Au-delà, la peinture de paysage a perdu de son attrait, sauf pour quelques notables exceptions, tels Matisse, Hockney et Freud.Une histoire aussi érudite que visuelle, magnifiée par l’excellence des reproductions.
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Dans la seconde moitié du XVIe siècle, les paysagistes du nord de l’Europe centrale exploitent les possibilités expressives du motif de l’arbre dans des proportions inédites. L’arbre prend des formes extrêmes au sein d’un nouveau genre, celui des paysages sylvestres. Cette production spécifique reste relativement peu connue proportionnellement à son importance dans l’hiqtoire de l’art du paysage européen. Elle est sans aucun doute déterminante pour comprendre l’essor du motif arboré dans les arts visuels à l’époque moderne.
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