La fête a sa part de défaite, il faut donc s'en méfier, surtout lorsqu'elle s'automatise, devient une obligation sociale. La comédie, le jeu, les licences et le badinage ont - nous dit Watteau - un arrière-goût mélancolique, parce que le corps s'y épuise fatalement et que l'injonction d'être heureux est intenable. (p. 118)
11 - Antoine Watteau
En toute fête sourd une défaite