Nationalité : Italie
Né(e) à : Pordenone , le 07/12/1971
Biographie :
Giulio De Vita est un publicitaire, un réalisateur, un dessinateur et coloriste de bande dessinée.
En 1993, il devient dessinateur de la bande dessinée (fumetti) "Lazarus Ledd", un super-héros à l'italienne. En 1995, il obtient le prix de meilleur jeune dessinateur italien au festival de Falconara Marittima pour l'épisode de "Il Potere e la Gloria" (Le Pouvoir et la Gloire).
Il rencontre, en 1998, François Corteggiani pour réaliser sa première bande dessinée française "Les ombres de la lagune" chez Soleil Productions (prix meilleur espoir 2000 au Festival de Chambéry) ce qui le permet de se faire connaître par d’autres scénaristes.
En 1999, il travaille aux graphismes des personnages du film d'animation "Aida degli alberi" de Guido Manuli qui sort dans les salles italiennes en 2001.
En janvier 2001, le public découvre le dessinateur Giulio De Vita grâce à l'épisode "La Fatwa", second tome du "Le Décalogue", écrite par Frank Giroud. Entre 2001 et 2004, pour la collection Troisième Vague chez Lombard, sur les écritures d'Yves Swolfs, il dessine trois albums de la série "James Healer.
Il crée en Italie la série de fumetti de science-fiction "Kylion" (2004) sur un scénario de Francesco Artibani pour la Walt Disney Company.
Giulio De Vita a beaucoup travaillé en Italie dans le domaine de la publicité, des dessins animés, du cinéma et des vidéo-clips. Il a également réalisé des travaux pour des fumetti, des éditeurs italiens des super héros Marvel ainsi que pour des BD humoristiques.
Il travaille également pour le cinéma et notamment sur le scénario du film "Close Encounters with Vilmos Zsigmond" de Pierre Filmond (biographie de Vilmos Zsigmond). Il est d'ailleurs présent au Festival de Cannes 2016 avec l'équipe du film.
Il habite aujourd'hui toujours dans sa ville natale.
Interview Giulio DE VITA: as-tu eu des difficultés à travailler sur cet univers riche? . Interview Giulio DE VITA: as-tu eu des difficultés à travailler sur cet univers riche?
« Nous ne savons pas qui tu étais avant que tu ne croises la route et ne pourrisses la vie du valeureux Thorgal. Si tu veux échapper à l’enfer, tu vas devoir me convaincre que tu mérites d’être sauvée. » (p. 8)
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Toi et tes gouverneurs ne devriez utiliser vos pouvoirs devant les hommes qu'en cas d'absolue nécessité. Ce sont des rustres qui ont besoin de voir que leurs chefs peuvent anéantir l'ennemi par leur seul courage. Pas par la magie.
Tu vas retourner dans le monde des vivants. Tant que tu n'auras pas accompli une action digne d'élever une princesse en reine, tu n'auras plus le droit de prendre la vie d'un homme, d'un lièvre ou d'une mouche.