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3.63/5 (sur 87 notes)

Nationalité : Tunisie
Né(e) à : Tunis , le 17/12/1977
Biographie :

Sonia Mabrouk est une journaliste franco-tunisienne.

Elle a grandi à Tunis dans un milieu social privilégié, son grand-père paternel était ministre du commerce, et son oncle ambassadeur à Paris.

Elle est diplômée de l'école de commerce IHEC de Carthage, où elle enseigne quelques années après (2003-2006). Elle a également suivi des études à l'université de la Sorbonne à Paris, obtenant notamment un DEA en 2000.

En 2006, elle intègre la rédaction de l'hebdomadaire "Jeune Afrique", où elle reste trois ans.

En 2008, Jean-Pierre Elkabbach lui propose la présentation du journal sur Public Sénat. Elle devient alors la première Tunisienne à présenter le journal sur une chaîne de télévision nationale française.

À la rentrée 2013, elle devient l'animatrice du "Débat des Grandes Voix" sur Europe 1. À partir de la rentrée 2017, elle a sa propre émission sur CNews "Les voix de l'info", le 17 h - 19 h, et la présentation du 18 h - 20 h chaque dimanche sur Europe 1.

Dans son essai "Le monde ne tourne pas rond, ma petite-fille" (2017), la journaliste partage avec sa grand-mère le rêve d'un islam apaisé.

En 2018, elle publie un roman sur le retour en France des enfants du Djihad, "Dans son cœur sommeille la vengeance".

Sonia Mabrouk reçoit en décembre 2010 le Trophée 2010 de la Réussite, décerné à l'Assemblée nationale par l'Association France-Euro-Méditerranée (FEM).

Twitter : https://twitter.com/somabrouk

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Source : Wikipedia
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Citations et extraits (42) Voir plus Ajouter une citation
Cessons de regarder l'effondrement de notre civilisation comme des sismologues observant un tremblement de terre. Interdisons-nous la fatalité. Ne nous laissons pas mutiler. Retrouvons le goût de la grandeur et le sens de l'honneur. Décadenassons notre fierté. Exaltons l'âme de la France.
Si le sursaut ne vient pas, le risque est grand de se retrouver orphelins d'une histoire, d'un rêve, d'une légende française. Nous avons collectivement une dette à l'égard de la France. Il nous est interdit de renoncer. L'heure de l'insoumission a sonné.
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Depuis les années 1970, une nouvelle anthropologie tente de nous faire croire que l’individu serait d’autant plus libre, d’autant plus débarrassé de toutes les contraintes qui l’entourent, qu’il serait délesté de tout héritage à porter et de tout mystère à explorer. Comme l’explique Bérénice Levet dans « Le Crépuscule des idoles progressistes », toute une génération a été élevée dans le mythe, et même dans le culte, de la non-transmission, de la construction de soi sans héritage, dans un but d’accéder à une liberté qui s’est révélée totalement factice.
Ce mouvement, qui se présente comme progressiste, a contribué à éloigner l’individu des éléments constitutifs de sa civilisation. L’objectif étant de nier à l’homme, et plus largement aux peuples, un droit à la continuité historique.
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Tant qu'elle résiste à l'ensemble des facteurs qui la menacent, une civilisation arrive à survivre. Mais jusqu'à quand ? À partir du moment où les coups de boutoir deviennent trop réguliers et violents, la fin s'annonce, inéluctable.
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Le sacré m'a sauvé. Au risque de passer pour une illuminée dans une époque où la croyance est ringardisée, je l'affirme : le sacré ma sauvé… in extremis. Mais je l'affirme modestement, parce que je reste habitée par le doute, et que ma foi n'est pas une façon d'assener ce que je crois savoir ; au contraire, c'est une façon d'interroger et d'habiter l'ignorance.
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Le nihilisme nous empêche de penser la civilisation. Le sacré nous permettra de réparer cette longue errance qui a été la nôtre. Il nous permettra aussi de stopper net cet exil psychologique. Nous entamons en quelque sorte une vaste entreprise de sevrage du corps et de l’esprit en nous faisant le serment des retrouvailles avec le sacré.
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On imaginait, sans doute naïvement, que devant des faits irréfutables et d'une grande barbarie, tout ou une grande partie du moins de la classe politique allait finir par se convertir au réalisme. Mais chaque fois, le même scénario se répète. De peur de froisser une partie de la population toujours prompte à se sentir stigmatisée, par crainte d'emprunter au vocabulaire du Rassemblement national et par là même de lui donner raison, par petits calculs politiciens, nombreux sont ceux qui n'osent toujours pas mettre les mots sur des situations incendiaires, contribuant ainsi, par leur déni et leur aveuglement, à jeter encore plus d'huile sur le feu.
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Dans le monde merveilleux des nouveaux antiracistes, la race est ainsi statufiée. De leur point de vue, la race conditionne notre façon de percevoir et de vivre le monde.
Un tel mouvement ne fait pas que s'affirmer, il est en voie de radicalisation poussée. Et gare à tous ceux qui ne souscrivent pas à cet idéal multiculturaliste et antiraciste.
Si vous n'y adhérez pas, si vous ne vous soumettez pas à ses injonctions, vous êtes de facto catalogué comme raciste et antiprogressiste. En écrivant ces lignes, je sais bien que le piège se referme sur moi comme sur tant d'autres. Je serai à mon tour accusée de tous les maux ci-dessus mentionnés. Mais cet opprobre dont certains vont nous couvrir pèse peu face à l'importance et à l'urgence du combat à mener pour que cesse cette logique de la déconstruction.
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Nos sociétés ont besoin de retrouver le goût de la transcendance, l'énergie de la verticalité, la conscience des images philosophiques, la marque du mystère, la beauté de la contemplation, la grâce d'une vie intérieure, la permanence des rites, la recherche de la vérité. Vraiment, il est temps de reconquérir le sacré.
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Dans nos sociétés contemporaines, nous avançons la corde au cou, en pénitent. Coupables de tout, nous ingurgitons, matin, midi et soir, des discours moralisateurs. « Il faut voir comme on nous parle », chante Alain Souchon. Infantilisé, rabaissé, diminué, l’individu, et plus spécifiquement l’individu en Occident, fait figure de coupable idéal. L’échine courbée, nous sommes appelés, pour notre bien et au nom de cet idéal du bien pour tous, à nous convertir à la religion du progressisme. Dans ce nouveau temple de la modernité et du nihilisme, où toute référence nostalgique est criminalisée, où le profane est vénéré, où toute vie intérieure est ringardisée, la dimension religieuse et sacrée de l’homme a été gommée, empêchée, et finalement éjectée loin de nous.
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La France est sommée d'appréhender sa culture comme une entité parmi tant d'autres. Ni plus ni moins. Cette injonction à noyer dans la masse sa culture et son histoire revient, comme le dit l'essayiste et sociologue québécois Mathieu Bock-Côté, à instaurer un devoir d'intégration inversé. Alors que la vocation du nouvel arrivant dans un pays consistait, jusqu'à peu, à en épouser les valeurs, l'inversion du devoir d'intégration a, au contraire, conduit les populations immigrées à s'exonérer de cette appropriation culturelle.
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