You're Not Supposed to Die Tonight

Le résumé me donnait très envie, j'avais craqué sur la couverture, et je pense que rien que le titre aurait pu me pousser à l'acheter. J'étais extrêmement impatiente de lire You're not supposed to die tonight et je m'attendais vraiment à avoir un coup de coeur. C'est d'ailleurs peut-être pour ça que ma déception n'en est que plus grande.

C'est bien simple, je n'ai pour ainsi dire rien aimé dans ce livre. Je n'ai pas réussi à accrocher à la plume de l'autrice ni à la narration, je ne me suis attachée à aucun personnage, certains m'ont même horripilée (oui oui Bezi, c'est toi que je vise), et j'ai trouvé l'action très longue à véritablement se lancer (à mes yeux, elle ne commence réellement qu'à plus de la moitié du roman, ce qui, pour un livre de seulement 230 pages, me semble vraiment tard), ce qui fait que je me suis un peu ennuyée.

Je n'ai pas non plus aimé la manière dont étaient amenées les révélations / éléments d'informations, qui n'était pas toujours très subtile, et particulièrement quand c'était dans les dialogues. J'ai trouvé que ça les rendait peu naturels, voire artificiels et je pense que c'est ce qui m'a posé le plus problème au niveau de la plume.

J'ai vraiment été tentée d'abandonner à plusieurs reprises, et je ne l'ai fini que parce qu'il est relativement court et car jusqu'au bout j'ai espéré que mon avis changerait, que je finirais par accrocher et apprécier cette histoire. Malheureusement, ça n'a pas été le cas. Je n'ai pas été convaincue par la fin, et encore moins par l'épilogue. Non, vraiment, c'est un flop total en ce qui me concerne.

Le seul point positif, c'est que l'anglais est un peu différent de celui que je lis habituellement et j'ai donc découvert de nouvelles expressions et tournures de phrases que je n'avais encore jamais vues.

En tout cas, même si ça n'a pas marché avec moi, cela ne veut pas dire qu'il ne peut pas vous plaire. Si j'en juge les avis majoritairement positifs un peu partout sur les différents réseaux, je vois bien que je fais figure d'exception, et je vous conseillerais donc de le lire quand même s'il vous tente afin de vous faire votre propre avis.

Objectivement, c'est un slasher au pitch original, avec une belle diversité de personnages, qui rend hommage aux films cultes du genre type Vendredi 13. Il n'était simplement pas pour moi.

Une lecture parfaite pour l'automne à l'approche d'Halloween.

L'autrice parvient à créer une ambiance angoissante, qui rappelle bon nombre de films d'horreur.

Le récit est rythmé, sans temps mort, même si certains éléments restent prévisibles.

A Camp Mirror Lake, chaque été, des participants viennent vivre unes sorte d'escape game qui reprend un film d'horreur filmé sur place. Charity, la personnage principale que l'on suit, est la Final Girl du jeu. Chaque soir, elle survit au tueur lors de ces jeux et choisit si des participants survivent aussi ou non. Mais cela prend un tour différent quand d'étranges et angoissants événements surviennent.

J'ai beaucoup aimé cette lecture. Toutefois, le twist final et les retournements étaient, pour moi, assez peu étonnants, je m'y attendais.

Je recommande tout de même ce livre aux amateurs du genre, pour un moment lecture effrayant.

Un livre que j'aurais adoré quand j'étais ado! Pour moi, c'est une parfaite suite aux Chairs de poule de mon enfance.

Une jeune fille travaille, avec ses amis, dans un ancien camp de vacances, transformé en expérience immersive suite au tournage d'un Slasher culte dans les années 1980. À quelques jours de la fermeture annuelle, des employés commencent à manquer à l'appel, et d'étranges phénomènes viennent déranger une mécanique bien rodée. Celle qui a l'habitude de jouer la « final girl », l'ultime survivante, pourra-t-elle survivre à sa dernière nuit sur place et dissiper le mystère qui entoure le camp?

Lecture très facile et prenante, un peu plus de 200 pages avalées en 3 jours. On se croirait plongé dans un bon vieux Vendredi 13, un peu simplet certes (style young adult oblige) mais bien emmené, avec des retournements de situation là où il en faut, et une touche de gore.