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Critique de bdelhausse
Carton plein pour 10 focus sur des chanteuses profondément impliquées dans la cause des femmes. En 10-12 pages, on évoque un moment-clé du destin de ces divas incontournables. 10 femmes, 10 chansons-phares, le tout emballé dans un lay-out spécifique, adapté à l'artiste et au titre mis en lumière. Psychédélique avec Janis Joplin. Rock avec Patti Smith. Punk trash avec Bikini Kill. Punk pop avec Blondie et son Heart of Glass. Glam et paillettes avec Madonna. Rap façon banlieue avec le U.N.I.T.Y. de Queen Latifah. Etc.
Bien sûr il en manque. Où est Dolly Parton. Rickie Lee Jones. Grace Slick. Pat Benatar. Kate Bush. Aretha Franklin. Cher. Tina Turner. Rihanna. Courtney Love. Bref il y a de la place pour un tome 2, et plus si affinités.
Je suis assez versé dans le rock et son histoire. Et j'ai appris des choses. de petits détails qui font toute la différence. Un petit bijou de féminisme soft, de women power qui déroule sa force tranquille par le rock, la soul et la pop.
Mon coup de coeur va à Marianne Faithfull, mise en scène dans un décor pop classieuse acidulée, comme un contrepoint à la voix éraillée, brisée comme du verre pilé, laminée à la drogue et la cigarette. La ballade de Lucy Jordan est un morceau imparable, fait de dolce vita et de spleen, d'insouciance amère et de lendemains qui ne chantent plus. Rien que de penser à ce morceau m'emmène loin.
La cerise sur le gâteau, c'est le QR code en fin de tome (il devrait être au début), pour se baigner dans la bande-son. Car, en plus d'être des morceaux symboliques, puissants, ce sont aussi des pu... de bonnes chansons.
Bien sûr il en manque. Où est Dolly Parton. Rickie Lee Jones. Grace Slick. Pat Benatar. Kate Bush. Aretha Franklin. Cher. Tina Turner. Rihanna. Courtney Love. Bref il y a de la place pour un tome 2, et plus si affinités.
Je suis assez versé dans le rock et son histoire. Et j'ai appris des choses. de petits détails qui font toute la différence. Un petit bijou de féminisme soft, de women power qui déroule sa force tranquille par le rock, la soul et la pop.
Mon coup de coeur va à Marianne Faithfull, mise en scène dans un décor pop classieuse acidulée, comme un contrepoint à la voix éraillée, brisée comme du verre pilé, laminée à la drogue et la cigarette. La ballade de Lucy Jordan est un morceau imparable, fait de dolce vita et de spleen, d'insouciance amère et de lendemains qui ne chantent plus. Rien que de penser à ce morceau m'emmène loin.
La cerise sur le gâteau, c'est le QR code en fin de tome (il devrait être au début), pour se baigner dans la bande-son. Car, en plus d'être des morceaux symboliques, puissants, ce sont aussi des pu... de bonnes chansons.
