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3.71/5 (sur 390 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Biographie :

Elisabeth Ross a grandi en Ecosse où elle a étudié le français et le cinéma à l'Université de Glasgow. Après avoir obtenu ses diplômes elle a travaillé comme monteuse à Montréal puis à Los Angeles où elle vit maintenant avec son mari.
Elle a publié son premier livre, Belle Epoque, en 2013 à partir d'une nouvelle d'Emile Zola. Elle travaille actuellement au second qui se déroule dans le Los Angeles des années 1940.

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Retrouvez toutes les références des livres cités et leurs chroniques ici : http://wp.me/p5BGEC-MW Le club de lecture du mois : fb.com/groups/monpetitclubdelecture Livres mentionnés : - The Agency (tome 1), de Y.S. Lee (éd. Nathan) : http://amzn.to/1XGzuIu * - Cité 19 (tome 1), de Stéphane Michaka (éd. Pocket Jeunesse) : http://amzn.to/1OMDns2 * - Belle Époque, d'Elizabeth Ross (éd. Robert Laffont - Collection R) : http://amzn.to/1QsxgGW * - 14-14, de Silène Edgar & Paul Beorn (éd. Castelmore) : http://amzn.to/1QuDpIN * - Big Easy, de Ruta Sepetys (éd. Gallimard Jeunesse) : http://amzn.to/1QTwbID * - Sweet Sixteen, d'Annelise Heartier (éd. Casterman) : http://amzn.to/1QuDKLy * - le Lecteur de cadavres, d'Antonio Garrido (éd. le Livre de Poche) : http://amzn.to/1Ugy7k2 * - La Malédiction du Roi (The Cousin's War, tome 6), de Philippa Gregory (éd. Hugo & Cie) : http://amzn.to/1RVMh9M * - L'École de la nuit (Le Livre perdu des sortilèges, tome 2), de Deborah Harkness (éd. le Livre de Poche) : http://amzn.to/1T0gLsG * - La Baronne meurt à cinq heure (Voltaire mène l'enquête, tome 1), de Frédéric Lenormand (éd. le Livre de Poche) : http://amzn.to/24l37DY * - La Neige et la cendre (Outlander, tome 6), de Diana Gabaldon (éd. J'ai Lu) : http://amzn.to/1QsxP3n * - Carnaval, de Ray Celestin (éd. Le Cherche-Midi) : http://amzn.to/1QakQHU * - La Couleur des sentiments, de Kathryn Stockett (éd. Babel) : http://amzn.to/1mRkiuH * * Ce symbole signifie qu'il s'agit d'un lien d'affiliation. Si vous choisissez de commander un livre via ce lien, vous ne le payerez pas plus cher. Amazon me reversera quelques centimes en commission, qui me permettrons de financer de prochains concours sur la chaîne. Merci d'avance si vous faites le choix de me soutenir ! ___ ? Retrouvez l'article complet et les futures chroniques sur le blog : http://unjour-unlivre.fr Facebook : http://facebook.com/unjourunlivre Twitter :http://twitter.com/missmymoo GoodReads : http://www.goodreads.com/MissMymoo Babelio : http://www.babelio.com/monprofil.php?id_user=39521 Instagram : http://instagram.com/missmymoo Pinterest : http://pinterest.com/missmymoo/books-co/ ___ ? CONTACT : Pour toute demande de partenariat/collaboration, merci de remplir le formulaire de contact : http://unjour-unlivre.fr/contact ? COURRIER : Sethom Myriam BP 10 014 92201 Neuilly-sur-Seine Cedex France ___ ? MUSIQUE : "Retreat" by Jason Farnham (YouTube Creator Studio) Image du générique : http://bit.ly/1oVE4H1

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Citations et extraits (61) Voir plus Ajouter une citation
-Combien de temps la tour [Eiffel] tiendra-t-elle debout avant qu'on la rase ?
-Quelques années, pas plus, répond Isabelle (...).
-Pourquoi les parisiens la détestent-ils tant ?
-La plupart la trouvent laide et vulgaire.
-Peut-être que la vulgarité n'empêche pas une forme de beauté.
[...]
C'est un véritable exploit de construire ce colosse - un hommage à l'imagination et au labeur humain.
-Ça m'a l'air très bien. Quelle tristesse ce sera quand il faudra la démolir; tous ces efforts pour bâtir quelque chose d'aussi grand et d'aussi solide - pour le détruire ensuite. C'est comme détruire un rêve.
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Le chapelet de notes me fait penser à un cours d'eau vive. Une douleur - non, pas une douleur, une forme de nostalgie affleure sous cette mélodie douce et pure. Les notes conversent soudain avec mes émotions, les amadouent, les attirent hors de leur cachette. J'ai l'impression que sa musique jaillit d'une source qui n'est autre que mon coeur; ce n'est pas l'expression d'une émotion, mais l'émotion en elle-même. Tout ce que je garde verrouillé en moi - mes rêves, la peur, l'angoisse, la désillusion - et, malgré tout, l'espoir.
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À mon avis, un portrait abouti donne à celui qui le regarde un aperçu de la personnalité du sujet photographié, il ne se cantonne pas à la surface des choses.
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L'art, c'est un chemin vers la connaissance de soi - et la connaissance tout court.
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Il n'y a pas d'échelle empirique pour la beauté. L'humain est mille fois plus complexe. D'après tes observations, il y aurait des attributs quantifiables, susceptibles d'embellir ou d'enlaidir une personne par rapport à une autre, comme dans la table de Mendeleïev. Mais ça ne fonctionne pas comme ça. Il y a des critères plus relatifs.
[...]
L'intelligence, l'esprit, la bonté - en résumé, la personnalité. Il y a ensuite un facteur que tu as omis: l'oeil de celui qui regarde, une autre des innombrables complexités humaines.
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Des amis ? Dans notre monde, l'amitié n'existe pas, il n'y a que des alliances de circonstance.
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Il n'existe rien de plus inoffensif qu'une fille au physique ingrat. Les gens ne remarqueront même pas votre présence.
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"Mais l'habit ne fait pas le moine, comme on dit. Il n'y a pas que l’apparence qui compte. Tu n'accordes aucune place à la personnalité, à la conversation ?" Page 57
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Notez ces cheveux, à peine plus remarquables que de la paille mouillée ; ce nez en trompette ; ces taches de rousseur et ce teint fané ; et ce regard éteint - bovin dans l'expression, dirais-je, et d'une couleur quelconque. Notez enfin, je vous prie, cette carcasse mal charpentée, ces os saillants, récite Durandeau.

Mon coeur est percé par les mille épines que contient cet inventaire, cette liste de défauts, mes défauts, prononcée par ce petit bonhomme avec une telle désinvolture.
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- Je vous mets au défi de trouver le chapeau le plus laid de la boutique, me lance-t-elle. Un chapeau qui me rendrait ridicule.
La comtesse et Mme Vary sont occupés avec la vendeuse ; aucune ne se portera à mon aide. Je prends une profonde inspiration et j'examine les couvre-chefs qui m'entourent, à la recherche du plus laid, du grotesque, de l'intrus. Isabelle ne me quitte pas d'une semelle. En voilà un qui fera l'affaire, avec sa voilette et cette profusion de roses en soie.
- Celui-là.
- Il ne vous plaît pas ?
- Je le trouve trop chargé pour être élégant.
Isabelle examine mon choix de plus près. C'est une avalanche de roses en soie, une masse informe où l'on ne sait où finit le chapeau, où commence le rosier. Même la voilette est semée de petites fleurs.
- Qui oserait porter une horreur pareille, à votre avis ? me demande Isabelle, amusée.
- Une actrice, peut-être. Une vedette du vaudeville ?
- Ou une courtisane, ajoute-t-elle avec une étincelle dans le regard, et elle pose le chapeau sur sa tête.
Je laisse échapper un rire contraint, à demi rassurée par la tournure qu'ont prises les événements. Mme Vary s'approche de nous alors qu'Isabelle parade avec le rosier sur le crâne.
- Avez-vous trouvé votre bonheur, avant que votre mère règle la note ?
_ J'ai eu un coup de coeur pour celui-ci, mais votre nièce prétend qu'il me fait ressembler à une demi-mondaine.
Je sursaute. Mme Vary, écarlate, me foudroie du regard. Isabelle retire le chapeau du bout des doigts, comme s'il était souillé de boue et le perche sur le présentoir. Quelle peste ! Elle ment comme elle respire.
- Maude ! Présentez immédiatement vos excuses, m'ordonne Mme Vary d'une voix acide. Isabelle, elle n'avait pas l'intention de vous froisser, j'en suis certaine. C'est qu'elle sort tout juste du ... euh, du couvent, et les dernières modes parisiennes sont pour elle une terre inconnue.
[...]
- (La Comtesse) Isabelle et vous, vous êtes parfaitement assorties. C'est vous que je veux pour ses débuts au bal des Rocheforts. Mais avant de vous lâcher dans le monde, vous dinerez avec nous demain soir - un diner entre intimes, qui m'assurera que vous savez vous comportez en société. Mais que cela soit très clair entre nous, poursuit-elle d'une voix aussi cinglante qu'un coup de fouet. Isabelle ne doit pas savoir qui vous êtes. Officiellement, vous êtes sa nouvelle meilleure amie. Il faut qu'elle soit dans l'ignorance la plus totale. Me suis-je bien faite comprendre ?
Lentement, je hoche la tête. J'ai parfaitement compris : la comtesse vient de me confier une mission impossible.
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