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Expert bande dessinée

Cet insigne distingue les amoureux des planches et des strips, des bulles et des cases. Des classiques aux comics, du roman graphique au franco-belge, le neuvième art n'a pas de secret pour eux.
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Les meilleurs   Dernières critiques
Peindre avec les lions

C'est passionnant de découvrir ce que pouvait être la vie des artistes de la préhistoire qui ont peint les grottes.



A travers l'histoire d'Ellé, les deux auteurs donnent vie aux hommes et aux femmes de cette lointaine époque : habitat, outils, vêtements, chasse, cueillette, cérémonies, mythes, rassemblements...

Le récit se concentre essentiellement sur la parcours d'Ellé, artiste traceuse, depuis son enfance dans un clan de chasseur jusqu'à sa grande œuvre (dans la grotte Chauvet), en passant par l'apprentissage avec des jeunes issus d'autres clans, le long voyage jusqu'à son nouveau clan dont elle sera la traceuse...



Les dessins sont doux, aussi bien pour les traits que pour les couleurs. Cela m'a semblé presque terne parfois. J'aurais peut-être aimé un peu plus d'éclat ou de lumière pour apporter de l'énergie au récit.



Une belle découverte qui frappe l'imaginaire.



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Martin Milan - Intégrale, tome 2

Le festival Martin Milan continue dans ce Tome 2 de l'intégrale.

Christian Godard offre au lecteur 6 récits magnifiques dont 5 exceptionnels et 1 au-dessus des autres encore pré publiés dans l'hebdomadaire Tintin entre 1971 et 1977:



- Miss Radada, avec une vieille aviatrice qui sauvera la vie de Martin Milan.



-L'émir au sept bédouins, dans lequel Martin Milan va aider un jeune homme à vaincre sa peur et devenir un chef.



-Il s'appelait Jérôme, un récit d'une indicible tristesse et d'une nostalgie des souvenirs d'enfance. Martin milan retrouve son ami Jérôme en partance pour un long voyage. Bouleversant. C'est celui-là, le préféré d'Horusfonck!



-Les hommes de la boue, sur une île perdue où un petit peuple attend le Dieu-Cargo qui doit revenir. Ce rêve se réalisera-t-il?



- L'impossible à portée de la main, et la rencontre entre Martin Milan perdu et au bord de la mort, avec un être venu d'ailleurs.



- Mille ans pour une agonie, ou le vieil homme richissime qui ne veut pas mourir et emmener Martin Milan dans une folie cryogène.



Un très beau travail, à l'adresse des lecteurs choyés de l'hebdomadaire des 7 à 77 ans. Heureuse époque.



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Colonisation, tome 8 : Prédiction

Bon, je vais finir la série.

Mais maintenant, cela devient un chemin de croix.

Il n'y a rien, absolument aucune originalité, aucun attrait à ce volume. Des scènes de bataille. Des pérégrinations sur une planète non colonisée. C'est fade, quasi insipide. Trop de personnages donc aucune profondeur psychologique.

Heureusement, de dessin et les couleurs sauvent l'ensemble. C'est au moins beau à regarder.
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40 éléphants, tome 2 : Maggie Passe muraille

Série très sympa sur la pègre londonienne dans les années 20.

Tout comme on suit une bande de femmes, on assiste à la naissance d'une brigade de policières qui sont sensés combattre les 40 éléphants.

Basé partiellement sur des événements réels, entre autre sur les gangs qui pullulaient à la même époque à Londres.

Dessin dynamique. Des personnages un peu caricaturaux mais sympathiques.
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Les aventures du commissaire San-Antonio, t..

San Antonio n'est pas vraiment fait pour être éditée en bande dessinée ou alors elle doit vraiment respecter l'oeuvre. Ici j'ai eu un peu l'impression de me retrouver dans un Astérix, ce qui m'intéressait était de voir à quoi ressemblait les héros. Sinon le récit est plutôt décousu et sans la saveur d'un vrais San-Antonio.
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Les yeux fermés

Voilà un roman graphique qui porte bien son nom.

S'inspirant de son histoire, Héloïse Martin raconte l'omerta imposé au personnage d'Emily par sa famille sur les viols qu'elle a subi enfant par l'un des leurs. Pire, ils ont même la bonne idée de les convier, elle et son agresseur, à l'anniversaire de mariage des grands-parents.



Ce livre, scénarisé aussi par Baptiste Magontier, m'a laissé avec les nerfs en pelote. Ce que raconte l'autrice est à vous dégouter de l'humanité. Une famille, ce n'est pas ça. Une famille, ça vous protège, ça prend soin de vous. Ce n'est pas le cas dans cette histoire.



Jusqu'à la fin, on ne sait pas qui est le monstre. Mis à part notre héroïne, et quelques personnes qui semblent mal à l'aise mais ne l'expriment pas ou jouent la comédie, rien ne laisse envisager que l'un d'entre eux mériterait d'être en prison ou à la morgue. (Avis tout à fait personnel je vous l'accorde) Et Héloïse Martin nous balade comme ça de souvenirs douloureux en moments familiaux soit disant heureux mais malaisants. Ça crée une tension et je me suis prise à enquêter, à guetter les signes. Mais les monstres sont d'une banalité affligeante et c'est pour cela qu'ils se fondent si bien dans la masse...



Malgré la dureté de ce roman graphique, qui contraste avec les superbes illustrations de Valentine de Lussy, il faut le lire. Je trouve que psychologiquement, sociologiquement, c'est d'une grande maîtrise. C'est un reflet de notre société désagréable à voir mais nécessaire.
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Kamalari

Le 25 octobre 2015 Urmila Chaudhary monte à la tribune de l'Unesco à Paris et raconte son histoire. Elle a 6 ans, son père, malade, n'a pas les moyens de se soigner. Alors ses parents la vendent à de riches propriétaires népalais qu'elle sert comme esclave domestique. Une Kalamari...



Cette bio dessinée est le roman graphique d'une histoire vraie. Un destin personnel qui embrasse celui de nombreuses autres jeunes filles. L'histoire est terrible : on y touche du doigt, du cœur et de la raison ce fléau cruel et inhumain qu'on appelle esclavage et qui existe encore.



Le récit digne, émouvant, profondément sensible et pénétrant de Nicolas Antona révèle toute la détresse et les vides d'une enfance aliénée et volée - violée aussi - par l'esclavage.



Urmula est aujourd'hui ambassadrice pour, déjà, faire respecter la loi qui interdit la traite d'enfants au Népal depuis 2006. Pour que les mains se lèvent contre ce fléau, y compris et surtout parmi les kamalari elles-mêmes. Et pour tenter de combler les manques qui ont percé leur enfance : les souffrances physiques et morales, l'absence d'éducation, de droits, de famille et d'affection...



Une grande tendresse pour celles qui ont le même destin qu'elle, une grande volonté et belle énergie pour les voir se relever, se dégage de ce roman. Le récit parfait et le découpage sensible, le dessin faussement naïf - comme le regard d'un enfant trop vite retiré à l'enfance - et le ton des couleurs y sont pour beaucoup.



Engagement, pudeur et détermination : la belle couverture de Kamalari est à la hauteur de ce qu'on y trouve, et de la lutte menée par l'héroïne pour y mettre fin.
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Fantomiald - Intégrale, tome 5

• Fantomiald - Intégrale 05

• Collectif d'auteurs (Scénario & Dessin)

• Glénat



Avec mon fils de 5 ans, nous continuons lentement mais surement la lecture des Fantomiald en alternant avec d'autres petites lectures du soir, et c'est toujours un plaisir de partager ce moment avec lui.



Donald continue de combattre le crime ? de faire tourner chèvre Picsou et Flairsou ? La limite entre le bien et le mal est parfois assez flou pour le personnage de Fantomiald qui a une conscience assez particulière, mais on prend plaisir à le suivre dans ses aventures.
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Frnck, tome 9 : Apocalypse

• Frnck, Tome 9

• Olivier Bocquet (Scénario) & Brice Cossu (Dessin)

• Dupuis



Frnck est un série que j'apprécie beaucoup depuis le début, mais qui dans certains tomes souffre de petits coups de moins bon.

Dans ce volume neuf, le titre est assez explicite, c'est la fin du monde !



Nous allons suivre Franck et les autres, que ce soit les hommes des cavernes ou les rescapés du futur qui vont tenter de fuir l'apocalypse en essayant de trouver comment retourner dans le futur.



Un tome sympathique mais qui n'est pas parmi les meilleurs de la série.
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Le Royaume sans nom, tome 2

• Le Royaume sans Nom, Tome 2

• Herik Hana (Scénario) & Redec (Dessin)

• Glénat



J'avais été sur le tome 1 de cette série suite à un manque des 5 Terres dont je venais de terminer la lecture du deuxième cycle.

Si j'avais trouvé la lecture sympathique, il faut avouer que c'était tout de même en dessous de l'œuvre de Lewelyn et Lereculey.

Mais ayant tout de même trouvé un intérêt à cette lecture, me voila sur son tome deux.



Une fois encore, nous allons suivre différents personnages dans un jeu de politique et de chaises musicales pour le trône. De nombreux complots rythme le récit.

Petit bémol à mon sens, on ne semble pas avoir tous les tenants et aboutissants des motivations de chacun.

Apparemment, le troisième volume sera le dernier et je le lirais donc volontier.

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Les 5 terres - Demeus Lor

• Les 5 Terres - Demeus Lor

• Lewelyn (Scénario) & Sylvain Guinebaud (Dessin)

• Delcourt



Les 5 Terres est un série de bandes dessinées que j'adore. Que ce soit sont premier cycle sur les félins d'Angleon ou son deuxième cycle sur les primates de Lys, j'ai été conquis.

Lorsque j'ai appris la sortie d'un spin of, il était évident pour moi que j'irais le lire.

Me voila donc à retrouver Demeus Lor, personnage que nous avions pu croiser dans le premier cycle.

Et si c'est un personnage que l'on ne croise pas dans le deuxième cycle, si l'on compte lire toute la série et ses spin of dans l'ordre chronologique, il est quand même intéressant de lire le deuxième cycle avant ce spin of qui pourrait spoiler quelques éléments.



Nous sommes donc sur un spin of, et ici, le dessinateur change, pas de Lereculey, et si le trait est un peu en dessous, il reste néanmoins très propre.

Nous avons affaire à un spin of, et après lecture, je pense que vous pouvez tout à fait vous en passer si vous ne souhaiter que lire la série régulière.



L'histoire se déroule sur l'ile d'Ethyrna où les félins qui y habitent se font attaquer par les ours d'Arnor. Si les ours semblent bien plus fort et plus nombreux, une petite milice se forme pour mener la résistance.



Un récit sympathique, mais en dessous de la série régulière.
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Coubertin, entre ombre et lumière

Berlin, 1er août 1936. Deux journalistes hèlent un taxi : "Olympiastadium bitte !" En route pour la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques, ils parlent de leur rénovateur, Pierre de Coubertin. L'un des deux, le plus âgé, le connaît bien. Il en fait le portrait à son jeune confrère, photographe, un portrait d'ombre et de lumière...



La chronologie des jeux d'été modernes d'Athènes 1896 à Berlin 1936 rythme cet album dont le récitatif défile comme le dialogue des deux journalistes. Le tandem de l'histoire fait écho au duo cénariste - dessinateur et donne à la bio un format plus vivant. Avec une tension qui conduit à la cérémonie où, entre autres, le vainqueur du marathon d'Athènes offrira un bouquet à Hitler.



Ce dialogue sert le récit, il appuie aussi le fond : le choc de deux générations et de deux média. L'écrit, propre au Baron et la diffusion de ses idées et l'image, arme du IIIème Reich pour sa propagande en 1936. Âgé et ruiné par ses travaux pour le sport mais aussi la pédagogie, le Baron a connu dans sa vie des moments plus heureux et des instants plus visionnaires. Les souvenirs du journaliste plus âgé permettent au lecteur d'y revenir...



Je connais assez la figure du Baron Pierre de Coubertin, sa vie, son oeuvre pour dire que tout ce qu'on trouve ici est on ne peut plus vrai et on ne peut plus pertinent. Bien sûr les dialogues sortent de l'imagination de l'auteur. Ils empruntent toutefois de nombreux propos du Baron, tirés de ses propres écrits. Et Dieu sait qu'il en a laissés, on compte plus de 16 000 feuillets sans parler de sa correspondance conservée à Lausanne et soigneusement documentée et commentée par l'historien Jean Durry.



Cette vérité historique - rendons au Baron  ce qui est au Baron - est, avec le principe narratif évoqué plus haut, l'autre grande qualité de cette bio dessinée. Maintenant, elle ne fait pas totalement mon bonheur.



Visionnaire concret, idéaliste ambitieux, diplomate autoritaire, le Baron cultive les paradoxes. Son sort et son image en France aujourd'hui le lui rendent bien. Pourquoi ? D'où viennent ces traits que Coubertin a pu afficher et ces flèches dont il est la cible ? L'album livre quelques clés mais me semble passer très vite sur d'autres.



Quid de sa prime enfance sous l'occupant prussien et pendant la Commune ? De la prise en main par ses propres soins de son éducation supérieure ? De ses premières armes pour celle des autres sur ce terrain ? En dehors de Jules Simon évoqué ici comme un appui politique, quid de ses mentors et de ses vrais et indéfectibles amis ?



- le Père Didon auteur de la devise olympique dans un cadre religieux, éducatif mais aussi politique



- William Sloane rencontré à Boston en 1889 - les JO US de 1904 c'était pour lui avant que Roosevelt les déplace à Saint-Louis - l'ami américain garant de la venue des athlètes américains à Athènes



- Georges de Saint-Clair, l'autre père avec le Baron du sport venu d'Angleterre en France et le premier Président de l'USFSA dont parle rapidement la bio



- Aimé Godart qui ouvre l'École Monge au jeune pédagogue pour sa réforme basée sur le sport



- Michel Bréal, le linguiste français, professeur au Collège de France, père de la sémiologie et inventeur du marathon dans une lettre à son ami.



On aurait pu également davantage contextualiser certains moments-clés de l'histoire qui mène à la rénovation des Jeux. Que dire par exemple des attentats anarchistes qui sévissent entre les deux discours de la Sorbonne ? De l'assassinat du Président Sadi-Carnot le lendemain-même du 2ème discours qui rétablit les Jeux ?...



Maintenant, cette bio dessinée, avec un trait souple et rapide, et des couleurs qui font époque, existe. Et, avant les Jeux de Paris pour lesquels, en 1924, le père des Jeux modernes a bradé son fauteuil de président du CIO, cela fait du bien. Même avec les réserves émises pour sentir un(des) personnage(s) plus humains, avec une proximité plus forte et plus intime des caractères et du temps.



Sans doute y-a-t-il à présent la place aussi pour une bio encore plus... personnelle.
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Carthago, tome 4 : Les monolithes de Koubé

Même si les auteurs annoncent un deuxième cycle, le lecteur retrouve tous les personnages des 3 premiers tomes. Pas un de plus, ni de moins.



Kim, malgré son expérience et un doctorat, est serveuse dans un rade minable où elle se fait draguer par quelques bas-du-front. Sa fille Lou va mal sans que l'on arrive à en trouver la cause. L'éloignement par rapport à l'eau de mer ne lui convient pas. London vient relancer Kim afin de la décider à replonger pour trouver le cacharodon megalodon.



Ailleurs, les frères Feiersinger se livrent à une compétition futile... un veut exhiber le mégalodon capturé dans un show marin à Dubaï, l'autre remonte une expédition pour déchiffrer les monolithes de Koubé, se trouvant sous la surface de l'eau.



Exotisme et aventure assurés. On passe d'un endroit à l'autre, le lieux font rêver. Mais tout cela manque d'un plan global, d'une vision d'ensemble et cela masque assez mal le vide abyssal et ne permet pas de répondre à la question existentielle... où va-t-on? On manque beaucoup de repères, mais en prime les auteurs nous offrent une romance à 2 balles. On est vernis.
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Sociorama : Sous la blouse

C'est toujours un plaisir de lire un livre de la collection Sociorama. Des sociologues de terrain collaborent avec des bédéastes pour retranscrire leur travail dans un nouveau médium. Leur travail n'est plus obscur pour le grand public. Il prend un nouvelle facette et nous montre à quelle point la sociologie est intéressante. Marion Mousse nous montre l'envers de l'univers hospitalier comme l'a analysé Emmanuelle Zolesio. En tant que client, on sent les tensions, les souffrances au travail et le rapport malveillant aux patients où l'empathie n'a pas sa place. Surtout si les individus ne paient pas pour ça. On se concentre d'une part sur les nouveaux arrivants. Et sur une cheffe qui veut posséder un poste fixe, elle doit aussi lutter. Blagues misogynes, propos sexistes, attitudes grossières... tout y passe. Même les dessins dans les salles communes sont salaces avec des femmes soumises à ces messieurs. Alors il faut de la volonté, du sang-froid et de la détermination à revendre.

On voit les difficultés d'un métier où le client est juste un bout de viande. Il ne mérite ni de l'écoute, de la patience et ni du respect. Le narcissisme est de mise. Très vite, ils intègrent la distance à l'autre que l'on soigne. C'est juste de la bidoche, des os, du sang et des organes. Cet aspect séduit et force aussi les nouveaux arrivants à intégrer la haine et le mépris des patients. Une étape qui permet de savoir très rapidement si ces apprentis ont ou pas les épaules pour ça. On découvre la complexité d'un monde dans lequel nous devrons aller tôt ou tard. Cette vision est enthousiasmante et effrayante à la fois. On voit que la relève intègre le sexisme comme une chose ordinaire et normale. Et l'autre c'est que les patients qui ne sont pas fortuné auront encore et toujours droit au mépris de la part des médecins ayant une très haute estime d'eux-même. Une lecture d'une grande richesse qui donne envie de poursuivre la série.


Lien : https://22h05ruedesdames.com..
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Donjon Monsters, tome 17 : Un héritage trompeur

• Donjon Monsters, Tome 17

• Sfar & Trondheim (Scénario) & Bertrand Gatignol (Dessin)

• Delcourt



Ce tome de Donjon Monsters est le 52éme tome de la franchise Donjon, tout confondu. Et s'il est tout à fait possible de ne lire que l'une ou l'autre des différentes séries de cet univers, je ne le répéterais jamais assez, je vous conseil de tout lire par ordre chronologique de sortie des tomes.

C'est un plus non négligeable pour la compréhension globale de l'univers et les tomes se répondent souvent d'une série à l'autre.



Ce tome se déroule dans l'ère Crépuscule, et nous allons y suivre Papsukal.

Ce dernier devra faire face à l'entité qui souhaite prendre le contrôle de son corps. Pour cela, la magie sera son meilleur allié, mais aussi et peut-être son pire ennemi.
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    Les insignes experts sont attribués aux spécialistes ou amoureux d'une thématique littéraire, en fonction de la qualité et de la diversité de leurs critiques sur cette thématique

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