Ilsa Madden-Mills

Je veux tout savoir de toi. Ce que tu manges... sauf les tomates. Dieu que je les déteste. Tes rêves, la musique que tu écoutes, ce qui te fait rire, ce qui te rend heureuse, ce que tu ressens quand je te baise. Je veux que tu respires pour moi. Je veux que tu me supplies de t'en donner plus.
Je veux que tu n'embrasses plus que moi, rien que moi. Je te veux Tulipe. Toi, toi, toi, toi…

Plus tard, un jour dans le futur, retrouve-moi. Retrouve-moi, viens me voir et dis-moi que tu m’aimes encore, que tu me veux et que tu ne veux pas vivre sans que je sois dans tes bras

Tu es une étoile lumineuse dans cet endroit merdique. Tu es différente de toutes les personnes que j’ai rencontrées

Ne fais pas ça, Tulipe. Ne me quittes pas. Non… Reste avec moi. Je te donne mon cœur. Je te donne tout.

Elle est définitivement l’étincelle qui pourrait déclencher l’incendie

Chère Ava, aujourd’hui est le début de tout ce que tu souhaites

« Nos lignes sont devenues un peu floues sur le chemin, entre cœurs brisés et temps perdu, mais au final, notre magnifique boucle n’aurait pu être mieux bouclée. »

« — Pourquoi est-ce que je ne pourrais pas être en colère ? Je t’ai demandé ce qui n’allait pas…
— Je t’aime, avoue-t-il, ses yeux gris métallique s’accrochant aux miens. Tu ne le vois pas ?
Je reprends mon souffle.
— Je ne sais pas depuis quand, peut-être l’année dernière, en te voyant avec Chance, puis le sentiment s’est affirmé quand j’ai embauché le détective privé et que je me suis intéressé à toi, que j’ai réalisé à quel point tu étais une warrior, Tulipe, si belle et si forte… Merde, je ne sais pas comment tu fais pour supporter cet endroit quand même moi j’ai du mal. Je peux voir qui tu es vraiment et ça me terrifie. J’ai essayé de rester loin de toi, mais je n’y suis pas arrivé, alors que je me l’étais promis. Et maintenant, je t’ai blessée, mais tu dois me regarder et lire en moi, putain. Comprendre qui je suis, ce qui me fait avancer, et tu verras que tout ça, c’est pour toi. »

« Chère Ava,
 
Tes yeux sont de la couleur de la mer des Caraïbes.
 
Merde. C’est nul.

Ce que je veux vraiment te dire c’est… que quand tu me regardes, je ressens quelque chose de RÉEL. Et ça ne m’est jamais arrivé.
Ça fait dix mois que tu es partie, mais je ne peux pas t’oublier.
Ne plus te voir marcher dans ces couloirs m’a manqué.
Ne plus te voir nous encourager aux matchs m’a manqué.
L’odeur de tes cheveux m’a manqué.
 
Et puis tout s’est écroulé cette nuit-là.
Si tu as besoin de quoi que ce soit, je veux être là pour toi. Envoie-moi un message. S’il te plaît. 105-555-9201
 
P.S. Je suis un Shark, mais je ne te ferai jamais de mal.
P.P.S. J’ai essayé de lutter contre ce sentiment de toutes mes forces, mais je te veux. Toujours. »

« — Je te fais visiter ? demande-t-il d’un ton bourru, les yeux rivés sur mon visage comme il en a pris l’habitude depuis le début de la soirée.
Son regard est rempli d’espoir.
Je hoche la tête et nous faisons le tour du propriétaire. L’appartement est grand : trois chambres, trois salles de bain et une cuisine plus grande que ma piaule universitaire.
— Il y a une chambre pour Tyler, ici, m’explique-t-il.
J’acquiesce.
— Et j’ai cherché des écoles près de Vandy. Il y en a quelques-unes qu’il pourrait bien aimer, si tu veux emménager avec moi, bien sûr. 
Il a l’air inquiet.
— J’ai l’argent de ma mère et j’ai bossé pour mon père afin d’économiser aussi. Je veux prendre soin de toi et de Tyler comme il se doit.
Oh, Knox. »