(...) Ce rien que dans les classes privilégiées on ne peut pas comprendre, parce que quand eux disent qu'il ne leur reste plus rien, il leur reste toujours quelque chose,
il leur reste des diplômes,
il leur reste la culture,
il leur reste quelques pièces,
il leur reste des relations pour les aider,
il leur reste la volonté que confère les privilèges.