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Citations de M. J. Arlidge (498)


Ne vous raccrochez pas au passé. Ou ça vous rongera.
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Les rengaines habituelles accompagnées des insultes de rigueur. Que ces gens ne comprennent pas qu'elle cherchait à les protéger mettait Sanderson dans une colère noire ! Tout ce qui les intéressait, c'était de ne rien rater. Leur vie était-elle à ce point pitoyable qu'ils étaient prêts à courir des risques juste pour passer aux infos ? Sanderson détestait cet aspect de la vie moderne : tout le monde se prenait pour un témoin oculaire ou un journaliste. De nos jours, plutôt que d'intervenir pour empêcher un crime ou se tenir à distance du danger, ils filmaient comme s'ils étaient au spectacle.
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Vous êtes sourde, ou quoi ? Il y a quantité de filles qui rentrent dans cette catégorie. Un beau jour elles n’ont plus de fric, alors elles se prostituent. Ensuite elles le vivent très mal, mais c’est trop tard. Elles se mettent à picoler, tombent dans l’héroïne, se font tabasser, violer, ont peut d’être enceintes... Leurs études durent parfois six, sept ans, papa et maman ne peuvent pas les payer et l’Etat s’en fiche. Elles n’ont pas le choix.
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Sam dort. Je pourrais le tuer là, maintenant. Son visage n'est pas tourné vers moi : ce ne serait pas difficile. Se réveillerait-il si je bougeais ? Essaierait-il de m'arrêter ? Ou serait-il simplement soulagé que ce cauchemar finisse ?
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— Des sites pornos ?
— J’en ai ouvert un. Je voulais en avoir le cœur net. C’était… répugnant. Une fille, qui avait au maximum dix-sept ans, et tout un tas de mecs… ils faisaient la queue pour…
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Le désespoir était plus facile que l'espoir. L'espoir était cruel car il lui promettait des choses qu'elle craignait de ne plus jamais connaître : l'amour, la chaleur, le confort, le bonheur.
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Ils m'ont assassinée lentement. Je serai plus clémente, je les tuerai vite.
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Quel monde étrange où évoluer : les salles de répétition étaient si bien isolées que leurs occupants semblaient jouer d'instruments muets.
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- Tu adorerais que je vienne me réfugier dans les jupes de maman, n'est-ce pas ? Que je sois un bon petit garçon parce que tu es sous pression. Eh bien, tu peux toujours rêver, Helen. Je ne te pisserais pas dessus même si tu étais en feu.
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Les seuls à s’en mettre plein les poches actuellement sont ceux qui fournissent ce marché noir avec des biens volés, des pièces détachées, n’importe quoi. Nous savons que McManus avait été engagé par plusieurs grandes compagnies d’assurance, c’est de là que provenaient la plupart de ses missions.
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On ne fait jamais attention aux coursiers. On les prend pour des robots dénués de personnalité, avec leur cuir et leur casque de cycliste, tout juste bons à venir déposer un plis ou un colis, puis à repartir dans l'indifférence générale. De simples rouages dans le train-train quotidien.
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p 428


S'ils avaient raison, si Winter était le meurtrier, les attaques nocturnes prenaient tout leur sens. Ils avaient supposé que l'assassin agirait de nuit par facilité ou par ce qu'il travaillait en journée. Mais une autre raison, toute simple, pouvait expliquer que ces meurtres aient eu lieu la nuit. L'amour occupait les journées du meurtrier.
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On a besoin de quelqu'un à retrouver, de quelqu'un pour adoucir sa vie, pour penser à autre chose qu'à soi-même.
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La confiance est une chose fragile : difficile à gagner, facile à perdre.
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Ils étaient si dédaigneux, si inébranlables dans leur jugement ; pourtant s'ils avaient un tant soit peu connu leur fils, ils auraient su quel homme bon, généreux et tendre il était. Ils refusaient de le voir sous cet angle, résolus à conserver leurs oeillères jusqu'au bout. Quelle vie menait-on, à sacrifier autant au nom de ses principes ? Leur rigueur leur apporterait-elle le bonheur ? Elle en doutait.
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Elle appréciait depuis toujours la vitesse parce qu'elle transformait le monde autour d'elle, en allégeait le poids.
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Allongée sur le lit, rendant les armes, Ruby se dit qu'elle avait compris : elle avait fait des choses affreuses. Elle était, et serait toujours, quelqu'un d'horrible. Et elle allait être punie pour cela.
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Des volutes de fumée s'élevaient doucement au-dessus des cendres. Seule la structure de la maison subsistait, tout l'intérieur avait été consumé par les flammes. Vingt-quatre heures plus tôt, une somptueuse demeure se dressait ici, dans l'un des quartiers les plus prisés de la ville. À présent, ce n'était plus qu'une carcasse fumante. Pire, le théâtre d'un meurtre.
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Pourquoi n'exigeait-elle pas une explication à son comportement ?
Elle n'en ferait rien, bien sûr. Leur mariage était tenu par le silence désormais. Donc rien ne changerait. Même si chaque nuit qui passait changeait tout. Petit à petit, il devenait quelqu'un d'autre - un homme nouveau et différent. Cette idée l'excitait autant qu'elle l'effrayait, tant son obsession était puissante. C'était pour cela qu'il avait besoin que quelqu'un lui parle, le stimule. Parce qu'il savait d'instinct que, livré à lui-même, il n'arrêterait jamais. Jamais.
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« Comment oses-tu me regarder avec mépris ? siffla Marianne. Comment oses-tu … me juger ? C’est toi qui subis un procès ici, pas moi.
• Parce que j’ai fait ce qu’il fallait ? Ce qui était juste ? Tu as assassiné nos parents, Marianne. Tu les as assassinés de sang-froid.
• Et ils t’ont manqué ? Après ? Ils t’ont manqué, ces violeurs ? »
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Où le corps de Sam est-il retrouvé ?

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