Celles et ceux qui me connaissent s'en doutent : j'ai commencé ce récit sur la pointe des pieds, incertaine du champ de mines dans lequel je m'aventurais. Il faut dire que la thématique du deuil suite au suicide résonne fortement chez celles et ceux qui l'ont expérimentée. Très vite toutefois, alors que mon coeur battait en cadence, je me suis laissé emporter par la beauté de ce texte qui signe l'entrée fracassante de Véronique d'Anjou en littérature (et je ne dis pas jeunesse ici parce que cette oeuvre peut plaire à tous et toutes, vraiment).
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