Maison d`édition spécialisée dans la bande dessinée, la Boîte à Bulles a été créée en 2003 par Vincent Henry. Publiant une quinzaine d`ouvrages par an, la Boîte à Bulles cherche continuellement à faire découvrir de nouveaux talents de la bande dessinée à travers plusieurs collections dédiées à des registres ou des facettes différents du monde de la BD : le roman graphique, le témoignage ou encore l`humour.
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Une bande dessinée très colorée et intéressante. J'ai été peinée par les embuches que traversent les familles d'accueil et j'ai beaucoup aimé cette page façon jeu de l'oie (ceux qui savent savent). Cependant l'histoire n'a pas beaucoup évolué, il y a différents profils de personnages mais ils ne sont pas creusés, dommage.
Bonne lecture !
Bonne lecture !
Le foot. Comme j’ai rêvé d’y jouer étant jeune. Mais un physique pataud et des parents trop protecteurs m’ont plutôt dirigé vers une certaine oisiveté.
Pourtant, il donne envie ce sport. Jongler devant des millions de personnes dans les stades et devant leur télé. Des sportifs multimillonnaires aux bras de sublimes créatures, c’est devenu cela aussi le foot. Plus mercantile que physique croit-on.
Mais derrière tout cela, il y a la pression, les compétitions trop récurrentes, les entraînements intensifs et constants.
Il faut garder le moral constamment et se remotiver à chaque fin de match tout en subissant les brimades acides des coachs, des supporters survoltés et des coéquipiers grivois dans les vestiaires.
C’est un peu de ce monde que raconte MAXIME SCHERTENLEIB dans cette interpellante BD. Grâce à son personnage, il exprime via ses dessins le questionnement d’un gars qui n’aime plus le foot parce qu’il n’aime plus ce qui entoure ce sport. Le surmenage, l’excès de testostérone arrivent à le dégoûter de pratiquer le ballon rond.
Avec des traits plaisants, presque cartoon et une constante teinte verte - blanche pour se rappeler les couleurs d’un terrain, l’auteur nous dépeint cet univers footballistique tantôt victorieux et populaire, tantôt mesquin et manipulateur. Une excellente BD poussant à la réflexion sur les troublantes coulisses des sports d’équipe et sur les excès de la volonté de gagner à tout prix.
Pourtant, il donne envie ce sport. Jongler devant des millions de personnes dans les stades et devant leur télé. Des sportifs multimillonnaires aux bras de sublimes créatures, c’est devenu cela aussi le foot. Plus mercantile que physique croit-on.
Mais derrière tout cela, il y a la pression, les compétitions trop récurrentes, les entraînements intensifs et constants.
Il faut garder le moral constamment et se remotiver à chaque fin de match tout en subissant les brimades acides des coachs, des supporters survoltés et des coéquipiers grivois dans les vestiaires.
C’est un peu de ce monde que raconte MAXIME SCHERTENLEIB dans cette interpellante BD. Grâce à son personnage, il exprime via ses dessins le questionnement d’un gars qui n’aime plus le foot parce qu’il n’aime plus ce qui entoure ce sport. Le surmenage, l’excès de testostérone arrivent à le dégoûter de pratiquer le ballon rond.
Avec des traits plaisants, presque cartoon et une constante teinte verte - blanche pour se rappeler les couleurs d’un terrain, l’auteur nous dépeint cet univers footballistique tantôt victorieux et populaire, tantôt mesquin et manipulateur. Une excellente BD poussant à la réflexion sur les troublantes coulisses des sports d’équipe et sur les excès de la volonté de gagner à tout prix.
Une Bande dessinée en huis clos qui retrace les tranches de vie des habitants d'un même immeuble.
J'adore ce concept de destins entremêlés qui permettent de développer une galerie de personnages très différents avec un dénominateur commun. Sur ce coté là c'est très réussi, avec des retours sur chacun des personnages et un petit mystère autour de Paula. Ce récit choral qui se déroule au Costa Rica aborde de nombreux thèmes sociaux de façon plus ou moins légère.
Coté esthétique, ce n'est pas forcement le style graphique que j'affectionne mais cela n'a gêné en rien ma lecture.
J'adore ce concept de destins entremêlés qui permettent de développer une galerie de personnages très différents avec un dénominateur commun. Sur ce coté là c'est très réussi, avec des retours sur chacun des personnages et un petit mystère autour de Paula. Ce récit choral qui se déroule au Costa Rica aborde de nombreux thèmes sociaux de façon plus ou moins légère.
Coté esthétique, ce n'est pas forcement le style graphique que j'affectionne mais cela n'a gêné en rien ma lecture.
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