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4.15/5 (sur 150 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Claire Deya est une scénariste et autrice française. Un monde à refaire est son premier roman.

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Bibliographie de Claire Deya   (1)Voir plus

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A quelques jours de la panthéonisation de Missak et Mélinée Manouchian, "La Grande Librairie" propose une réflexion sur la mémoire. Pourquoi et comment se souvenir ? Deux historiennes, deux témoins et une romancière livrent autant de récits sensibles et nécessaires. Augustin Trapenard accueille ainsi Michelle Perrot pour "S'engager en historienne", publié chez CNRS Editions, Annette Wieviorka pour "Anatomie de l'Affiche rouge", paru au Seuil, Robert Birenbaum pour "16 ans, résistant", édité chez Stock, Marie Vaislic pour "Je ne savais pas que j'étais juive", publié chez Grasset, et Claire Deya pour "Un monde à refaire", paru aux Editions de l'Observatoire.

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Citations et extraits (58) Voir plus Ajouter une citation
— Vous savez Saskia, il n’y a que pendant la guerre qu’on voit, de manière aussi crue, le pire de l’être humain. Mais c’est aussi pendant la guerre et seulement là, que certains atteignent le sublime.
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Ne compare pas. Ne relativise jamais. Relativiser, c'est nier. Et nier, c'est tué une seconde fois.

Plage 67
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 Les Allemands n’existaient plus : ils étaient les boches, les fritz, les schleus, les frisés, les teutons. Est-ce que les Français pouvaient entendre que des Allemands aussi haïssaient les nazis ? 
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Tous ceux qui disent que les tribunaux doivent trancher et non les hommes, le savent très bien : la justice n’est que la version hypocrite et policée de la vengeance à l’état brut. Avec beaucoup d’erreurs. Pourquoi déléguer ? 
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Certains perdaient la guerre, lui avait perdu l’après-guerre.
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Les démineurs pouvaient frimer au bal ou ailleurs, clamer haut et fort qu’ils n’avaient pas peur, croire en leur bonne étoile et leur héroïsme. Personne ne les prenait pour des héros. Ils avaient oublié ce principe qui règne depuis la nuit des temps : les hommes libres exigeront toujours des esclaves. 
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Ce regard qu'on ne voulait pas croiser sous peine d'être foutu mais qu'on devait affronter sous peine d'être suspect. Ce regard - à lui seul le symbole du projet nazi - qui examinait, évaluait, disséquait, méprisait, jugeait, triait, sélectionnait, condamnait, ce regard qu'on n'oubliait pas, ce regard de mort qui faisait détester les yeux quand c'est par les yeux pourtant qu'on se parle de premier abord.
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Pour éviter la guerre, il faut préparer la paix.
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C’était presque la fin de la guerre, et pour lui, sans doute, le début d’un enfer solitaire.
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Il le savait lui aussi, comme tous ceux qui se souviennent de ceux de leur enfance, le mensonge était parfois là pour parer à la peur plus que pour manipuler, l'arme ultime de ceux qui se croient perdus, pour se mettre à l'abri, sauver leur peau ou pour qu'on les aime encore. Qui parle pour dire la vérité ? Personne. On parle pour comprendre, pour dire qu'on estime ou qu'on déteste, mais surtout, on parle pour être aimé.
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