À chaque fois que je lis un tome de Yona, je pense que le suivant n'arrivera pas à me faire ressentir autant d'émotions, à chaque fois, je me trompe !



Dans ce tome, nous suivons Yona et ses compagnons partis dans le Kai Sud pour une mission de sauvetage. Les voilà en infériorité numérique, sur un territoire ennemi, on peut dire qu'ils ne seront pas au bout de leur peine !



Avec une mise en scène intense, qui donne une nouvelle fois un tome difficile à lâcher, nous ressentons à nouveau les émotions de ces personnages, le lien fort qui les lient les uns aux autres.

Ce tome est l'occasion d'en apprendre un peu plus sur les dragons, mais aussi de constater à nouveau l'évolution des personnages depuis le début.



Yona est bien loin de la princesse naïve et frivole du début, elle est devenue une guerrière vaillante et ingénieuse qui n'a pas peur de se mettre en danger. Elle refuse d'être une demoiselle en détresse au grand dam d'Hak qui aimerait qu'elle prenne moins de risques.



En parlant de ce dernier, le tome se termine sur un passage symbolique qui montre une nouvelle fois que l'évolution psychologique des personnages est grande depuis le départ. Ce passage-là n'aurait pu avoir lieu au début de la série si les personnages n'avaient pas réussi à évoluer.



Oui, si vous ne vous êtes pas encore lancé de cette série, vous la regardez peut-être de travers en vous disant : pfff encore une série qui traîne en longueur. Je peux vous affirmer que les 40 tomes, on ne les ressent pas. Cette série ne s'est toujours pas essoufflée, c'est toujours un régal de suivre les aventures de Yona tome après tome.

L'attente entre chacun des tomes et d'ailleurs très longues!!! J'attends encore une fois la suite avec impatience.

J’ai adoré ma lecture. Ce premier tome, bien qu’il pose les bases d’une nouvelle aventure pour Yona, est loin d’être ennuyant. Ça change vraiment des autres mangas que je lis en ce moment, et on est très loin des shojos niais au possible. Les personnages ont du potentiel, j’espère ne pas être déçue par la suite.

Un excellent et puissant tome, où personne n'est à l'abri, où la prochaine action n'est pas détectable. Au cœur de la guerre, Yona et ses alliés font tout pour sauver Mei Niang dite petit chat. Yona fait joliment la couverture du tome, avec une cape, elle est aussi participative que les autres et ne se cache plus derrière eux. Elle se bat à armes égales malgré le danger.

Tchagol continue à se révéler à nous et nous montre également sa puissance, il fait froid dans le dos. Il leur faudra toute l'intelligence tactique pour réussir alors qu'ils sont en plein camp ennemi, sachant que les dragons eux-mêmes ne peuvent suffire à faire la différence. Les combats qui se livrent impressionnent, et laissent sur le séant.

C'est du grand art à tous les niveaux. Le lecteur se laisse pleinement emporté, et tremble pour eux.

Il y a toujours une petite touche d'humour aussi comme Yona qui secoure quelqu'un, lui dit son prénom, et l'autre part de forcément elle a le même prénom que la princesse du pays de Kôka mais ne s'imagine pas une seule minute que c'est elle. Imaginez sa tête une fois qu'il saura ! Il y a plusieurs scènes épiques comme celles-là, mais également des scènes de bataille impliquant bien des personnages.

Ils forment une drôle de bande, Yona, Hak, les dragons mais aussi des alliés plus surprenants.

Hak nous montre encore une fois combien il est bon en combat, mais même pour lui ce ne sera pas évident. Val décide aussi de pleinement se confronter à Hiktan, qui est une veille connaissance en espérant lui faire entendre raison.

Ouvrez bien les yeux, tremblez, et régalez-vous ! Les combats et les stratégies fusent, l'espoir reste là, malgré la façon dont Tchagol les a acculé sans pitié. Vivement la suite.

Et voilà le quarante-et-unième et dernier tome (pour l'instant) de Yona, Princesse de l'Aube et le manga est toujours aussi bon, alors que l'histoire gagne en intensité, que de nouveaux éléments importants viennent alimenter l'intrigue,...



En effet, ce tome est encore très riche, avec plusieurs affrontements : Yona et les siens on réussi à s'introduire dans le camp ennemi pour délivrer Mei Niang, mais les obstacles sont nombreux et la mission est proche d'échouer lorsque le grand méchant Tchagol intervient en personne.



Le livre s'achève sur un retournement de situation où nous retrouvons le Soo-won malin et fin stratège des débuts...



Un bon tome qui laisse deviner un prochain volume plein de suspense.

Si on cherche de la fantasy épique en shojo, Yona est vraiment LA référence actuelle. En digne successeur de Basara, sans sa dimension dramatiquement théâtrale et déchirante romantiquement parlant, elle offre des aventures géopolitiques et humaines passionnantes.



Avec surprise, depuis plusieurs tomes la série a pris un nouveau virage qui a tendance à me scotcher. Je ne m’attendais effectivement vraiment pas à l’attaque surprise du Roi du Kai du sud qui sème littéralement la terreur sur son passage. C’est sombre très sombre et bien effrayant et stressant, ce qui fonctionne parfaitement sur moi. L’autrice nous offre une histoire palpitante, qu’on n’arrive pas à lâcher, où nos héros sont réellement en danger face à un ennemi totalement fou, qui rappelle un peu le Roi bleu de Basara. Forcément, j’adore.



Avec une jolie science de la mise en scène, Mizuho Kusanagi nous conte comment une mission de sauvetage en pénétrant dans un camp ennemi peut mal tourner et tout le stresse que ça occasion en plan et contre-plan. On se régale des surprises qu’elle nous réserve et on tremble régulièrement face à toute cette violence gratuite d’un ennemi qui est vraiment la caricature parfaite du méchant psychopathe à la tête d’un puissant pays. C’est peut-être justement un brin too much pour être 100% crédible ou alors pas assez poussé au choix. Quelque chose m’a manqué contrairement à Basara.



Cependant, je n’ai pas boudé mon plaisir face aux boucles du scénario et aux réactions des personnages. Ce n’est pas la première fois qu’ils sont en danger ou se font capturer mais ils semblent avoir appris de cela et ça change tout. Les réactions sont différentes, on a de jolies surprise et c’est jouissif de voir une princesse aussi combattante et d’assister justement à des combats aussi vifs des deux côtés où chacun se met en danger pour sortir de ce guet-apens. On a tout. Chaque dragon brille, Hak et Yona aussi, Val n’en parlons pas, même Mei Niang est particulièrement émouvante. On a des combats, des petits moments romantiques, des moments stressants, des captures, des révélations et même un petit truc un peu pour la mythologie de la série. Que demander de plus ?



Même si, je ne peux m’empêcher de comparer Yona à sa grande soeur Basara à sa défaveur car cette dernière avait une profondeur supplémentaire, je ne peux que constater combien c’est une aventure efficace qui gagne en noirceur au fil des tomes et me passionne par les directions qu’elle prend et les surprises qu’elle réserve. Tchagol est vraiment effrayant ici et nos héros ont maille à faire avec lui, ce que l’autrice rend à merveille en images !
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Il se passe beaucoup de choses encore dans ce tome. C'est comme si depuis deux-trois tomes, l'intrigue s'emballait et que tout se qui se préparait depuis le début de la série était mis en branle pour approcher de l'apothéose finale...



Non seulement, il y a beaucoup d'action, mais en plus presque tous les personnages qu'on a croisés au fil de la série interviennent à un moment ou un autre de ce long épisode de la guerre engagée depuis le tome 37 : les pirates dans un tome précédent et ici Lily, Ayura et Tetra qui tentent de défendre la capitale, la princesse de Shin et ses Etoiles qui viennent prêter main forte à l'armée de Soo-won, etc.



Le grand méchant, Tchagol, me rappelle un peu Voldemort dans Harry Potter : il a un côté reptilien assez glaçant avec sa bouche comme une ligne, ses yeux étirés, son crâne lisse... Et puis une des illustrations renforce ce parallèle avec un serpent...



J'ai passé bon moment avec ce quarantième tome, même si j'avoue que j'ai encore eu un peu de mal à m'immerger dans l'histoire.

C'est encore un tome très dense que nous livre ici Mizuho Kusanagi.



La bataille touche à sa fin et c'est Hak qui, pour ainsi dire, donne le coup de grâce à l'ennemi en abattant le cruel général qui menait les opérations sur le champ de bataille. Ca va presque trop vite par rapport à l'impitoyable menace qu'il représentait dans le précédent tome.



Les retrouvailles entre Hak et Yona sont très touchantes et amusantes (l'art d'avancer sans avancer d'un pouce), mais la manière dont Hak, plus mort que vif, se jette aux pieds de Soo-won pur lui remettre la milleplante qu'il a eu tellement de mal à rapporter est bien plus bouleversante.



Puis, retour à la capitale où Yeon et Mei Niang se retrouvent aux prises avec l'ennemi qui s'est infiltré dans la ville. Mais tous leurs ennemis ne leur veulent pas forcément du mal...

La frontière entre les gentils et les méchants est de plus en plus floue et ce sont ces ambiguïtés qui donnent toute sa complexité à l'intrigue.



Le tome s'achève sur un épisode bonus qui met en scène les personnages du manga dans un contexte tout à fait extérieur à l'histoire de Yona, Princesse de l'Aube.

Ah, l'action recommence doucement après un tome un peu raplapla. Par contre, on commence à reconnaître un schéma un peu répétitif de Yona et ses amis qui viennent en aide aux habitants de villages.



J'espère que dans la suite on aura quelques rebondissements inattendus et surtout qu'on en apprendra plus sur le personnage du dragon jaune car je suis toujours choquée par son arrivée brutale dans le groupe alors qu'on ne sait rien de lui et de ses pouvoirs 😅