Citations de Stacey Marie Brown (20)
𝑬𝒕 𝒄𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒑𝒓𝒐𝒎𝒆𝒔𝒔𝒆, 𝒋𝒆 𝒏𝒆 𝒍𝒂 𝒓𝒐𝒎𝒑𝒓𝒂𝒊𝒔 𝒑𝒂𝒔. 𝑱'𝒂𝒍𝒍𝒂𝒊𝒔 𝒅𝒆𝒗𝒆𝒏𝒊𝒓 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝑻𝒆��𝒓𝒂𝒉𝒂̄𝒛 𝒂𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒇𝒂𝒊𝒕 𝒅𝒆 𝒎𝒐𝒊. 𝑼𝒏 𝒎𝒐𝒏𝒔𝒕𝒓𝒆.
Briser les individus et les reconstruire, c'est le but de la prison. Ça fonctionne peut être pour les autres - les méchants. Mais pas pour les gens bien. Tu ne deviens pas quelqu'un de meilleur. Non. Ça ne marche pas comme ça. Tu te relèves comme un dragon, un dragon cracheur de feu qui réduit tout en cendres.
Tu deviens vicieux.
— Tout va bien se passer. Tu vas t'en sortir.
— Tu crois ? lui demandai-je d'une voix suraiguë, au bord de l'hyperventilation.
— Non, désolée. Cette fois, tu es foutue.
— Tu peux tuer si vite ?
— Quand il le faut, oui
— Et il le fallait ?
-Hanna... soupira Bakos avec agacement. Je suis là pour vous entraîner à affronter des ennemis bien réel, pas des tueurs imaginaires.
-Le père du copain de ma soeur m'a dit que le Loup était bien réel, répliqua Hanna. Il l'a vu affronter une dizaine d'hommes en même temps, pendant la Guerre fae.
-Et le père Noël, il vous a dit qu'il existait, lui aussi ?
Ça ne fait jamais de mal d’avoir un démon de son côté.
En une phrase, je me rendis compte à quelle point ma vie avait changé.
Warwick Farkas.
Être si près d'une légende. D'une icône. Mon esprit avait du mal à assimiler que le Loup était bien réel.
Planté à dix centimètres de moi, il me toisait de toute sa hauteur. Vus de près, ses yeux d'un intense bleu turquoise paraissaient encore plus troublants. Son regard intense me parcourut avec curiosité. Un soupçon de dégoût plissait son front.
Les conducteurs de train étaient toujours sur le qui- vive à cause de gens comme moi.
Les voleurs.
Pour ma part, je suis une voleuse de la pire espèce. Je ne volais pas pour épargner la pauvreté à ma famille ou par appât du gain. Je volais parce que j'en avais la possibilité. Pour l'excitation.
- Il t'a dit que je ne devais pas passer par la porte d'entrée. Mais est-ce qu'il a parlé de celle de derrière ?
𝑰𝒍 𝒕𝒖𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒈𝒆𝒏𝒔 𝒔𝒂𝒏𝒔 𝒃𝒓𝒐𝒏𝒄𝒉𝒆𝒓 𝒆𝒕 𝒊𝒍 𝒆𝒔𝒕 𝒕𝒆𝒍𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒔𝒆𝒙𝒚 𝒒𝒖'𝒆𝒏 𝒑𝒍𝒖𝒔, 𝒐�� 𝒕𝒆𝒏𝒅 𝒍'𝒂𝒖𝒕𝒓𝒆 𝒋𝒐𝒖𝒓.
Il prétendait que j’étais accro à l’adrénaline, que ça me faisait planer. Je ne pouvais pas le nier. Il y avait quelque chose d’excitant à osciller entre le bien et le mal. Entre la vie et la mort. Entre la capture et la fuite.
Ses longs cheveux noirs étaient ramenés en arrière, sa barbe en broussaille soulignaient sa mâchoire puissante et sa lèvre inférieure charnue. Ses yeux turquoise, inquiétants, se promenèrent lentement sur la salle, comme des doigts caressant un corps. […] Un mâle. Alpha. Brutal. Rugueux. Dangereux. Terrifiant. Sensuel.
Le danger et la violence se plaisaient en ma compagnie. Et moi, je leur ouvrais les bras.
Autour de lui, l’air était électrique. Chargé de puissance, de domination et de violence, comme si c’étaient les seules choses qui osaient l’approcher.
Les barreaux de ma cage dorée n’avaient cessé de se resserrer autour de moi, mais si lentement que je n’avais rien remarqué avant qu’ils ne m’écrasent.
-Tu n'as pas ta propre douche ?
-Si.
La justice et le bien n’existait pas dans l’enceinte de Terrorhàz.
Tu peux bien faire peur à tout le monde et dominer cette salle, tu ne régneras pas sur moi.
C'est dur de résister à l'appel de la nuit quand le jour est si brutal et si cruel. Se perdre dans les plaisirs de la chair, de l'alcool, de la drogue... L'envie est une maîtresse à qui personne ne peut résister. [...] c'est un piège dans lequel on tombe facilement.
Son amour n'avait été qu'un prêt. Et il était temps pour moi de rembourser mes dettes.