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Ce qui nous consume tome 1 sur 3
EAN : 9782280488471
352 pages
Harlequin (06/09/2023)
4.14/5   122 notes
Résumé :
Ophélie est dans les starting-blocks. À trois semaines de la Fashion Week de Paris, sa supérieure lui a attribué l’un des mannequins anglais les plus en vogue du moment : Evan Livingstone. Sa mission ? Ajuster à la perfection les pièces qu’il portera pour le défilé de la maison de luxe Alex Ivero. C’est l’occasion ou jamais pour Ophélie de prouver ce qu’elle vaut et d’échapper à son étiquette de couturière de second plan. Mais c’est aussi l’excuse parfaite pour f... >Voir plus
Que lire après Ce qui nous consume, tome 1 : Fashion Week de ParisVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (31) Voir plus Ajouter une critique
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Après avoir lu d'excellentes critiques, j'ai craqué et j'ai eu raison, car je n'ai pas été déçue !

Déjà, grâce à une construction intelligente du récit liée à un fil rouge, le secret que cache Evan, en lien avec une certaine Mygale, et une lettre qu'il lit et relit dès qu'il manque de craquer. Mais aussi sur les lieux, qui emmènent nos protagonistes dans trois villes différentes. Ça fonctionne vraiment bien, et apporte un renouveau à chaque tome, tant dans les descriptions que dans la dynamique.

Ensuite, les personnages sont très bien développés.
Evan, avec son QI ultra élevé et son incapacité à décrypter le second degré, a beaucoup de mal à lier des relations normales avec les autres. Sous son aspect brut, ses réponses factuelles et sans filtres, il se révèle un garçon très attachant et d'une grande sensibilité. Ophélie n'est pas en reste, avec une personnalité pétillante malgré ses doutes et ses soucis. Leurs dialogues sont parfois amusants, d'autres fois poignants, mais jamais ennuyants.

Le duo habituel de meilleurs amis fonctionne toujours aussi bien : Gavin pour Evan, Aline pour Ophélie. Ils font les mêmes métiers que leurs amis (mannequin et couturière) et leur apportent un soutien sans faille, avec de beaux moments, où ils essaient parfois maladroitement d'aider à arranger les choses. Sans oublier Claude, l'ami geek un peu bizarre.

L'histoire s'emploie à dénoncer plusieurs clichés, notamment liés au mannequinat. Au-delà de son métier, Ophélie a aussi été miss plus jeune, elle connaît donc les deux côtés du secteur. J'ai par contre été déçue par l'évolution de Claude, joueur de jeu vidéo invétéré, qui est traité avec les habituelles étiquettes qui sont collées aux gros joueurs.

C'est ce petit bémol qui explique pourquoi ce n'est donc pas tout à fait un coup de coeur, et pourquoi j'ai moins apprécié le T3 et l'ultime développement. Malgré ça, j'ai passé un excellent moment en compagnie d'Evan et d'Ophélie. J'ai ressenti leur tristesse et leur amour, et j'ai vibré pour eux dans leurs pires moments grâce à l'alternance des points de vue et au style fluide et addictif de l'auteur. Car oui, c'est assez rare pour le souligner dans le genre : Ce qui nous consume est écrit par un homme !

Lien : https://onidra.fr/a-decouvri..
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Un mois qu'Evan et Ophélie ont peut-être envahi votre liseuse mais aussi et surtout les rayons des meilleurs dealeurs de romance.

Un mois que cette histoire hors du commun consume peut-être votre propre bibliothèque et votre coeur. Car pour moi, il est impossible de lire ce roman sans tomber sous son charme.

Sous le charme de la plume de Kentin encore et toujours plus percutante, plus aiguisée au fil des romans.

Sous le charme de ce mannequin atypique nommé Evan qui doit braver bien des choses.

Sous le charme d'Ophélie, cette jeune femme remplie d'incertitudes et d'insécurités.

Ce roman contient une bonne dose de prise de conscience. Un bon coup de pied dans la fourmilière des gens qui passent leur temps à catégoriser les autres. Une bonne dose d'humanité et de respect de l'autre. Rien que pour tous ces moments forts, Merci Kentin.

Ophélie est engluée dans une spirale familiale malsaine. Tiraillée entre son bien-être et le devoir de satisfaire son entourage, elle s'oublie. Ce personnage m'a beaucoup touché parce qu'elle dissimule derrière sa bonne humeur quotidienne, les conséquences des décisions qu'on lui imposent. Et tout ça sans aucune considération.
N'est-ce pas un combat que chacun d'entre nous devrait mener ?
Oser.
Oser agir pour soi.
Oser dire non.
Oser élever la voix.
Oser vivre tout simplement.
Et c'est le message que j'ai envie de retenir de cette femme, vis ta vie !

De son côté, Evan, ses qualités, ses défauts et son physique plutôt séduisant de mannequin, case les codes de ce milieu très sélect et prisé. Est-ce que je dois préciser qu'il m'a fait craquer ?

Autant j'aime le second degré et l'humour autant j'ai adoré découvrir ce personnage qui prend tout au mot. Son manque de tact m'a fait succomber, son côté cash est bienvenu dans ce monde de faux-semblants. Sa différence bouscule les stéréotypes du milieu de la mode. Il est pris au dépourvu face à toutes ces nouvelles choses qu'il ressent, face à ses sentiments et j'aurais aimé passer le rideau derrière le podium pour l'encourager et juste lui dire « aie confiance ».

Au-delà de la romance, il y a cet humour omniprésent, cet humour incompris qui amuse beaucoup Ophélie. Des personnages loufoques, totalement barrés mais toujours présents, de l'émotion et même une enquête... On ne s'ennuie pas une seule seconde à la Fashion Week.

Vous l'aurez compris, j'ai adoré ce roman et je vous le conseille très fortement MAIS… Ben oui il y aura un MAIS tu ne vas pas t'en tirer comme ça Kentin… Je te déteste pour cette fin avec laquelle je ne suis absolument pas d'accord. Vite la suite rdv très vite
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Première fois que je découvrais la plume de Kentin Jarno, et quelle belle découverte ! Ici, on est dans le milieu de la mode, avec un mannequin et une couturiere, deux personnages auxquels je me suis beaucoup attaché. Sans aucun doute, le gros point fort de cette histoire est le beau Evan, ce héros atypique, hyper intéressant et surtout très bien construit, c'est mon petit coup de coeur de ce premier opus ! ⠀

À 3 semaines de la Fashion Week de Paris, Ophélie se voit attribuer l'un des mannequins anglais les plus en vogue du moment : Evan Livingstone. Sa mission ? Ajuster à la perfection les pièces qu'il portera pour le défilé de la maison de luxe Alex Ivero. C'est l'occasion ou jamais pour Ophélie de prouver ce qu'elle vaut et c'est aussi l'excuse parfaite pour fausser quelques temps compagnie à son copain jaloux. Evan semble être la distraction idéale : un corps de rêve, des yeux vairons hypnotisants, un QI de 176… Seul problème : en plus d'être cynique, il reste totalement hermétique au sourire d'Ophélie...⠀

J'ai adoré la dynamique entre les deux héros. Kentin manie très bien l'humour et installe une repartie vraiment succulente à suivre. Dans ce premier tome, on distingue déjà les failles de chacun, et on sent les prémices qui seront développés par la suite. J'ai été touchée par chacun d'eux et j'ai hâte de voir comment ça va évoluer. ⠀

Concernant les péripéties, la dernière a été un peu difficile à encaisser. 😳😂 Mais je crois que ce qui importe surtout, c'est de voir ce que l'auteur va faire de ce choix 👀 En tout cas, avec ma @florapeony_,, il nous aura bien fait discuter. Et ça, c'est aussi la magie de la lecture. 🤭⠀

Bref, une chouette entrée en matière, j'attends énormément de la suite. Rendez-vous en novembre ! ✂️⠀
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Alerte coup de foudre!
Ce n'est pas un secret, chacun des romans de Kentin est un énormissime coup de coeur! « Ce qui nous consume » ne pouvait se soustraire à cette règle, règle de l'addicte à l'auteur que je suis!
Cette fois, c'est dans l'univers de la mode qu'il nous convie, aux côtés d'Evan et Ophélie, avec pour décor la Fashion Week de Paris!

Ophélie est une jeune couturière dans une grande maison de Haute Couture parisienne. Son métier, la passionne et l'émule, son petit ami est déjà adoubé par sa famille, sa vie est sur des rails rectilignes déjà bien tracés … En théorie, une vie rêvée. Seulement entre théorie et réalité, un monde se crée… À trop vouloir se conformer, elle risque d'étouffer malgré son caractère enflammé…

Evan est le mannequin sur qui Ophélie doit ajuster les pièces prévues pour le défilé. Un corps d'Apollon à l'aura magnétique et au regard singulier qui ne laisse personne indifférent, pourtant l'enveloppe ne reflète qu'une infime partie de ce qu'il est… Evan est un homme à l'intelligence exceptionnelle, néanmoins incapable de trouver sa place. Il ne comprend pas les interactions sociales, ni les émotions, il est hermétique au sarcasme et au second degré… Autant dire que face à une Ophélie dont « ironie » pourrait être le deuxième prénom, les étincelles vont fuser! Et si c'est proximité forcée leur apportait plus qu'elle ne leur coûtait?

Evan et Ophélie c'est un choc des cultures hilarant avant d'être ce choc d'une alchimie crépitante qui les bouleverse et les consume! Ils ne se comprennent pas toujours, n'ont pas le même mode de fonctionnement, cependant sans qu'ils ne s'en rendent compte, c'est ce besoin viscéral et inexplicable de l'autre qui se tisse et qui les lie. Leurs failles et leurs blessures encore trop enfouies les freinent autant qu'elles attisent les flammes d'un brasier qui ne fait que débuter…

« Ce qui nous consume » c'est aussi une intrigue travaillée et prenante, des personnages secondaires hauts en couleurs et parfaitement inoubliables! Mais si pour moi c'est un énorme coup de foudre c'est parce que, comme toujours, c'est du Kentin dans le texte… Une succession d'émotions folles, une énergie vibrante qui me fait passer d'un état à un autre… Un fou rire qui se tarit dans un murmure lorsque l'uppercut des sentiments m'arrive en plein coeur sans crier gare… Enfin voilà, c'est l'effet K sur moi! Parce que même en connaissant l'homme derrière l'auteur, je suis toujours autant surprise, touchée et ô combien émue! J'aime, j'admire sa façon de se renouveler chaque fois jusqu'à harmoniser sa plume sur la psychologie et les émois de ses personnages! J'adore sa façon d'aborder des thèmes toujours différents… ou simplement différemment!

Un auteur dont le style sonne comme une évidence pour moi, que je vous invite à découvrir, si ce n'était pas déjà le cas. Ce roman, son dernier sorti, est une pépite à lire de toute urgence!
Car la seule chose qui soit certaine désormais, c'est que ce qui Les consume n'en a pas terminé de Vous consumer!
Lien : https://instagram.com/p/CxIu..
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|Instagram : @blogdelyosa|

On n'avait encore jamais lu de romans de Kentin Jarno, donc on avait d'autant plus hâte de découvrir son univers et sa plume ! Si vous cherchez une romance slow burn, sexy, drôle, pleine de sarcasme, dans le monde du stylisme et unique en son genre, vous êtes au bon endroit !

Ce qui fait la singularité et l'originalité de ce roman, c'est clairement Evan. Evan est un personnage avec un QI plus grand que Einstein, donc autant dire qu'il ne comprend pas très bien le sarcasme et l'ironie. C'est vraiment un « maladroit du social » ! Mais ça en fait toute sa beauté et sa pertinence. On a adoré nous glisser dans sa peau et rire des situations qu'il provoque. Quant à Ophélie, elle nous offre une dualité de caractère assez perturbante. D'un côté, c'est le calme par excellence et d'un autre côté, elle a aussi un caractère de feu ! C'est un personnage ambitieux, mais qui traine encore des chaines, l'empêchant peut-être d'avancer.

Ophélie et Evan, ce sont deux âmes totalement opposées. le dicton "Les opposés s'attirent" dit vrai pour ces deux personnages. de fait, ils ne se comprennent pas tout le temps ce qui rend certains passages cocasses et hilarants. Mais plus que ça, ils tentent de se comprendre l'un à l'autre avec cette attirance crépitante. Ils évoluent pour finir par succomber à ce feu passionné entre eux.

Parlons de l'univers original que Kentin développe dans ce roman. Dès qu'on a découvert que ce roman parlerait de la fashion week, on était très curieuses de découvrir l'histoire et comment la mode allait s'imbriquer dans la romance. Finalement, Kentin a parfaitement réussi à nous plonger au coeur même du stress, quelques semaines avant le défilé à Paris. On a eu droit à des détails, à la pression, à la description du défilé. On a adoré découvrir Ophélie dans son élément, dans sa passion pour la mode et dans son métier de couturière qu'on suit tout au long du roman. Bref, on s'est vraiment cru à Paris, à côté d'Ophélie et de Evan.

Merci infiniment à la maison d'édition pour l'envoi et leur confiance !
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Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
C’est comme si j’avais vécu toute ma vie sous anesthésie générale, jusqu’à ce que je rencontre cette fille.
Maintenant que je suis réveillé, j’ai peur de me rendormir et de devoir renoncer à un trésor inestimable.
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— Vos yeux vairons. C’est troublant, vous savez ? Je n’avais jamais vu deux couleurs aussi opposées.
— Hétérochromie. Le terme exact est hétérochromie.
— Ouais ! Les yeux vairons, quoi.Evan se renfrogne.
— Même si je m’y essaye de temps à autre, je n’apprécie pas le langage trivial. Surtout dans le domaine médical.
— Détendez-vous, 176 ! Personne ne parle comme le gros Robert, ici.
— Qui est le gros Robert ? Je ne crois pas avoir fait sa connaissance.Un sourire s’invite sur mes lèvres malgré moi. Le temps que je puisse m’expliquer, Evan me coupe l’herbe sous le pied.
— Oh ! vous parliez de vous, peut‑être ? C’est un surnom curieux que le gros Robert, pour une femme.
Ma mâchoire se décroche.
— Vous m’avez bien regardée ! J’ai une tête à m’appeler le gros Robert ?! C’est un dictionnaire, monsieur 16 de plus qu'Einstein. Visiblement, vous avez loupé l’info en apprenant le français.
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Je suis le vendredi treize. Le chat noir. L'échelle sous laquelle les gens refusent de passer. Le miroir brisé. Et, contre toute attente, Evan semble désireux de se gorger de ma malédiction.
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- J’aurais peut-être dû faire un pas vers toi pour te dire combien mon sang bout quand tu te tiens à quelques centimètres de moi…

Elle tressaille.

- … comment ma peau s’embrase quand tu m’effleures…

Elle retient son expiration.

- … et à quel point je peine à respirer parce que ta beauté me coupe le souffle.

Ma pomme d’Adam me fait souffrir quand je déglutis.

- L’imbécile dans cette histoire, c’est moi, conclus-je. J’ai toujours cru que je ne pourrais pas tomber amoureux. Au fond, je ne sais même pas à quoi ça ressemble, l’amour. Mais si je devais deviner son odeur, ce serait celle de ton parfum. Parce qu’à chaque fois que je ferme les yeux, il flotte sous mes narines, et je me sens tout bizarre.
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Il y a un truc qui cloche chez moi. pour une fois que quelqu'un déclenche une telle tempête d'émotions en mon for intérieur, je devrais m'y accrocher de toutes mes forces. Mais j'ai peur! De me faire mal, de me prendre un mur ou de me rendre définitivement compte que je suis un jouer cassé incapable de ressentir de l'amour.
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