher. Un très bon thriller, indépendant des autres romans de l'autrice.
Mais je vous recommande tous les romans de Céline Denjean.
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Une jeune femme enceinte fuyant désespérément est percutée par une voiture sur une petite route pyrénéenne en pleine tempête. Ce pourrait être un accident banal si ce n'est que personne ne semble la connaître et qu'aucune personne n'est portée disparue dans la région. Et puis pourquoi le médecin qui lui a porté assistance l'a-t-il entendue murmurer dans un dernier souffle "save the others" ?

Deuxième lecture d'un polar de Céline Denjean pour moi après l'excellentissime Cheptel et encore une fois je n'ai pas été déçue. Cette auteure tranche vraiment dans le paysage parfois morose du thriller contemporain ! Une histoire qui paraît toute simple et pourtant dès les premiers chapitres vous êtes dans l'ambiance : dans la peau de cette jeune inconnue, fuyant en pleine tempête, épuisée mais continuant sa course, seul espoir pour s'en sortir. Et puis dans ce petit commissariat pyrénéen avec un duo d'enquêtrices de choc, Louise, qui semble cacher derrière des manières bourrues et une indifférence affichée un traumatisme ancien, et Violaine son équipière, seule à avoir réussi à l'apprivoiser. Tous sont débordés, les nuits blanches s'enchainent, les moyens manquent et pourtant les 2 femmes et leur équipe vont avoir à coeur de ne pas abandonner cette inconnue, de tout faire pour essayer de résoudre le mystère et lui redonner une identité.

C'est un roman que j'ai trouvé vraiment plaisant à lire, les chapitres s'emboîtent avec juste le bon rythme, suffisamment lent pour nous laisser le temps d'en profiter et faire monter la tension, et sans que l'on s'ennuie une seule seconde. le style de l'autrice est efficace, sans chichi, mais contribue également à nous mettre dans l'ambiance et à nous faire ressentir le stress puis l'horreur des événements que l'on découvre petit à petit. Comme dans le Cheptel, les histoires s'emboîtent et on découvre des bribes qui s'entrecroisent et vont peu à peu se rejoindre, une excellente incitation à tourner les pages à toute allure ! Pas de complaisance ici, l'autrice sait trouver les mots justes pour décrire des faits très noirs sans aucun voyeurisme et de manière suffisamment documentée pour qu'on n'ait pas l'impression que ce récit sert juste de support à une intrigue policière de plus. Seul petit bémol, l'histoire présentait quelques ressemblances avec le Cheptel et donc l'effet de surprise a un peu moins joué pour moi.

Bref encore une excellente lecture avec ce thriller efficace, bien écrit et prenant, tout ce qu'on demande à un bon roman policier. Cette autrice fait définitivement partie de mes chouchoutes et je pense que je ne vais pas attendre trop longtemps avant de lire un autre de ses titres ! A découvrir si vous n'avez pas encore eu l'occasion de vous régaler avec ses romans.
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Louise Caumont, Violaine Menou, Thierry Saint-Orens. Ils sont trois gendarmes qui travaillent ensemble. Louise est le chef, la plus âgée. Elle est d'une rigueur toute militaire. Célibataire, elle vit seule avec son chat, et peine à répondre aux invitations de Violaine, de Thierry, voir à comprendre le mode de vie de cette jeune génération, qui s'engage tôt, qui fait les choses dans l'ordre et dans les règles (mariage, maison, enfants), elle qui n'est jamais parvenue à parler de son douloureux passé. C'est sa nouvelle enquête qui lui permettra - enfin - d'ouvrir les vannes. Mais quelle enquête.
Une jeune femme enceinte de huit mois est renversée par une voiture, au cours d'une violente tempête. Avant de mourir, elle a le temps de murmurer : "Save the others". Commence alors un travail de fourmi pour tenter de savoir qui était cette jeune femme, d'où elle venait, et pour le compte de qui elle portait cet enfant. Oui, la jeune victime était enceinte, mais c'était une GPA : autant dire que retrouver sa trace, et retrouver la trace de ceux à cause de qui elle était enceinte n'est pas simple.

Les mots que j'ai employés orientent, bien sûr, laissent à entendre mon point de vue sur la GPA. Jusqu'où certaines personnes sont-elles prêtes à aller pour avoir un enfant ? Moi, nulle part. Certaines personnes, très loin. Ces personnes ne désirent pas un enfant, elles désirent un enfant qui soit génétiquement le leur. Je suis sévère ? Oui. Parce que ce ne sont pas elles qui prennent des risques au cours de la grossesse, c'est la mère porteuse, c'est elle qui subira la grossesse, l'accouchement, et le post-partum, qui n'est jamais évoqué quand on parle de GPA "éthique" comme si tout s'arrêtait - physiquement - pour la femme après son accouchement.
Et si la GPA devenait un nouveau business bien lucratif pour de nouveaux trafiquants de chair humaine, si elle devenait un nouveau moyen d'exploiter les femmes, encore et toujours, de rentabiliser au maximum leur corps ?  Il existait déjà tant de moyen pour les trafiquants. La prostitution a bien des visages, et je me dis que certaines citations, sur les films pornographiques, feront tiquer certains lecteurs. Et pourtant, elles nous rappellent ce qu'est vraiment l'univers de la pornographie : "à y bien regarder, un film porno n'est rien d'autres qu'une passe sans fin, offertes à la concupiscence de centaines d'inconnus.... ". de même, en ce qui concerne la prostitution : la pénalisation de la clientèle n'a pas du tout amélioré le sort des prostituées (voir les chiffres donnés, via Louise Caumont, par l'autrice).

L'enquête est lente à se mettre en place, parce que les enquêteurs, qui sont bientôt rejoints par le major Vanessa Roumieu et le major Farid Benchik, doivent chercher partout, et qu'ils ne peuvent pas penser à tout. Les trafiquants non plus, ce qui est presque rassurants : c'est quand ils commettent des erreurs qu'on peut retrouver leurs pistes. C'est dans la seconde partie du récit que le rythme s'accélère, que les récits secondaires rejoignent le récit principal, que certains faits prennent sens, parfois même cruellement.
A travers Matrices, l'autrice nous interroge aussi sur la parentalité. Ce n'est pas tout de vouloir un enfant, il faut aussi savoir prendre soin de lui une fois qu'il est là, et force est de constater que ce n'est pas toujours le cas, que la violence éducative ordinaire n'est pas toujours visible au contraire de ses conséquences. Il faut aussi voir ce que l'on veut transmettre à son enfant, ce que l'on est prêt à faire - ou pas - pour qu'il vive sa vie du mieux possible. Vastes soucis. Les réponses données ne sont pas toujours celles que l'on attendait.
A lire si vous aimez les polars qui accrochent et interrogent sur les maux de notre société.
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Nativité
Lire un polar de Céline Denjean est un plaisir que je me réserve annuellement depuis que j'ai découvert cette auteure (grâce à un ami –merci Jérôme !).
En ouvrant Matrices, j'ai eu un (très court) instant de doute : n'allais-je pas me retrouver avec un autre « le Cheptel » ? Il n'en est rien, l'intrigue est bien différente même si les thèmes de prédilection de Céline Denjean sont présents (les violences faites aux femmes notamment).
Une jeune femme est renversée par une voiture un soir de tempête dans la région Tarbaise. L'automobiliste impliqué est paniqué, fort heureusement arrive une voiture conduite par un médecin qui prodigue à la blessée les premiers secours. Hélas, elle décède peu avant l'arrivée des secours : elle a juste eu le temps de prononcer une phrase en anglais « save the others »… L'affaire est confiée à la Brigade de Recherches de Tarbes : la major Louise Caumont, son adjointe Violaine et le « petit dernier » Thierry. Surchargés de travail, les trois gendarmes prennent cette enquête à coeur : la jeune femme africaine, semble-t-il, était enceinte, et d'un bébé qui n'avait rien en commun avec elle. Une mère porteuse alors… Et quid de ce « branding » un marquage au fer rouge sur son épaule ?
Comme dans ses polars précédents, Céline Denjean nous emporte dans une enquête de haut vol. Une intrigue passionnante, des personnages à la psychologie fouillée, un suspens qui va crescendo : tout est réuni pour faire de ce bouquin un excellent moment de lecture.
Qui plus est le thème central, celui de la traite d'êtres humains (plus précisément la traite des femmes qui telles les esclaves du XIXème siècle sont arrachées de leurs terres natales –ici le Nigéria- pour être « utilisées » en occident, comme du bétail) est terriblement actuel et traité de façon poignante et réaliste. Les réseaux mafieux qui exploitent sans aucun scrupule de jeunes femmes (qui n'ont guère le choix pour espérer –vainement- échapper à une misère abjecte) sont au coeur de ce polar très réussi : prostitution, pornographie, et au delà de toute violence, la gestation pour autrui forcée.
J'ai beaucoup aimé le personnage de la major Louise Caumont : une femme blessée qui s'est construit une carapace pour tenter de résister à la souffrance et que cette enquête va toucher en plein coeur.
Un polar profondément humain.
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Agréable première lecture
d'un roman de Céline Denjean.
Prostitution, trafic de mères porteuses..
On avance dans du très lourd..
L'écriture épouse le style journalistique.
Les personnages sont attachants .
Encore une flic au passé affligé
d'une batterie de casseroles ...
Louise est du genre sympathique
cheffe, mais pas.. misogyne ..
Le déployé du récit accuse
quelques lambineries...
L'Occitanie, cadre géographique de l'enquête
flatte notre soupçon de chauvinisme..
Bref, un bon moment de lecture.




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Les missives de Fanny H
Dans les Pyrénées, lors d'une tempête en plein mois de décembre, une jeune femme de couleur, enceinte, est renversée sur la route et décèdera des suites de ses blessures.
Commence alors le début d'une enquête extrêmement longue et minutieuse pour la gendarmerie. C'est l'équipe du major Louise Caumont qui en sera chargée : Violaine Menou (la meilleure amie de Louise), Thierry, Farid et Vanessa. le strict, mais juste, commandant Garnier sera beaucoup plus prudent et devra freiner souvent l'emballement du major Caumont.
Que se cache-t-il derrière cette victime marquée au fer rouge ? Pourquoi n'y-a-t-il aucune correspondance ADN avec l'enfant qu'elle portait ? Qu'est-ce que la Confrérie des Nouveaux Croisés avec, à sa tête, un baron ? Une affaire terrible et violente va s'ouvrir peu à peu à cette équipe de gendarmes plutôt démunie. Leurs nerfs seront mis à rude épreuve et ils devront rester soudés plus que jamais face à ce qu'ils vont découvrir et surtout face aux énormes difficultés qu'ils rencontreront.
« Prisonnières jusqu'à ce que la vie naisse dans leur ventre », cette phrase à peine lue, je savais que j'allais commencer un livre qui risquait d'être difficile, connaissant l'auteure, et la quatrième de couverture qui annonce un sujet choc.

Matrices c'est soixante petits chapitres avec, à chaque fois, le titre annonciateur de ce qu'il va se passer, oui mais, de quelle façon ?
Nous croiserons une confrérie associée à l'idéologie nazie. Nous suivrons l'histoire d'Obi Mwapa, jeune nigérienne, de l'enfance à l'âge adulte, en passant par l'esclavagisme moderne, les réseaux de prostitution hyper organisés ainsi que les « fermes à bébés ».
C'est une vraie enquête que nous propose Céline Denjean en nous démontrant la difficulté de mener de telles affaires et la nécessité absolue de posséder plusieurs talents réunis et donc plusieurs cerveaux. Comment vivre normalement alors que de tels dossiers sont en cours pour les forces de l'ordre ? Respect !
Avec Matrices, nous sommes dans le noir, sordide et abjecte. Pas d'âme, pas d'humanité, du moins pour les esclavagistes et les proxénètes.
Céline Denjean a dû faire beaucoup de recherches qui ont dû être assez éprouvantes je pense car elle n'a pas choisi un sujet facile et l'histoire est basée sur des faits réels (réseaux de prostitution Niger-France démantelé). J'ai hâte de pouvoir en discuter avec !
A l'opposé, il y a cette belle l'amitié qui lie ces deux femmes gendarmes, Louise et Violaine. Elles se complètent parfaitement.
Pendant cette lecture, je suis passée par plusieurs sentiments, dont l'écoeurement, la rage, la colère, la tristesse et surtout celui d'impuissance face à de telles cruautés… Matrices n'est pas un polar ou un thriller classique. C'est un cri, celui de toutes ces femmes victimes de ces trafics monstrueux. Ce livre m'a profondément remué, il ne me laissera pas indemne.


(Merci beaucoup à Réjane des éditions Marabout)
Lien : https://collectifpolar.fr/20..
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Bonjour les babeliophiles petit retour sur ma lecture de 382 pages sur ma liseuse.
Voulant à tout prix lire "Chatiment" le dernier Céline Denjean j'ai vu que c'était le troisième opus d'une série avec Louise Caumont donc pour une fois je me suis dit je vais commencer dans l'ordre. C'est mieux non???
L'auteure soulève avec ce thriller des questions importantes sur la procréation assistée, les inégalités sociales et le trafic des femmes dans un pays où l'argent est roi. Encore une gendarme avec un passé douloureux (décidément) qui va essayer de découvrir ce trafic de bébés et de femmes. Certains passages sont un peu trop long peut être pour mieux nous faire entrer dans la peau des personnages et une fin un peu trop rapide à mon goût mais j'ai passé un agreable moment de lecture et maintenant je passe au T2 Precipice.
Toutefois, comme je le précise toujours, ceci est purement personnel.

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Premier roman que je lis de cette auteure et quel plaisir, un page-turner qui se lit trop vite.

Un thriller sacrément bien ficelé qui dès les premières pages m'a happé. Une écriture fluide et plaisante, des chapitres courts qui donnent un très bon rythme. A aucun moment je ne me suis ennuyée.
On se prend au jeu d'essayer de deviner quelles sont les personnes impliquées et jusqu'à quel point. J'avais décelé certaines choses.

On plonge dans le trafic d'êtres humains assez ignoble et qui malheureusement ne relèvent pas complètement de la fiction sur certains aspects.

Je lirais sans aucun doute d'autres romans de Céline Denjean.

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