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Citations de M. J. Arlidge (498)


Elle n'avait que le goût du vomi. Du vomi et du sang caillé. Sa bouche était desséchée, sa gorge en feu et une sourde douleur lancinante lui martelait la tête. N'ayant pas mangé depuis des jours, elle sentait des ulcères se former dans son estomac.





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Elle le devorait des yeux. Il n'éprouvait aucun désir pour elle, juste un mélange d'horreur et de pitié.
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"On n'était pas du genre cultivés et les connaissances en géographie de ma mère s'arrêtaient au débit de boissons le plus proche." (p.142)
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"On n'était pas du genre cultivés et les connaissances en géographie de ma mère s'arrêtaient au débit de boissons le plus proche." (p.142)
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En sa compagnie, elle vivait dans la peur et l'incertitude ; en son absence, elle vivait dans l'isolement. Que ça lui plaise ou non, impossible de nier qu'il était son univers désormais.
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Ruby se réveille dans un lit qui n’est pas le sien. Dans une chambre qui n’est pas la sienne. Dans une pièce aux murs aveugles. Le mobilier autour d’elle est factice. Un décor !
Pendant ce temps, des promeneurs découvrent enfoui dans le sable, le corps d’une jeune fille, disparue depuis plusieurs années. Disparue oui mais selon les réseaux sociaux toujours active !
Helen Grace, commandant de police chargée de l’enquête au sein de la ville de Southampton, va peu à peu faire le lien entre ces disparitions et comprendre qu’elle se trouve devant un tueur en série. La traque commence, l’heure tourne…
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La confiance est une chose fragile : difficile à gagner, facile à perdre.
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Si la vie m'a appris une chose, c'est bien qu'il y a toujours quelqu'un dans une situation pire que la sienne.
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Avec un frisson, elle regarda autour d'elle. Cela paraissait improbable mais c'était pourtant vrai. Un être malfaisant hantait cette forêt. Un individu cruel et impitoyable. Introuvable. Après un dernier regard méfiant sur les bois sombres; elle se remit au travail, pressée de terminer son examen.
Tout à coup; elle avait hâte de quitter cet endroit.
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Il ressemblait à un ange déchu. Son corps musclé, dénudé, paré d'ailes argentées, se balançait d'avant en arrière dans les airs au bout de l'épaisse chaîne qui pendait du plafond. Les doigts tendus vers le sol, il tentait d'attraper à tâtons la clé qui le libérerait mais qui restait cruellement hors de portée.
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Elle n'avait pas encore cerné les nouveaux venus et continuait de chercher son rythme de croisière avec cette équipe fraîchement constituée. Mais le seul moyen d'y parvenir, c'était d'aller au charbon ensemble.
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Les mauvaises nouvelles ne se bonifient pas avec le temps.
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Une technique à l'efficacité prouvée qui lui convenait, 6 heures - 18 heures, pas plus. Et qui l'aidait à réguler son humeur. Quels que soient les aléas, un travail effectué dans les temps était synonyme de contrôle.
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C'avait été une illusion. Il n'y avait pas de réconfort ici.
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- On nous raconte des histoires, on se fait entuber, dépouiller. On nous tabasse, on nous crache dessus, on nous viole. On nous met un couteau sous la gorge, on nous étrangle à moitié. On prend de l'héroïne, du crack, des amphés, des calmants, on picole. On se change pas pendant huit jours, on se gerbe dessus pendant notre sommeil. Et quand on se lève, c'est reparti pour un tour.
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- Est-ce que tu veux vivre ? »
Pendant une minute, impossible de répondre. Ma langue refuse de m’obéir. Ensuite :
« Oui.
- Par terre, à côté du téléphone, tu trouveras un flingue. Il y a une balle dedans. Pour Sam ou pour toi. C’est le prix de votre liberté. Vous devez tuer pour vivre. Est-ce que tu veux vivre, Amy ? »
Impossible de parler. J’ai envie de vomir.
« Alors, oui ou non ? »
On raccroche. Et là Sam demande :
« Qu’est-ce qu’ils ont dit ? »

Sam dort à côté de moi. Je pourrai le faire. Là, maintenant.
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Pas de doute, la vie nous réservait toujours des surprises. Et la bienveillance se cachait dans les endroits les plus surprenants.
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Pas question de se précipiter, il se devait d’apprécier et de savourer la chose. L’attente se révélait parfois plus agréable que l’acte en lui-même, il le savait d’expérience.
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"Tout le monde - depuis la direction jusqu'aux employés de la cantine - s'était attendu à ce que ce soit dur pour Peter.
Ce à quoi personne ne s'était attendu, en revanche, c'était qu'à 15h30, lors de sa première journée de reprise, il se dirigerait vers le toit du bureau, crierait le nom de sa femme, puis se donnerait la mort en sautant par-dessus la barrière de sécurité."
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Les flics avaient beau lui raconter qu'ils étaient là pour veiller sur elle, qu'ils la protégeaient, de quoi se moquaient-ils ? Il n'y avait plus de pitié sur terre, plus de bienveillance. Il ne restait que des vautours, qui vous fouillaient les entrailles, se repaissaient de votre chagrin et de votre tristesse.
Elle qui avait toujours fait preuve d'optimisme se rendait maintenant compte à quel point elle avait été naïve.
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Où le corps de Sam est-il retrouvé ?

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