Il y a maintenant plus de quarante années, je me souviens avoir mis un temps très long à lire
le procès!
Comme le calvaire absurde, sans fin et cauchemardesque de Joseph K., je n'en finissais pas.
Kafka, d'ailleurs, ne l'avait pas achevé
le procès!
Que c'était long et pénible, jusqu'à ce que la fin de ma lecture ne se précipite!
Je me suis retrouvé, parfois, dans ces rêves au long cours dont on a du mal à sortir.
Le film d'Orson Welles me replongea, avec ses gammes noires grises et blanches, dans ce Procès qui ne quittait pas ma mémoire.
Un jour, je repartiras dans
le procès avec Joseph K.
Un tel livre, on y revient.
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