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Bourbon Kid

Série de 10 livres (En cours). Écrite par Bourbon Kid (10),

Le Livre sans nom par Bourbon Kid
tome : 1
L'Oeil de la lune par Bourbon Kid
tome : 2
Le Cimetière du diable par Bourbon Kid
tome : 3
Le Livre de la mort par Bourbon Kid
tome : 4
Psycho Killer par Bourbon Kid
tome : 5
Bourbon Kid par Bourbon Kid
Bourbon Kid
4.43★ (1130)
tome : 7
Santa Mondega par Bourbon Kid
tome : 9
Kill The Rich ! par Bourbon Kid
tome : 10

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Dernières critiques
Le Livre sans nom

C'est pas très bien écrit, on dirait du Robert Rodriguez, foutraque comme pas possible avec un trop plein de personnages comme chez Ritchie, on sent que la gars il a voulut faire un truc avec plein de punchlines et référence et ça fonctionne rarement.

Ca se laisse lire mais c'est vraiment de la série B bas du front et un peu chiante et les dernières pages sont interminables.
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Le Livre sans nom

Difficile de noter ce livre... Un bon début ( les passages sur les moines sont les meilleurs à mon goût) puis plus rien jusqu'aux 2 tiers du livre. J'ai failli abandonner plusieurs fois mais je voulais savoir comment tout cela finissait. J'ai trouvé le dernier tiers du livre plus emballant.

Lirais-je la suite des aventures du Bourbon Kid ?

Peut être que oui...mais probablement que non.
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Le Pape, le Kid et l'Iroquois

Je dois avouer que, moi qui attendais ce cross over entre l'univers du Bourbon Kid et celui de l'Iroquois avec impatience, j'ai été plutôt déçue.

C'est toujours facile à lire, prenant, et on a envie d'avancer. Mais, comme dans Le livre de la mort, ça m'a semblé souvent forcé. Surenchère de références musicales et cinématographiques qui n'ont plus, à présent, beaucoup de sens, surenchère de violence improbable un peu trop souvent à base de pipi/caca (ce qui n'est pas du tout mon délire)... Mais le plus décevant, c'est la façon dont l'auteur trahit certains de ces personnages : l'Iroquois est devenu plutôt fadasse, Rodeo Rex - que j'aimais tant- est ridicule; mais le pire, sans doute, reste la venue improbable de

Que dire, enfin, de ces quelques moments mélo, notamment suite à la mort d'un personnage? C'est la première fois que, dans la saga, je me suis retrouvée véritablement triste et, même si c'est bien écrit et tout à fait normal au vu des évènements, ça dénote pour le lecteur habitué à se plonger dans cette série pour se détendre quoiqu'il arrive.

Malgré ma déception, j'ai hâte de découvrir la suite, afin de voir si Anonyme a définitivement passé un cap dans son écriture ou s'il ne s'agissait que d'un moment d'égarement. Et puis, il faut quand même avouer que, malgré toutes les critiques que je viens de lui adresser, j'ai passé un agréable moment lecture et au même pouffé à plusieurs reprises.
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L'Oeil de la lune

L'oeil de la Lune est la suite du livre sans nom et j'ai été ravie de retrouver Peto qui était un de mes personnages préférés dans le tome 1, et surtout le Bourbon Kid.

Au début de ce roman, les jeunesses des personnages sont racontées, en tout cas une partie, et même si cela apporte quelques réponses aux questions restées en suspens dans le 1, j'ai eu bien peur que ça devienne trop du 100% vampires. Et bien non ! J'ai vite retrouvé l'ambiance pas propre, sanglante et gore du Livre sans nom. Et oui, le Kid est monstrueux , tueur, et infâme, mais à l'instar de Peto, j'étais sûre et certaine qu'il y avait du bon en lui. En tout cas, j'avais très envie de le croire.

Après avoir fini cette suite, j'ai pensé m'arrêter là. Mais voilà qu'en rédigeant cette critique je me surprends à avoir envie de lire le cimetière du diable.

Déjà qu'après ces 2 tomes, je ponctue pas mal mes phrases de "bordel", j'ose pas imaginer ensuite ! Tiens, d'ailleurs j'allais oublié une chose qui m'a semblée extra : j'ai écouté ces 2 tomes lus par Nicolas Justamon. Et il a la voix rocailleuse, parfaitement adaptée à cette histoire aux personnages hideux, loufoques et déjantés.
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Psycho Killer

Quel plaisir de retrouver un anonyme aussi bon! Après un Oeil de la Lune en demi-teinte et un Livre de la mort où je me suis un peu ennuyée, j'ai presque retrouvé ici l'Anonyme du Livre Sans Nom. Certes ici pas de Sanchez, de King, de Dame mystique ni même de bourbon, mais une nouvelle série de personnages plus hauts en couleurs les uns que les autres. Pas de fantastique non plus, mais une aventure détonnante, où l'on dévore les pages comme l'Iroquois sème les cadavres.

Cela ne vaut sans doute pas Le Livre Sans Nom (mais qu'est ce qui le vaudra?). C'est toutefois un livre à mettre entre les mains de tout amateur d'humour noir, un peu trash, de tueries et de films des années 80 (notamment, bizarrement, pour les amateurs de Dirty Dancing ET de Halloween).

Je 'zi plus qu'une hâte, me plonger dans le tome suivant, qui concilie apparemment les deux univers du Kid et de l'Iroquois.

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Le Livre sans nom

Le tournis...Je finis ma lecture avec le tournis, les virages à 90 degrés tout au long de la lecture de ce livre survolté, certes addictif et haletant, m'ont quelque peu éreintée et je vais attendre un peu avant de passer au tome 2 car, figurez-vous, il y a 10 tomes dans cette saga dont on ne connait pas l'auteur. Un auteur assurément qui a dû prendre des psychotropes pour pondre un tel objet littéraire non identifié…Je suis persuadée qu'il s'agit d'un duo de choc qui a imaginé une telle histoire, échevelée, filant à 100 à l'heure, l'association de deux monstres géniaux. Oui, je suis certaine que Stephen King a persuadé Quentin Tarentino d'écrire ce livre avec lui. le King pour le côté suspense, horreur, surnaturel, les références clin d'oeil aux années 60 et aux héros emblématiques américains, et Tarentino pour les personnages pittoresques, les combats d'arts martiaux, les giclées de sang, la présence des vampires, les scènes de combat surréalistes et l'humour noir. Pour la narration très cinématographique, gros plans et travelings, accélérés et ralentis maitrisés de main de maitre au sein d'une histoire improbable dans laquelle jaillit Elvis, Catwoman, Bruce Lee et tant d'autres. Pour le côté un tantinet série B et héros sombres.

Imaginez Billy Summers dans Kill Bill, ou dans Les huit salopards. Les deux ambiances, si singulières, se retrouvent dans ce livre, accumulant les clichés, les clins d'oeil, les références, les apartés, comme les deux artistes savent si bien le faire, l'un dans les livres, l'autre dans les films…



« Sanchez, toujours spectateur de la scène derrière son comptoir, s'apprêtait à se mettre à couvert hors de portée des giclements de sang et de cervelle, sans parler des balles perdues, qui d'un instant à l'autre voleraient dans tous les sens, lorsqu'il aperçut quelque chose du coin de l'oeil.

Des ténèbres profondes où était plongé le fond de la salle, une nouvelle silhouette se détacha pour prendre part à la petite fête. Elle était vêtu d'une sorte de barboteuse blanche avec de gros boutons noirs sur le devant. le visage était maquillé de blanc, les yeux rehaussés de traits noirs et épais. Une grosse larme noire avait été peinte à la commissure de l'oeil gauche. A cela s'ajoutaient une paire de chaussons noirs pointus et un chapeau comique mi-noir, mi-blanc. Un clown. Pas un clown de cirque, mais un de ces Pierrot tristes de pantomime qu'on trouvait sur les scènes d'Europe. de ses longues manches, il tira soudain deux fusils à canon qu'il pointa en direction de la tête d'El Santino ».



Ça commence tel un western mexicain et ensuite…ensuite ça frôle l'ésotérisme, la science-fiction, le bon vieux polar, le roman noir, le Kung-Fu, les histoires de vampires. J'en ai perdu mon latin, riant et grimaçant tour à tour, avec la sensation par moment d'un côté « too much » que j'acceptais quand même volontiers mais bon, hein, faut pas pousser trop mémé dans les orties. Sans doute, ne suis-je pas la cible idéale pour ce livre musclé et punchy rempli de testostérones. Quoique. Survitaminé et décomplexé, ce livre a le mérite de sortir totalement des sentiers battus avec ce mélange surprenant des genres. Moi qui aime être étonnée en littérature, je peux dire sans conteste que je l'ai été et j'ai trouvé ce livre dans le livre bien vu, très malin, et proprement vertigineux : Ce livre sans nom, nous le retrouvons en effet dans l'histoire et ça fait froid dans le dos : chaque personne qui a lu ce livre sans nom et sans auteur, a été tué. Vous voilà prévenus…



Cette histoire, c'est d'abord un lieu : la ville de Santa Mondega probablement en Amérique du Sud, ville étant connue comme étant la plus dangereuse au monde (mais ne cherchez pas vous ne la trouverez sur aucune carte) et c'est, très souvent, un bar, le Tapioca. Je reprends la critique de @Hugo dont je vous conseille fortement la lecture si ce livre vous intéresse : « En fait là-bas, c'est le pays du second degré, de la violence gratuite, du malsain gentillet qui fait marrer, ça se prend pas du tout au sérieux, ce n'est jamais vraiment glauque, c'est juste d'une vulgarité « sans nom »… tellement jouissif et addictif qu'on en redemande… »



Cette histoire, ce sont des personnages hauts en couleur, une bande de sacrés voyous, pour ne pas dire les pires raclures qui peuvent exister, tous plus roublards les uns que les autres, incarnés selon les différents archétypes du mal, depuis la pire pègre mafieuse jusqu'à la corruption, mais avant tout un personnage : le Bourbon Kid. Un homme encapuchonné à l'origine d'une tuerie d'anthologie il y a cinq ans faisant 300 victimes, devenant en effet particulièrement incontrôlable dès qu'il boit du Bourbon. Verre de Bourbon rempli, exige-t-il de sa voix rocailleuse aussi glaçante que la voix du Diable. Ses meurtres sont signés : des meurtres abominables, victimes énucléées et langue tranchées, entre autres.

Mais il y a aussi les deux moines, Kyle et Peto, entre moines shaolin et chevaliers Jedi. Il y a Jessica, rare survivante de la folie meurtrière du Bourbon Kid, qui a survécu à la fusillade malgré les 32 balles qui l'ont plongée dans un profond coma de cinq années et dont elle sort enfin, mais devenue amnésique. Il y a les deux commissaires Jensen et Somers qui mènent l'enquête…



Cette histoire enfin, c'est la volonté de toutes et tous de posséder une pierre mystérieuse, magique, sans doute la plus précieuse au monde : L'oeil de lune. Gardée dans un couvent, elle a été volée mais sa puissance est terrible. Qui la possède devient immortel, qui la possède le jour de l'éclipse de soleil peut faire dévier à jamais le satellite de son orbite, qui la possède a ainsi un pouvoir immense. Et le Bourbon Kid veut à tout prix cette pierre qui lui a déjà échappée il y a 5 ans. Et la pierre de passer de mains en mains répandant le sang sur son passage…





Si vous ajoutez à tous ces ingrédients une éclipse totale de soleil, un tournoi de baston sur un ring, le sosie d'Elvis Presley, un carnaval dont les déguisements de superhéros américains donnent des scènes très cocasses, une baston dans le noir total, une cadillac jaune…vous aurez une première idée de ce qui vous attend avec ce livre devenu mythique, le livre sans nom. C'est jubilatoire, aussi drôle que sanglant, c'est à prendre au second degré pour en apprécier comme il se doit son côté survitaminé et drôle…Et ce, d'autant plus que le livre se décompose en 65 chapitres plutôt brefs se terminant par du suspense. On ne lâche pas le livre et les chapitres ne cessent de s'enchainer. Bref, c'est à découvrir mais gare au tournis, pour ma part il y aura quelques livres plus calmes entre chaque tome. Histoire de digérer car il faut l'admettre, on frôle par moment l'indigestion. Mais quelle claque cette orgie, quelle claque !





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Le Livre sans nom

Du sang, de la tripaille, du crasseux, du grossier, un soupçon de western, du cinéma gore, des excès, des jeunes canons et UNE vieille femme/sorcière, du mâle, du macho, du puant, du viril, de la pisse et de la sueur.

Voici le cocktail qui pourrait être un condensé de tout ce que je déteste comme mélange.

Pourtant j'ai mis 4,5 étoiles, parce que c'est facile, fluide, plutôt bien ficelé. Alors, oui j'ai un train de retard, je ne savais pas que cette histoire parlerait de vampires et j'ai été plutôt surprise quand on arrive à ce tournant. Pourquoi aimer ce roman violent ? Impossible à dire, même si peut-être parce que la vulgarité et la violence sont gratuites et décomplexées. Et décomplexer permet de lâcher prise, de relativiser, parce que la bêtise, la cupidité sont juste humaines. J'ai été tenue en haleine tout au long ! Pourtant c'est assez répétitif : des flingues, de l'alcool, et pas de poésie. Une pierre bleue, de l'argent sont encore des ingrédients du roman, semi thriller, semi polar. Quoique, fantastique aussi.

Mes personnages préférés sont les 2 moines. J'adore leur relation, j'aime leur façon d'être, un peu naïfs dans un monde qu'ils ne connaissent pas et qu'ils découvrent. Peto est amusant, il m'a fait sourire de nombreuses fois.

Et j'aime le Bourbon Kid !



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Le Livre sans nom

Un roman noir pour le moins surprenant, qui peut nous faire bien marrer, si nous sommes dotés d'humour au second degré bien sûr !

On peut dire que cela change de tous les autres livres, c'est agréable un peu de changement.



Santa Mondega, petite ville ambiance western où il ne fait pas bon vivre, comprenant surtout un bar, le Tapioca, Sanchez étant le propriétaire.

Peto et Kyle, les deux moines d'Hubal, cherchent désespérément l'Oeil de la Lune, une pierre bleue dotée d'un pouvoir mystique.

Les deux inspecteurs Miles Jensen et Archibald Somers, spécialisés dans les cas surnaturels, enquêtent sur une série de meurtres se produisant à Santa Mondega, toujours dans des circonstances terribles et inhumains.

Jefe, le chasseur de primes, à la recherche également de sa pierre bleue.

Dante et Kacy, notre petit couple voleur.

Elvis, tueur à gages, prêt à tout pour honorer ses contrats.

El Santino, le patron du Mal.

Et puis bien sûr le Bourbon Kid, un tueur impitoyable.

Sans compter Jessica, la belle mystérieuse.



Tant de protagonistes dans ce roman, qui surprend un peu au départ.

Nous passons d'un personnage à un autre, sur de courts chapitres en général.

L'auteur réussi à attiser notre curiosité et à nous mélanger les pinceaux en faisant en sorte d'oublier certaines parties en passant sur d'autres passages nombreux qui prennent le dessus.

Difficile d'en dire davantage sans dévoiler une partie du récit, je dirai juste qu'il est curieux d'ouvrir ce livre sans nom, j'espère qu'il ne m'arrivera pas des bricoles !

L'humour noir est très présent, ce que j'ai adoré !

Un dénouement bien ficelé et travaillé.

Cependant, le récit s'essouffle à un certain moment, j'ai ressenti une certaine lassitude.

Même si j'ai bien aimé cette lecture, je ne pense pas continuer l'aventure, malgré l'univers loufoque et déjanté de cet auteur inconnu.
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